Après la peste noire (la Gestapo), et la peste rouge (le NKVD), la peste verte (Les Ayatollahs) !

Après la peste noire (la Gestapo) et la peste rouge (le NKVD), la peste verte (les Ayatollahs) !

Face à l’hydre terroriste islamiste, quelle stratégie civile et militaire ?

     Le terrorisme islamiste bouleverse tous les schémas de lutte antiterroriste et de guerre connus jusqu’à présent.

              Il s’agit d’une hydre multiforme dont le corps se renouvelle chaque jour, membre coupé ou non, qui exhale un poison mortifère, même pendant son sommeil.

          L’ennemi n’est pas clairement identifié. Il mène ses attaques sur tous les terrains et sur tous les fronts. Il manipule ses acteurs.
         Il bénéficie de l’appui volontaire ou involontaire de nos médias, et de la protection de notre « état de droit ».

              Le « paradis » avant l’autre « paradis » du Prophète ?

           Que peut espérer de mieux le terroriste, s’il est encore vivant, que de parader dans une procédure judiciaire, à un procès, ou encore en prison, sous le feu des médias, entouré de policiers, de magistrats, d’avocats, et bien sûr de journalistes ?

          Combien tout cela coûte en vies humaines, ou tout simplement en argent, au mépris des victimes, et bien sûr de la République Française ?

        Il convient de changer tout ça, de lutter contre cette hydre terroriste en mettant en place une police et une justice ultra spécialisées, des établissements de détention tout autant ultra spécialisés, avec pour objectif de circonscrire et de frapper d’isolement cette épidémie mortelle, comme on l’a fait historiquement, avec la peste.

          Dans le débat ouvert sur le sort des anciens djihadistes sortis de prison, il faudra bien ultra spécialiser les juges d’application des peines, et en même temps instituer une peine incompressible d’emprisonnement pour les cas les plus graves.

            Jean Pierre Renaud

Lettre aux Français et aux Françaises qui n’ont pas encore compris ce qui était en jeu !

  Après le Bataclan, Toulouse, Nice, Marseille, l’assassinat du père Hamel et celui du colonel Beltrame, pourquoi ne pas comprendre que le radicalisme islamiste, la terreur qu’il tente de propager, prospère chez nous grâce à notre sacro-saint état de droit qui protège les terroristes, leur donne une tribune médiatique de propagande, nous coûte cher, et oublie toutes les victimes ?

             Il y a le terreau de la subversion postcoloniale qu’il convient de dénoncer, celui des adeptes d’un communautarisme officiel ou masqué, associé à une détestation affichée ou cachée de l’ordre républicain et de son passé, un terreau qui favorise le développement des plantes vénéneuses, les terroristes islamistes ou leurs alliés, et il convient donc d’éradiquer ces plantes vénéneuses.

             Deux questions doivent être posées : est-ce que la justice militaire ne serait pas la mieux placée pour étouffer cette propagande gratuite que nous offrons aux terroristes théocratiques, archaïques et barbares, et à leurs soutiens ?

          Les terroristes encore vivants devraient d’ailleurs avoir le courage de revendiquer la compétence de la justice militaire puisqu’ils ont choisi d’être les ennemis de la France.

            Est-ce qu’il ne serait pas urgent de revoir les conditions d’attribution et de fonctionnement du droit de la bi-nationalité, un droit  qui favorise à l’évidence la radicalisation islamique, avec son double ou triple-jeu ?

            Sur fond de laxisme, d’aveuglement ou de connivence des autorités publiques !

