Les Folies de la Coupe du Monde à Doha !

Un titre du Figaro le 18 novembre 2022

(page 12 SPORT )

«  Coupe du Monde : Doha monte timidement en température » 

50 degrés à Doha ?                  

Commentaire :

Vous prendrez bien un petit coup de CO2 ou d’Empreinte Carbone,  surtout pas de Vodka ?

Et pendant ce temps-là à la COP 27, à SHARM EL- SHEIKH, en Egypte, pas trop loin, on vaticine à bloc…

Après les Mascottes Phrygiennes de Chine, la République Française va-t-elle enfin faire preuve d’intelligence climatique pour les JO 2024 ?

Les Français en ont assez des faux discours, de la démagogie politique !

Jean Pierre et Marie Christine Renaud

Actualités du Jour

Comme prévu et comme annoncé, mais avec la complicité et la bêtise des autorités publiques financières, les crypto monnaies s’écroulent !

Ci-après la chronique que j’avais publiée le 11/3/2O21

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Le Bitcoin, la monnaie de toutes les spéculations et de toutes les malversations !

Attention à notre confiance dans nos monnaies !

            Depuis l’éclosion de cette fausse monnaie, la passivité des banques centrales du monde est pour le moins surprenante, et pour tout dire irresponsable.

            Cherchent-elles à nourrir toutes les spéculations malhonnêtes, à prêter la main aux transferts d’argent sale, ou pire encore à arrondir leur tiroir-caisse ? Qui sait ?

            On nous apprenait lors de nos études économiques et financières de licence et de doctorat à tirer les leçons de la loi de Gresham, cette loi  du 16ème siècle, dont la devise était « La mauvaise monnaie chasse la bonne ».

            Cette loi aurait-elle été jetée aux orties ?

            Le 9 mars 2021, Le Figaro Economie a publié une série de chroniques sur le sujet, sous les titres «  Le bitcoin menace-t-il la stabilité financière ? » en première page, et en pages 2 et 3 « La vogue du bitcoin met les autorités financières sur le qui-vive ».

            Le jugement du Gouverneur de la Banque de France – mais à quoi sert-elle avec l’euro ? – est consternant «  Un enseignement de l’histoire des placements depuis des siècles : les arbres ne montent pas jusqu’au ciel ».

La Banque de France est elle-même passée au « Vert » ?

            Qu’attend la Banque Centrale Européenne pour interdire cette fausse monnaie ? Jean Pierre Renaud        Tous droits réservés

Les Républicains ?

« La porte étroite »

Etienne de Montety

Le Figaro du 20 juillet en Première Page

Cet éditorial exprime bien les enjeux d’un parti de droite qui a l’ambition de gouverner la France en proposant d’emprunter un nouveau chemin, mais lequel ? 

         « La porte est étroite, le chemin rendu plus périlleux encore par ces deux écueils que représentent politiquement le parti présidentiel Renaissance d’un côté et le Rassemblement national de l’autre. Impossible de les ignorer, mais s’en approcher de trop près, c’est risqué d’être happé. Mortelles randonnées. » …

         « Etre ou ne pas être »… mais d’abord être soi-même »

         « La porte étroite » ?

         Avec Shakespeare ou André Gide ?

         Sortons de l’embrouillamini politique !

         Dans un pays fluide, ouvert à tous les vents, en quête de confiance, avec un chef d’Etat dont la personnalité politique s’est construite dans la transgression, le tout disruptif, le volatil ?

         Ne sommes-nous pas sur un tout autre échiquier, celui de la stratégie politique choisie pour redonner une boussole politique à la France, celle d’un retour aux sources, aux fondamentaux, et non à cette renaissance en papier mâché des réseaux sociaux ou d’un Roi solitaire ?

         De la clarté, de la simplicité !

Changeons d’échiquier ! Revenons aux sources de la civilisation française classique, la clarté de sa langue et de son rationalisme, et non à cette bouillie des valeurs dont beaucoup se revendiquent sans trop savoir ce que c’est.

