Merkel et Macron et les partis politiques: un « karambolage » franco-allemand ?

Merkel et Macron et les partis politiques : un « karambolage » franco-allemand, à la mode d’Arte ?

            La Loi Fondamentale de la République Fédérale Allemande et la Constitution de la République Française reconnaissent le rôle constitutionnel des partis dans la formation de la volonté politique du peuple.

            A Berlin, et après les nouvelles élections, la Chancelière négocie avec les partis politiques une nouvelle alliance de gouvernement.

            A Paris, et pour se faire élire, le Président a joué les réseaux sociaux contre les partis politiques, et depuis, il n’a de cesse de tenter de débaucher certains de leurs dirigeants, et donc de les affaiblir : en parallèle, il tente de constituer un nouveau parti, dont le résultat est loin d’être assuré.

            Pourquoi ne pas noter que le Président actuel s’exonère ainsi de son rôle de protection constitutionnelle, en tentant de discréditer le rôle des partis politiques encore en vie ?

            Pourquoi ne pas noter aussi que certains pourraient y voir l’expression d’une forme moderne de césarisme ?

           Jean Pierre Renaud

Entre compères énarques, Le Maire et Moscovici; le déficit de plus de 2 300 milliards d’euros!

Entre compères énarques, Le Maire, le Marcheur en France, et Moscovici, le socialiste à Bruxelles, le choc des photos : la photo !

Le Figaro économique du 1er décembre 2017, en première page la photo de :

Bruno Le Maire ministre de l’Economie et Pierre Moscovici commissaire européen aux Affaires économiques et financières

« Déficit : Paris négocie au forceps à Bruxelles

Certains aspects du budget pourraient être contestés par la Commission et remettre en cause le rétablissement des comptes publics. » 

            Je te tiens, tu me tiens par la barbichette sur le déficit de la France !

            Curieuse photo sur laquelle on voit les deux compères échanger des propos sur un déficit de la France qui est encore trop élevé !

            Comment s’y retrouver dans la responsabilité politique de nos déficits publics entre le duo Hollande-Macron, et le duo Macron- Le Maire ?

            Je donne ma langue au chat !

            De toute façon, le débat actuel sur le budget 2018 ferme les yeux sur la dette du pays, plus de 2 300 milliards d’euros, avec un budget qui, en fin d’exercice, ne survit qu’avec une dose supplémentaire de respiration artificielle, c’est-à-dire celle des emprunts supplémentaires sur le marché international des capitaux.

          Jean  Pierre Renaud

Tournis, vertige politique… une révolution qui ne dit pas son nom… avec Macron

Tournis, vertige politique, grand dérangement, chamboulement ?

Une révolution qui ne dit pas son nom !

            Avec Hollande, chaque jour une parole ou une image !

            Avec Macron, chaque jour une annonce nouvelle !

            Au risque que l’opinion ne s’y perde, dans cette sorte de buzz permanent de marketing politique, dans les réseaux sociaux ! Est-ce que la France va retomber sur ses pieds, telle est la question ?

            A vouloir toucher toutes les touches du clavier en même temps, la France risque fort d’être prise d’une nouvelle sorte de vertige, mais il ne s’agira pas du « langoureux vertige » du poète Baudelaire.

            Jean Pierre Renaud

La Start-up Macron ? Nouvelles du jour !

  Petit rappel de mémoire :

            Le 3 mai 2017, j’ai publié un billet d’ambiance politique intitulé :              « L’économie électorale pour les nuls ! La Start-up Macron du nouveau marché ! Un vrai conte pour enfants ! »

        Je concluais mon billet en écrivant :

        « Tout le problème pour cette start-up, cette fusée électorale, va être celui de son retour dans l’atmosphère sur ce nouveau marché politique, à voir le nombre des start-ups de toutes catégories qui jonchent les marchés. »

       Le 22 août 2017, nouveau billet intitulé :

        « La start-up Macron : nouvelles du jour »

        J’écrivais :

      « La start-up Macron a pu réaliser sa percée grâce au poids des abstentions et du vide politique alors créé.