Jean Pierre et Marie Christine Renaud

Pour la plus large diffusion

« Les interventions militaires de la France » La Croix du 31 octobre 2014 avec MM Boniface, de Villepin, et Chevènement

« Les interventions militaires de la France »

La Croix du 31 octobre 2014 avec les points de vue de MM Boniface, de Villepin et Chevènement

         A plusieurs reprises sur ce blog, j’ai fait part de mes réserves sur les conditions des interventions militaires de la France, notamment en Afrique, et le 15 octobre dernier, j’ai proposé une lecture critique d’une chronique de M.Boniface intitulée «  Les conditions d’une intervention militaire » (La Croix du 29 septembre 2014) en concluant cette analyse par la suggestion d’y ajouter trois conditions supplémentaires :

          Dire guerre, de préférence à intervention, c’est-à-dire appeler un chat un chat.

         Dire sans mort car l’opinion publique aujourd’hui indifférente le serait beaucoup moins s’il y avait des morts.

         Dire avec l’ Europe, car la France, endettée jusqu’au cou, continue à faire cavalier seul, quitte à solliciter ensuite le soutien de l’Europe.

       Les trois chroniques citées ci-dessus proposent un éclairage complémentaire sur les conditions qui devraient, ou pourraient, être celles des interventions militaires de la France, ou « guerres ».

      M.Boniface, ancien collaborateur de M. Chevènement, conclut sa nouvelle analyse que je qualifierais de classique, parce qu’elle s’inscrit  dans la ligne gaullo-mitterrandiste traditionnelle, avec la recommandation de «  Renforcer la lisibilité de la politique française », titre de sa chronique.

     M.Chevènement s’inscrit également dans cette ligne classique et approuve ce type d’interventions, à partir du moment où elles répondent au droit international, et en faisant référence à la présence de la France au Conseil de Sécurité.

L’ancien ministre souligne toutefois que 1) « les moyens de la France ne sont pas illimités » et souhaite que ces moyens soient utilisés « de préférence dans les zones géographiques où la France exerce traditionnellement son influence. »

      Pourquoi classique, ou traditionnelle ?

     Parce ce que type d’analyse revêt à mes yeux une couleur du passé en ne tenant pas compte des changements d’échelle des puissances du monde qui se sont produits depuis trente ans, avec l’arrivée de nouvelles puissances, Chine, Inde, ou Brésil…

      Depuis de Gaulle et Mitterrand, le monde a bien changé !

     La France et l’Europe ont besoin d’une révolution stratégique et le discours du gaulliste de Villepin que je qualifierais volontiers de moins gaulliste que celui des deux autres signataires, est un discours novateur sur l’évolution du monde, la nécessité d’y adapter la France  par une nouvelle stratégie de la paix, avec un Commissaire européen à la paix, « une force militaire de réaction rapide sous drapeau de l’ONU», – j’écrirais volontiers de nature européenne-, « doublée d’une force de reconstruction étatique. C’est un savoir-faire de l’Europe. »

      Dernier commentaire sur ces contributions :

     Une grande discrétion sur la question des budgets de ces fameuses interventions militaires, mais surtout aucune remarque sur les pouvoirs exceptionnels d’un Président qui peut engager la France dans de nouvelles guerres, sans que le Parlement ne l’y autorise, dès le premier acte, c’est-à-dire, dès le « j’ai décidé » de déclarer la guerre !

      Comment ne pas relier enfin ce type d’analyse au succès européen de Philae à des centaines de millions de kilomètres de la myopie politique de nos dirigeants sur l’état de la puissance française et européenne ?

Jean Pierre Renaud

« Les conditions d’une intervention militaire » par Pascal Boniface dans la Croix du 29 septembre 2014


            Dans cette chronique, M.Boniface propose une analyse historique et technique des interventions occidentales dans les pays étrangers, mais sans rappeler toujours les raisons de ces interventions.

       A ses yeux, «  Trois facteurs viendront déterminer l’avenir des interventions militaires extérieures » -– les visions opposées de l’ingérence au Nord… à l’égard du Sud … , la fin du monopole occidental sur la puissance ; le poids croissant des opinions publiques dans la détermination des politiques étrangères.

        Facteurs ou circonstances ?