         Redonnons le pouvoir aux Français et aux Françaises en chair et en os à partir :

 –  du qui fait quoi,

– à chacun son métier, et les vaches seront bien gardées entre l’Union Européenne, la France, les Régions, les Départements, les Communes,

– une répartition claire des compétences et des pouvoirs à chaque niveau de l’échiquier, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui !

 – remettons l’establishment parisien à sa place dans nos institutions, cet ensemble de groupes de pression multicartes dont les membres se passent le sel et le poivre et gouvernent depuis plusieurs d’années notre pays, sans mandat politique.

Les institutions parisiennes sont à réformer complètement  pour tenir compte de l’évolution médiatique, politique, et économique de la Région qui confère à la Ville de Paris un pouvoir en excès de pouvoir par rapport aux collectivités concurrentes des autres régions, parisienne, régionales, ou nationales.

Avec l’évolution du pays, la redistribution des pouvoirs entre les différentes collectivités, les grandes réformes des années 1960 sont frappées d’obsolescence.

Mettons effectivement en œuvre les principes constitutionnels de la subsidiarité et de la séparation des pouvoirs.

Frontières, coopération européenne, ordre public, sécurité (1) exercice pratique), justice, école, économie du bien commun.

         Jean Pierre Renaud     Tous droits réservés

  1.  Exercice pratique : « Le Figaro du 16 août première page »

 « Refus d’obtempérer : les forces de l’ordre défiées au quotidien

Depuis le début de l’année, 70 cas de barrages forcés ou de policiers et gendarmes percutés sont enregistrés chaque jour. Au-delà du danger, ils reflètent une grave crise d’autorité »

« Réinventer un nouveau parti » ? 

Qu’est-ce à dire ?

Venu du « ciel » ?

« Macron m’a demandé de réinventer un nouveau parti »

Candidat pour diriger le futur parti présidentiel Renaissance, Stéphane Séjourné promet de l’« enraciner » et de « recréer une colonne vertébrale idéologique »

Le Figaro, page 5, 7/07/2022

Qu’est-ce à dire ?

Le Président aurait-il un parti politique, qu’il faudrait déjà le réinventer, alors qu’il a à peine six ans d’existence ?

Il serait déjà passé dans « l’ancien monde » ? Etrange, non ?

Avant toute chose, rappelons l’essentiel :

Dans son article 4, la Constitution de 1958 dispose :

« Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage universel. Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie. »

En France, le parti politique a un rôle institutionnel, constitutionnel, aider les citoyens à se  former et à défendre une opinion politique, un rôle donc d’intermédiaire démocratique pour le bien commun de la République.

            Comme le constate Monsieur Séjourné, le parti LREM manque sérieusement d’enracinement et n’a comme « colonne vertébrale » que le Président.

            Quelle a été la doctrine, les objectifs de cette association LREM, sinon donner le pouvoir à Macron, alors que les partis traditionnels ne remplissaient plus leur fonction. C’est sur ce terrain qu’il convient de se placer pour proposer des solutions, une nouvelle organisation des pouvoirs, des partis qui « servent » leurs fonctions d’animation et de représentation.

            Pour venir au pouvoir, Macron n’a pas eu besoin d’un parti, mais d’une machinerie politique calquée sur celle d’une entreprise à la conquête d’un nouveau marché : Macron a su tirer parti de la machinerie des algorithmes en collant tout le temps au mouvement de cette mécanique du « marché politique » : idées, engagements, objectifs, oui, mais en collant au « marché ».

            Tout au long de son premier mandat, Macron a tout fait, ou n’a rien fait pour ressusciter un parti politique. Séjourné va avoir du travail pour inventer un produit venu du « ciel » politique.

            Depuis 2017, il a tout fait pour « tuer » les anciens partis qui avaient effectivement besoin de se renouveler, en recourant à de nombreux procédés : le premier a été, après son élection, d’ignorer les oppositions. La nouvelle législature l’a obligé à changer de cap, mais, dans les apparences en suscitant une méfiance légitime.