       Il s’agit à présent d’investir ce nouveau marché politique… »

       Il est évident que le retour de la fusée dans l’atmosphère du pays n’est pas encore assuré : le « produit Macron » lui-même, explose dans tous les sens. En parallèle, les réseaux sociaux de « vendeurs », de « relais » du produit Macron, ne paraissent pas stabilisés, à partir du moment où le nouveau Président a donné la préférence au soutien de ces réseaux mobiles plutôt que de négocier un accord de gouvernement avec les partis traditionnels reconnus par notre Constitution et dotés d’une bonne armée de militants sur le terrain.

    Je ne suis pas convaincu que les Marcheurs puissent se transformer en grognards de la République, même si le Président aime à cultiver une image à la Bonaparte.

     Jean Pierre Renaud

La start-up politique Macron : nouvelles du jour

  La start-up Macron a pu réaliser sa percée grâce au poids des   abstentions et du vide politique alors créé.

            Il s’agit à présent d’investir ce nouveau marché politique.

            Quelle stratégie, et quelle hiérarchie dans les objectifs ?

            La situation est loin d’être claire.

            Quelle pédagogie de la réforme ?

           L’exemple du Code du Travail en montre les limites : le gouvernement obsède l’opinion publique avec l’appellation « Code du Travail », sans avoir aucunement expliqué pourquoi les emplois et la croissance ne peuvent rebondir sur la longue durée qu’en allégeant les règles du jeu du travail.

           Peut-être aurait-il fallu aussi annoncer l’institution d’un vote obligatoire des salariés pour l’élection des représentants des syndicats, de syndicats qui ne sont pas plus représentatifs que ceux du patronat, de même que le transfert des compétences de l’Etat au profit des régions, en matière de formation ?

            Jean Pierre Renaud

Valeurs de la politique ? L’honneur, l’amour propre, la parole publique ? La gouvernance de la France ?

L’honneur et l’amour propre d’un ancien Président ?

            Comme si de rien n’était, cet ancien et récent Président se met à nouveau en scène dans les médias ! Comme s’il n’était pas le vrai responsable de la déconfiture du Parti Socialiste, « son » parti, de la défaite des gens qui l’ont soutenu, de l’état de crise de notre pays !

            Nul n’est besoin de revenir sur l’honneur et l’amour propre dont ont fait preuve les ministres UMP qui ont retourné leur veste pour rallier le camp Macron.

La parole publique ?

         Que peut bien valoir la parole publique d’un Bayrou qui jette aux orties des collègues qui auraient trop aimé l’argent public, alors que son petit parti, devenu subitement « gros », n’aurait jamais pu subsister, sans le secours d’expédients financiers ?           

        Que celui qui jette la première pierre soit sans péché … Outre le fait que personne ne sait en France ce que l’homme politique en question a bien pu proposer de concret sur l’Europe, ou en ce jour d’anniversaire du martyre du père Hamel (vade retro satanam !), ce qu’il a proposé d’utile pour  ramener la paix civile dans notre pays !

Parole publique, gouvernance de la France ou gesticulation médiatique?

            A prendre connaissance des contradictions, des allers et retours de la parole publique de la gouvernance Macron, de ses zigzag, il n’est pas interdit de s’interroger : par quel miracle de coups médiatiques ou de tweets, de recrutement sur les réseaux sociaux, la politique de réforme pourra bien trouver un appui politique au-delà des 20% d’électeurs qui ont élu le nouveau président ?

            A noter que Macron, comme tous ses prédécesseurs, est saisi du même prurit de politique internationale ! Il reçoit à tour de bras (je touche le bras et le dos), successivement Poutine, Trump, ou Netanyahou (Bibi pour les  intimes)…

            Je n’aurai pas la cruauté de penser que la Présidence actuelle souffre d’une sorte d’enfantillage politique, du complexe du petit ou du grand chef, et d’une trop grande propension à la téléréalité : un jour, sous-marinier ou boxeur, un autre jour pilote ou ami des vedettes de la chanson…

Jean Pierre Renaud

L’économie électorale pour les nuls! – La start-up Macron du nouveau marché! -Un vrai conte pour enfants!

La start-up Macron du nouveau marché !

Un vrai conte pour enfants !