         Il propose un raccourci historique de certaines interventions extérieures du siècle passé qu’il classe, sans les citer, dans la catégorie des «  promenades de santé » … « comme elles le furent presque jusqu’à la fin du XX °siècle. »  en passant à d’autres interventions récentes qui n’ont pas connu de réussites, telle celle d’Afghanistan.

        « En Libye, le succès initial a laissé place au chaosEn dehors de la situation libyenne, du choc qu’a éprouvé en retour le Mali…»

       « Il y a cependant des interventions réussies. On peut citer celle modeste du Timor-Oriental. On peut également citer l’intervention française au Mali : elle fut de courte durée – (nous y sommes toujours) –, les adversaires faibles – (ils sont toujours là ) -, elle se fit à la demande de la population malienne – ( il n’y avait plus d’Etat ) – et rencontra un soutien régional et mondial, avec de surcroît un feu vert juridique de l’ONU – après que le Président ait annoncé : « j’ai décidé », comme il l’a fait après, pour la Centrafrique, et comme il vient de le faire pour l’Irak.

          Est-ce que ces interventions ont été effectuées en respectant les conditions que propose M.Boniface, lesquelles seraient les suivantes ?

       « En premier lieu, il ne faut pas confondre monde occidental et communauté internationale »

       « Ensuite un mandat du Conseil de sécurité reste la meilleure garantie de légitimité …

          Il est aussi impératif de réfléchir au jour d’après. Le contre-exemple libyen en est la démonstration….

        Les guerres de contre-insurrection ne peuvent être gagnées qu’à condition d’avoir un allié national puissant sur lequel on peut s’appuyer, capable de mettre en œuvre rapidement une solution politique. »

         Comme ce fut le cas en Libye, au Mali, en Centrafrique, et  aujourd’hui en Irak ? Avec des alliés puissants qui sont absents ?

         A lire ce texte, la France n’aurait donc pas dû s’y engager.

        Les interventions françaises récentes ne s’inscrivent en effet pas dans ce type de schéma, même si l’ONU, a dans un deuxième temps, entériné le « cavalier seul » de la France – j’ai décidé –  qui fleure un peu trop une nouvelle forme de néocolonialisme, un mélange d’intérêt et d’idéalisme pas très éloigné de la mission civilisatrice (des colonies) de la France (aujourd’hui l’humanitaire), ou encore de la grandeur passée du pays (la France reste une grande puissance).

       L’exposé de M. Boniface soulève des questions auxquelles il ne parait pas apporter de réponse, au moins dans le cas de la France, pour laquelle j’ajouterais volontiers trois conditions supplémentairesla première, appeler un chat un chat, c’est-à-dire, les conditions de « la guerre » au lieu « d’une intervention militaire », et puisqu’il s’agit de guerre, redonner au Parlement le pouvoir d’en décider.

      La deuxième, afficher clairement le ou les objectifs de notre guerre, c’est-à-dire, ce qui n’est jamais dit aujourd’hui, une « guerre sans morts ».

     La troisième, arrêter de faire croire à l’opinion publique française que la France peut continuer à faire ses exercices de puissance militaire extérieure sans l’Europe, le véritable siège de notre puissance, tout en faisant comme si – c’est éclatant dans le cas de l’Irak –  le gouvernement conservait une liberté d’action (sous le parapluie américain), tant que l’Europe refusera d’exercer une forme nouvelle de puissance militaire.

Jean Pierre Renaud.

N B – Les lecteurs intéressés par ce type de sujet peuvent consulter mon analyse de la thèse qu’a défendue la capitaine Galula sur le guerre contre-révolutionnaire, à partir de son expérience algérienne sur ce blog aux dates suivantes : 21/09/2012 et 5/10/2012

Guerre au Mali entre Paris et Alger: une très bonne nouvelle!

Le Monde du 23 mai 2014, page 8

 » Paris et Alger engagent un partenariat militaire

Les deux armées ont mené les premières opérations coordonnées au nord du Mali »

        A plusieurs reprises, j’ai eu l’occasion de faire observer sur ce blog que la France avait engagé nos forces armées au Mali au début de l’année 2013 dans des conditions contestables à la fois sur le plan historique, international, et démocratique.

