Les grandes villes ont beaucoup de mal à lutter contre les incivilités de toute nature qui polluent rues, places et trottoirs, objets, déchets de cigarettes, détritus en tous genres, en tas ou au détail.
Ce qui n’empêche pas les pouvoirs publics d’entretenir ces incivilités en remettant du carburant dans ces dérives, c’est-à-dire en commençant à autoriser la pub sur les trottoirs, et laisser toutes sortes de vélos, soi-disant gratuits, sur nos trottoirs !
Qui va nettoyer nos trottoirs, et qui va payer ?
Ces sujets seraient-ils moins affriolants pour l’écologie politique que la biodiversité, la pollution de l’air, ou la sauvegarde des pôles ?
Jean Pierre Renaud