            Le 8 mai 2016, le candidat Macron va fêter Jeanne d’Arc à Orléans.

            Avait-il entendu des voix, celle d’un « roi » qui croyait encore qu’il pourrait être le sauveur de la France, comme s’il pouvait être le lointain successeur du roi Charles VII ?

            Une fois son mouvement lancé, et ce nouveau marché défriché,  le fondateur de la nouvelle start-up politique, une « première », lance successivement ses appels de concours au soutien électoral.

            Le premier de la classe, pour qui ? A l’écouter ! Toujours dans le « grand oral » ?

            Il va à Alger à la rencontre de la dictature FLN, pour courtiser le vote des électeurs d’origine immigrée, en décrétant que la colonisation était un « crime contre l’humanité ».

            Une fois la première manche gagnée, il trace un parcours intelligent et bien balisé d’hommages aux groupes de pression dont il pense avoir besoin pour collecter d’autres concours de soutien électoral, à nouveau le vote des électeurs d’origine immigrée à Sarcelles, le « quartier sensible » cher à Strauss-Kahn, ou celui des juifs avec sa visite au musée de la Shoah.

        A son dernier grand meeting parisien, pourquoi ne pas regretter qu’il n’ait pas cru devoir déployer toute la brochette de la nomenclature politique qui le soutient, en même temps qu’elle est très largement responsable des succès électoraux du Front National ?

       Les médias ont d’ailleurs été d’une grande discrétion dans leurs images ou dans leurs comptes rendus sur la présence ou l’absence des nombreuses éminences politiques de gauche ou de droite du « système » dont la dénonciation fait la fortune électorale de cette nouvelle start-up, à la conquête d’un nouveau marché.

     J’aimerais simplement attirer les lecteurs sur les quelques-unes des chroniques que j’ai publiées sur le sujet et sur ce blog, depuis 2011, dont au moins deux étaient intitulées « Au loup, au loup, le Front National arrive ! »

      La faute à qui ? Dites-moi !

     Tout le problème pour cette start-up, cette fusée électorale, va être celui de son retour dans l’atmosphère sur ce nouveau marché politique, à voir le nombre des start-ups de toutes catégories qui jonchent les marchés.

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Humeur Tique « Au loup ! Au loup ! » Le Front National arrive !

            « Cela fait des années qu’une coalition médiatico-politique fait le jeu du Front National en imposant aux Français et aux Françaises un régime de tabou de la parole, de silence, pour ne pas dire une sorte de terrorisme intellectuel et politique qui ne dit pas son nom.

            Interdit d’aborder les sujets qui fâchent, les immigrations du Sud et celles de l’Europe de l’Est, les demandeurs d’asile, l’acquisition de la nationalité et de la bi-nationalité, le fonctionnement libéral de l’Europe, etc…, sauf à se voir aussitôt accusé d’être un suppôt affiché ou clandestin de cette formation politique !

            Depuis des années, le Front National n’a donc pas eu besoin de dépenser beaucoup d’argent pour faire sa propagande, étant donné que ses nombreux adversaires, de bonne ou de mauvaise foi, faisaient à sa place, la propagande qui lui était nécessaire.

            Faute d’avoir eu le courage d’ouvrir tout grands ces dossiers et de leur apporter des réponses, les mêmes de cette coalition médiatico-politique voient effectivement le loup arriver dans une France en pleine crise morale, politique, économique, et sociale, sur le terrain favorable de toutes sortes de peurs, vraies ou fausses. » (8/10/2013)

Jean Pierre Renaud

« Coloniser, c’est Storaniser ! » Acte II

« Coloniser, c’est Macroniser ! »Acte I

« Coloniser, c’est Storaniser ! » Acte II

« Coloniser, c’est Customiser ! », à la sauce d’une agit-prop professionnelle !

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« Le Parisien du 17 février 2017, page 4 :

La chronique : « Mais quelle mouche  a piqué Macron ?

Polémique –  En qualifiant la colonisation de « crime contre l’humanité »… » et en défendant la Manif pour tous… »

En bas de page : avec la photo de M.Stora à gauche, l’interview de l’historien de l’Algérie, sous le titre :

« En matière de colonisation, la France a bâti un faux modèle républicain »

          Après les « crânes » des « résistants »  algériens, en 1854,  à rapatrier en Algérie, les « mémoires dangereuses »,  « les crimes contre l’humanité » !

