En France
Les minorités et les réseaux sociaux font la loi dans la République Française !
Remettons la France à l’endroit !
Le 20 février 2019, j’ai publié une chronique sous le titre « Une France à l’envers » les inversions de toute nature, droit, institutions, loi des minorités… »
Le 9 décembre 2019, j’ai publié une chronique sous le titre « Les pouvoirs de la République Française ? Qui les exerce vraiment ? Les trois pouvoirs constitutionnels, Exécutif, Législatif, Judiciaire, le Quatrième Pouvoir des Médias, le Cinquième Pouvoir des Associations, le Sixième Pouvoir des Réseaux Sociaux »
L’affaire Adama nous a placé au cœur du sujet et révélé l’incapacité manifeste des trois pouvoirs constitutionnels à faire prévaloir le droit républicain sur la loi des minorités, souvent inspirées par tout ce qui vient des Etats Unis dont l’histoire n’a rien à voir avec la nôtre.
Face à ce déferlement des minorités visibles et invisibles, les pouvoirs publics ont failli !
Le temps est venu de faire rentrer beaucoup d’associations dans le droit républicain, alors que leur origine, leur fonctionnement, et leur financement n’ont rien de transparent : qui finance qui et quoi ?
Le temps est également venu de trouver le moyen juridique et constitutionnel d’empêcher les réseaux sociaux de raconter n’importe quoi, de prêcher le désordre, la désinformation, en exigeant la transparence et la responsabilité « médiatique » de leurs auteurs.
Enfin, il convient d’ouvrir totalement les statistiques de l’immigration en France, au cours des trente dernières années, avec le pays d’origine et l’âge, les chiffres des cartes de séjour (regroupement familial, mariage, travail…) des bénéficiaires du droit d’asile et des déboutés, des régularisations d’immigrés clandestins…et enfin des naturalisations.
Dans l’Union Européenne
Dans le désordre actuel de la mondialisation, le moment est venu de lever le tabou du protectionnisme !
Le 7 juin 2011, j’ai publié une chronique sous le titre « Une petite dose de protectionnisme pour la France et pour l’Europe »
Les thuriféraires du libéralisme à tout crin plaidaient toujours avec plus de succès pour l’ouverture de plus en plus large de nos frontières et de celles de l’Europe : on voit aujourd’hui le résultat, notamment pour nos médicaments.
Leur discours était fondé sur le mythe d’après lequel c’était le libéralisme qui avait permis le développement de l’Occident.
Dès 1953, l’historien économiste Paul Bairoch démontrait – statistiquement – dans le livre « Mythes et paradoxes de l’histoire économique » (1953) que cette thèse n’était pas fondée, en démontrant que même les Anglais, chantres éternels du libéralisme, avaient très largement fait appel au protectionnisme pour se développer.
Jean Pierre Renaud