         Il était tout de même très étrange de voir la France intervenir au Sahel sans que l’Algérie ne soit pas, au prélable, sollicitée pour y être associée.

« La vie militaire aux colonies » par Eric Deroo – Lecture

« La vie militaire aux colonies »

par Eric Deroo

Lecture

            Un livre intéressant, avec de belles images, mais qui soulèvent quelques questions préalables, outre les autres remarques qu’il est possible de faire sur certains de ses chapitres, avec une grande réserve, pour ne pas dire plus, en ce qui concerne le contenu du chapitre 4 intitulé » « En colonne ». (page 64 à 112). Nous en donnerons les raisons.

 Il contient une introduction « Militaires et photographes » et sept chapitres intitulés : Au-delà de Suez, Rencontres avec l’autre, Des terres nouvelles, En colonne, La grande vie, Sous le casque blanc, et enfin Bâtisseurs d’empires, soit un total, 179 pages d’images et de textes.

            L’introduction prête sans doute une importance qu’elle n’avait pas, parce que non encore démontrée à ce jour (1), au rôle des images et de la photo dans la propagande coloniale :

«  Un processus implacable s’instaure, auquel elle participe largement (la photo) qui légitime l’œuvre coloniale en dévaluant les sociétés conquises et en renforçant la croyance commune dans une échelle des races, avec à son sommet  l’«homme blanc », et sur laquelle d’autres races progressent lentement, qu’il faut aider. »(page 5)

La question se pose par ailleurs de savoir pourquoi le livre a fixé comme borne historique, l’année 1920. (page 9)

Est-ce qu’il n’aurait pas été intéressant par ailleurs d’indiquer si les troupes de marine disposaient, à un moment donné des conquêtes, de photographes des armées, donc organiquement ou non, c’est-à-dire incorporés dans les unités militaires, et à quel niveau du commandement ?

Enfin, est-ce qu’il n’aurait pas été plus rigoureux, et aussi plus respectueux du travail et des œuvres des photographes, sur le plan de l’utilisation des sources, d’indiquer pour chaque image, le nom du photographe ou, faute de nom, de la source, avec si possible la date et le lieu, si possible, ce qui n’est pas toujours indiqué ?

Quant au contenu des chapitres eux-mêmes, rien à dire d’important sur les chapitres Rencontres avec l’autre, Terres nouvelles, Sous le casque blanc et Bâtisseurs d’empire, des chapitres qui illustrent convenablement les sujets traités.

Une observation qui concerne, le premier chapitre intitulé Au-delà de Suez, avec une belle photo d’entrée de jeu qui concerne le détroit de Magellan : un peu surprenant, non ?

Une autre remarque qui a trait au chapitre « La grande vie » : il est un peu étonnant également de voir le chapitre débuter avec la photo d’un empereur d’Annam, Thang Taï, complètement fou, destitué, parce qu’il torturait et assassinait ses concubines.

Et au sujet de ce même chapitre, il parait tout de même difficile de classer les nombreuses photos de la Fête nationale du 14 juillet dans la catégorie « La grande vie ».

Et d’ajouter que pendant la période de conquête, en gros, de 1880 à 1914, les marsouins et bigors qui connaissaient la grande vie, n’étaient pas très nombreux, car leur vie la plus ordinaire était la « colonne ».

Des critiques de fond sur le chapitre « En colonne » :

Le seul chapitre susceptible de faire l’objet d’une véritable critique de fond, sur le plan historique est en effet celui intitulé « En colonne », 48 pages de photos, sur le total des 179 pages de l’ouvrage, soit le quart des pages, avec le chiffre négligeable de dix photos qui ne font qu’esquisser le thème « En colonne », un des thèmes majeurs de la vie militaire pendant la période étudiée.