           M.Stora a-t-il la prétention de prendre pour postulat de son discours le « modèle » algérien ? Lequel serait représentatif de l’histoire de la colonisation française ?

            M.Stora vient ici au secours du candidat Macron ? En aurait-il tant besoin ?

      « C’est un problème d’autant plus insoluble – (déposer plaintecontre les crimeset faire poursuivre) –  qu’en France, dès que l’on prononce les mots « crimes contre l’humanité », le débat est clos ou se politise. Il est quasiment interdit d’évoquer tout acte de violence commis par la France pendant la colonisation »

          Les historiens connaissent sans doute, et à ce sujet, les récits de Loti, Maran, Vigné d’Octon, Augagneur, Gide, Roubaud, Londres …, pour citer quelques auteursde la Troisième République, ou plus récemment, et par exemple, ceux de M.M Boiteau et Tronchon sur Madagascar, ou de Mme Branche sur la torture…

          « La France a bâti un faux modèle républicain » : la France a-t-elle voulu mettre en œuvre ailleurs qu’en Algérie, après 1945, et contre l’opposition permanente de la minorité agissante des Français d’Algérie, le « modèle républicain », avec la complicité des partis de gauche ou de droite ?

           De quelle République parlons-nous ? Celle de la République laxiste de Mitterrand et de Chirac qui ont laissé faire pour que la République soit tellement absente de nos quartiers sensibles ?

         A la fin de son interview, M.Stora repart sur son terrain de prédilection, celui des populations d’origine immigrée :

        « Comment expliquer à ces catégories de la population qui descendent de l’histoire de la colonisation que, soixante ans après, on ne peut toujours pas tenir en France des critiques contre ce système ? La colonisation est devenue un marqueur identitaire comme l’esclavage pour les Noirs. C’est une question historique aux conséquences politiques très vivaces. »

         Fermé le ban !

        Dieu soit loué ! En dépit de sa faible fréquentation, – pourquoi ? – la Cité de l’Histoire de l’Immigration contribue sûrement à combler ce gouffre d’ignorance.

          « On ne peut toujours pas tenir en France des critiques contre ce système »  : alors qu’à longueur d’année des historiens, des chercheurs, des intellectuels, dénoncent les méfaits de la France coloniale, le plus souvent sans connaître grand-chose de son histoire ?

        « Comment expliquer à ces catégories de population … ? Des catégories que M .Stora se garde bien de vouloir faire compter, car il n’a  jamais jusqu’à présent fait mesurer le champ d’un de ses thèmes préférés, celui de la mémoire coloniale, alors qu’il surfe en permanence sur le sujet ?

           Comment expliquer aux Français que cette absence supposée de critique puisse justifier que « la colonisation est devenue un marqueur identitaire… », alors que les « experts » ne savent même pas, ou ne veulent pas le mesurer, et que les Français constatent de plus en plus, compte tenu des flux de l’immigration passée « régulière » ou « irrégulière », que c’est l’Islam qui est peut-être devenu le « marqueur identitaire » ?

           Comme je l’ai déjà écrit, il est tout de même très étrange que ces catégories de population marquées du fer rouge de la colonisation, soient venues, et viennent encore nombreuses se placer sous le joug d’un  système colonial qui existerait toujours en France, pour appeler un chat un chat, notamment de la terre qui a vu naître M.Stora, au cours de la décennie noire des années 1990 2000.

           Pourquoi agit-prop professionnelle ? Parce que ces intellectuels tiennent un discours idéologique qui semble ignorer les grands progrès qui ont été réalisés dans l’histoire quantitative, et ici, dans la mesure statistique de ces fameuses « mémoires » collectives, ce qui n’était pas le cas avant 1939-1945.

       Ils ne font que se cantonner dans le discours des idées, et c’est évidemment plus confortable !

Jean Pierre Renaud

La France est entrée dans une ère de pleine fiction politique !

      La République française, place de la République ?

