Après la peste noire (la Gestapo) et la peste rouge (le NKVD), la peste verte (les Ayatollahs) !
Face à l’hydre terroriste islamiste, quelle stratégie civile et militaire ?
Le terrorisme islamiste bouleverse tous les schémas de lutte antiterroriste et de guerre connus jusqu’à présent.
Il s’agit d’une hydre multiforme dont le corps se renouvelle chaque jour, membre coupé ou non, qui exhale un poison mortifère, même pendant son sommeil.
L’ennemi n’est pas clairement identifié. Il mène ses attaques sur tous les terrains et sur tous les fronts. Il manipule ses acteurs.
Il bénéficie de l’appui volontaire ou involontaire de nos médias, et de la protection de notre « état de droit ».
Le « paradis » avant l’autre « paradis » du Prophète ?
Que peut espérer de mieux le terroriste, s’il est encore vivant, que de parader dans une procédure judiciaire, à un procès, ou encore en prison, sous le feu des médias, entouré de policiers, de magistrats, d’avocats, et bien sûr de journalistes ?
Combien tout cela coûte en vies humaines, ou tout simplement en argent, au mépris des victimes, et bien sûr de la République Française ?
Il convient de changer tout ça, de lutter contre cette hydre terroriste en mettant en place une police et une justice ultra spécialisées, des établissements de détention tout autant ultra spécialisés, avec pour objectif de circonscrire et de frapper d’isolement cette épidémie mortelle, comme on l’a fait historiquement, avec la peste.
Dans le débat ouvert sur le sort des anciens djihadistes sortis de prison, il faudra bien ultra spécialiser les juges d’application des peines, et en même temps instituer une peine incompressible d’emprisonnement pour les cas les plus graves.
Jean Pierre Renaud