Plutôt que de débattre sur des enjeux, d’un soutien, d’une coalition avec des objectifs, Macron a préféré le système de débauchage quasi-institutionnel, une pratique politique détestable, au détriment des partis de droite ou de gauche…

            Le recours à différents gadgets démocratiques tels que le Grand Débat des Gilets Jaunes, ou les tirages au sort sur le climat, n’a pas contribué à redonner du lustre aux institutions représentatives, une Française des Jeux Politiques, plutôt qu’un ressourcement de la République…

Un parti politique pour quoi faire ? A quoi ça sert ?

            Il faut refonder nos institutions, les adapter à la France et à l’Europe du siècle actuel et les partis retrouveront leur finalité.

Redonnons du sens au vote démocratique en répondant à la question du vote : « A quoi ça sert ? »

L’abstention fait des ravages, mais une des causes n’est-elle pas l’impossibilité pour un citoyen de savoir à quoi et ça sert et qui décide ? 

            Il faut donc redessiner la carte des compétences et des pouvoirs entre l’international et  le national, entre les territoires et les métropoles, donner  du pouvoir aux régions, faire un grand ménage, afin que les citoyens sachent enfin qui fait quoi .

            Le vrai débat doit porter sur les institutions et les partis politiques. Un parti n’est pas qu’une organisation.

            Le parti n’est qu’une partie du sujet !

                     Jean Pierre Renaud

L’Economie Française en pleine dérive démagogique !

  1. Peut-on faire crédit à la Banque de France et à la BCE ?  Avec un bitcoin en déroute ?

A quoi sert-elle ?

Dans le Figaro Economie du 23 juin 2022, pages 22 et 23 :

« Dette : l’avertissement  de la Banque de France » (page 22)

« Il serait illusoire de penser que notre dette est encore sans coût et sans limites » (page 23)

  1. Est-il possible de rappeler que l’institution, pour ne pas dire, le Gouverneur, fut moins regardante avec les chèques du président ?
  2. Autre question non évoquée, le krach du bitcoin pour lequel le Gouverneur a fait preuve d’une mansuétude toute évangélique…

Autre signal !

4 – « La dette s’envole et approche les 3 000 milliards »

« Au premier trimestre, elle  a progressé de 90 milliards et représente 114,5% du PIB »

Le Figaro Economie des 25 et 26 juin 2022

D’aucuns diraient, cela fait des années que la France s’endette sans problème, grâce à un marché  financier favorable.

  1. La fête est finie, même si le ministre Le Maire nous dispense de belles paroles que l’histoire internationale et française a toujours démenties :

« Nous allons devoir rétablir nos finances publiques. Nous allons le faire sur la base d’une stratégie différente de celle qui a échoué au cours des dernières décennies… »

Qui a déjà échoué depuis « février 2022 », date de cette déclaration…, et tout au long du quinquennat Macron…

Avec une série de discours ou de décisions contradictoires qui sapent toute confiance !

Jean Pierre Renaud

Persécution des Chrétiens dans le monde entier

En 2021 :

5 898 Chrétiens « tués en raison de leur foi » !

Soit + 24 % par rapport à 2020 (1)

Les pays à la pointe des persécutions, l’Afghanistan, la Chine, l’Inde, le Pakistan !

Pour ne pas citer les lieux de culte ciblés, détruits ou fermés…

En France, pays de vieille chrétienté, on nous accuse de persécuter les musulmans, alors que nous combattons l’Islam radical, terroriste et assassin ! Vous vous rappelez l’assassinat du père Hamel dans son église ?

Est-ce que l’un de ces groupuscules de propagande pourrait nous citer, chez nous, des cas de persécution de musulmans, ou d’hindous, ou de chinois communistes ?

Jean Pierre Renaud

  1. Chronique Jean Marie Guesnois Le Figaro du 19/01/2021

Le Monde Politique à l’envers

Comment ne pas citer l’exemple du Figaro du 23 juin 2022 ?

« Macron en appelle à la responsabilité de ses opposants »

Alors que ce dernier a tout fait pour « casser la baraque républicaine » !

Comment lui faire confiance ?

Sait-il enfin où il va ?

Rien n’est moins sûr !

&

Rappel du texte publié le 20 février 2019, sous le titre

« Une France à l’envers : les inversions de toute nature ! »

 L’inversion des institutions de la démocratie représentative :

Le grand débat public en est l’exemple le plus récent ! Pourquoi ?