            Le gouvernement et le Parlement ont décidé de mettre la France en « état d’urgence », contre le terrorisme, et depuis plusieurs semaines, la Place de la République, est occupée par une sorte de coalition d’anarchistes, d’agitateurs professionnels,  et de rêveurs « innocents »,  mâtinée de bandes de casseurs.

            Résultat : les forces de sécurité sont quotidiennement détournées de leur mission nationale de protection et de défense.

         Conclusion : le gouvernement est incapable de faire respecter l’ordre public.

        Alors que la situation du pays échappe de plus en plus complètement et de toute part au Président,  ce dernier fait comme s’il ne se passait rien dans notre pays. Certains observateurs diraient qu’il passe plus de temps dans l’avion  présidentiel que dans son pays.

      D’autres observateurs trouveraient que la situation française ressemble fort à celle qui avait précédé en 1958 le retour du général de Gaulle au pouvoir, à la seule différence près qu’il n’y a plus de de Gaulle.

               Pourquoi ne pas dire que le pouvoir de l’Etat « part en couille » ?

Macron, le nouveau porte-étendard de Jeanne d’Arc !

            L’ancien pensionnaire de la banque Rothschild a-t-il vraiment beaucoup de choses à se faire pardonner pour tenter de capter un petit brin du mythe de Jeanne d’Arc ?

           Autre hypothèse : à  quel prince ou à quel roi le futur « puceau d’Orléans » a-t-il proposé son aide spirituelle ? Pour sauver la France ?

        Dans quel siècle vivons-nous ?

     Jean Pierre Renaud

Primaires à gauche, primaires à droite ? Macron ? Terroristes, Zorro, ou Zozos

Primaires à gauche, primaires à droite ? Macron,  électron libre, vraiment ?  Terroristes, Zorro, ou Zozos ?

           Les primaires –

         J’ai déjà manifesté mon opposition à ce mode de désignation des candidats à l’élection présidentielle, et je la renouvelle pour au moins trois raisons :

        La première : la contradiction qui existe entre l’article 4 de notre Constitution, qui reconnait le rôle des partis politiques dans la démocratie et cette nouvelle pratique politique qui donne la possibilité aux mêmes partis de se défausser de cette responsabilité en la transférant aux électeurs, quels qu’ils soient, ces derniers ayant la charge de désigner la ou le plus populaire d’entre eux.

       La deuxième : le constat que ces joutes politico-médiatiques misent beaucoup plus sur le coefficient de popularité de tel ou tel candidat, sur leur ego, que sur les projets, les idées, en faisant basculer une élection présidentielle vers un nouveau type de manifestation politique cosmétique.

      La troisième : le constat qu’avec la combinaison du quinquennat présidentiel et des primaires, le pays est plongé dans une campagne électorale permanente.

        Macron,

         nouvel OVNI, ni gauche ni droite, mais ministre d’un gouvernement socialiste ! Aurait-il honte d’être socialiste, mais alors que fait-il  dans ce gouvernement ?

        L’irruption de Macron dans le jeu politique n’est pas innocente : quels sont ceux ou celles qui tirent les ficelles ? Pour ajouter encore plus à la sorte d’anarchie des idées qui règne dans le pays ? Une sorte de relève de la gauche caviar qui ne dit pas son nom ? Une  manip de plus d’un Hollande manœuvrier qui a trop tendance à confondre la carte de France avec celle d’un Parti Socialiste, dont il fut longtemps le tireur de ficelles le plus averti ?

Terroristes, Zorro, Zozos ?

           Nos gouvernements et nos médias font une drôle de guerre !

         Ils s’empressent tous de faire de la pub à ces nouveaux barbares, on vous file leurs portraits sous les yeux, toutes les heures et tous les jours,  vous savez tout de leur passé, petits ou grands délinquants, mais aussi gentils petits garçons, de leurs allers et retours en Syrie ou d’ailleurs, de leurs exploits, c’est-à-dire de leurs lâches assassinats d’innocents et d’innocentes.

           Est-ce que dans certains milieux de France, certains jeunes convertis ou pas, ne se prendraient pas déjà pour des Zorro ?

Jean Pierre Renaud