Avant d’aller plus loin, indiquons qu’il semble tout à fait incongru de classer dans ce chapitre la mission Pavie au Laos (pages 74 et 75) : rien à voir entre l’explorateur aux pieds nus et une colonne.

Les commentaires de présentation utilisent deux expressions pour dénommer une colonne, colonne de police ou colonne armée, sans attacher une autre importance à ce que fut la « colonne » dans l’histoire coloniale et dans l’histoire militaire de l’époque des conquêtes coloniales.

Elle fut le véritable instrument de la conquête coloniale, en Afrique, en Asie, et à Madagascar, avec des caractéristiques qui les rapprochaient quelquefois plus de la « colonne » que de l’expédition militaire, tel que ce fut le cas au Tonkin, au Dahomey, ou à Madagascar.

Les colonnes de la conquête coloniale furent toujours minutieusement préparées, organisées, et menées, avec une réunion des moyens, effectifs, armement, et ravitaillement sur une première base de départ, par exemple Kayes lors des premières colonnes du Soudan.

Une colonne était éclairée par des spahis en éclaireurs, comportait des effectifs plus ou moins importants, centaines ou milliers de combattants, avec le plus souvent une majorité de tirailleurs, des canons de montagne, un convoi de porteurs et de mulets chargés du ravitaillement, et en accompagnement, le long cortège des épouses de tirailleurs.

Et en terrain non pacifié, elle fonctionnait en permanence comme une force de combat, en défense ou en attaque.

A titre d’exemples :

–       En 1883, la colonne du colonel Borgnis-Desbordes qui prit pied à Bamako, comprenait 521 combattants, dont 217 européens et 27 officiers.

–       En 1886, la colonne du colonel Frey comprenait 607 combattants, dont 27 officiers, 50 spahis, 2 médecins, 2 vétérinaires, un service télégraphique. Elle disposait de quatre canons de 4, et de 300 porteurs. Il s’agissait d’un des premiers gros contacts avec l’Almamy Samory.

–       En 1891-1892, la colonne Humbert chargée de combattre Samory dans son fief de Bissandougou, sur le Haut Niger, comptait plus d’un millier de combattants, dont 144 européens. Elle disposait de quatre canons de montagne de 80, dont elle eut à faire usage pour réduire la citadelle de Samory. Sa logistique reposait sur des convois de pirogues venus de Siguiri et de mulets.

Le bilan de cette campagne fut  de 61 combattants tués, dont 2 officiers, et de 176 blessés, dont 12 officiers.

Au Tonkin, dans le Yen-Thé, d’octobre 1895 à décembre de la même année, le colonel Gallieni mit en œuvre des colonnes puissamment armées, avec canons et éléments du génie, pour tenter d’amener un des grands rebelles du Tonkin, le Dé-Tham à accepter sa reddition.

Dans un article très documenté de la Revue Maritime et Coloniale,  le capitaine Péroz examinait cette technique de conquête coloniale, en la comparant à celle comparable que mettaient en œuvre les Anglais, mais avec une intendance extraordinairement plus lourde que celle des Français.

Le capitaine Péroz proposait de comparer une colonne à une « forteresse ambulante », et pour avoir analysé en détail certaines des conquêtes coloniales de l’époque, ce terme était tout à fait approprié (2).

Il est donc évident que le très petit nombre de photos proposées pour illustrer le thème « en colonne » ne rend absolument pas compte de la vie et des campagnes en colonne qui constituèrent l’essentiel de la vie militaire aux colonies, jusque dans les années 1914, moins de dix photos, dont quelques-unes intéressantes, à Madagascar, en 1907, donc dans la phase de pacification postérieure à la conquête (page 64 et 65), et au Soudan, en 1898,  lors de la capture de Samory (pages 96 et 97) .

Jean Pierre Renaud

(1)  Voir le livre « Supercherie Coloniale » Mémoires d’Hommes 2008

Voir les analyses à ce sujet (page 179) dans le livre « Le vent des mots, le vent des maux, le vent du large » Editions