            Il est tout de même étrange qu’un Président de la République aux prises avec une grave crise de confiance recoure à une sorte d’expédiant démocratique au lieu de faire confiance aux institutions politiques normales et constitutionnelles de notre pays, et en les court-circuitant.

            A quoi servent les institutions de la République ? Le Parlement, les Assemblées régionales et départementales, les Conseils municipaux et leurs dizaines de milliers de conseillers élus ?

            Sans avoir besoin d’invoquer un nouveau « spectre », il y a effectivement quelque chose de pourri dans le royaume de France.

            Ne s’agit-il pas du vrai débat de fond ?

A savoir si la République en marche ne nous entraine pas dans la spirale et le tumulte des réseaux sociaux, c’est-à-dire une anarchie qui ne dit pas son nom ?

L’inversion européenne des valeurs des différents pays de l’Union :

      Quand les institutions européennes, notamment la Commission Européenne d’inspiration technocratique et faussement représentative des Etats de l’Union, nous      jette dans les flux d’une mondialisation libérale non régulée, avec la complicité des pouvoirs publics, en ignorant nos cultures, nos traditions, nos identités nationales.

L’inversion des valeurs des majorités :

Quand les minorités veulent imposer leurs valeurs à notre société, qu’il s’agisse de l’islam radical, sur la laïcité, ou de cultures étrangères qui n’ont rien à voir avec notre longue histoire et notre idéal du vivre ensemble.

L’inversion des valeurs de notre « état de droit » :

Quand le délinquant a plus de droits que la victime sous le prétexte d’un « état de droit » qui protège plus le délinquant que la victime.

            Vous avouerais-je que chaque fois j’entends les mises en garde du Défenseur des Droits, j’entends le bruissement des pâles de l’hélicoptère chargé d’aller pêcher le procureur idoine pour sauver le soldat Tiberi ?

L’inversion de nos valeurs nationales :

Quand un djihadiste, Français et ennemi de la France ou terroriste, bénéficie à la fois d’une protection judiciaire aux frais de la Princesse, et qu’une fois condamné, il bénéficie aussi, en prison, des mêmes droits que tout autre criminel emprisonné.

            Une statistique du 1/12/2018 évalue à 20 560 le nombre de personnes susceptibles de franchir le cap de la radicalisation, et à 9 762 le chiffre des personnes radicalisées.

L’inversion de nos valeurs de liberté de conscience et de religion :

Quand des groupes de pression religieux, idéologiques, politiques ou culturels entendent obliger la France à faire le chemin inverse d’une longue histoire qui, grâce à la laïcité et à la fin des guerres de religion, a enfin donné aux Français et aux Françaises la liberté de conscience et de religion.

            Jean Pierre Renaud  Tous Droits Réservés

Le Vocabulaire Politique à la Mode ?

« Le Surplomb »

Qu’est-ce à dire ?

Un mot associé aujourd’hui à la crise des gilets jaunes, des métropoles et des territoires

Sur l’échantillon Presse de la page 4 Politique du Figaro des 28 et 29 mai 2022 :

« « Il faut être prêt » : comment Edouard Philippe prépare son chemin en vue de 2027 »

Concurrencé dans la macronie, l’ancien premier ministre entend « peser » dans la future majorité et faire fructifier sa popularité avec  pour horizon, la prochaine présidentielle »

Première impression de lecture, un portrait plutôt bienveillant, pour ne pas dire plus, alors que l’analyse se projette dans les cinq ans à venir !

Deuxième impression : dans la deuxième colonne, quatrième paragraphe : « La « victoire espérée vaut autant pour la majorité macroniste  que pour lui. Toujours déterminé à se présenter à l’élection présidentielle de 2027, Edouard Philippe joue une partie de son avenir politique en juin. Non pas que le pays se prenne par l’Assemblée nationale. A 51 ans, le Havrais a lui-même décidé de ne pas tenter de revenir au Palais Bourbon, histoire de cultiver sa position en surplomb. »

L’élite supposée du pays aurait besoin,  pour se régénérer de se mettre en surplomb de  la « masse » des électeurs pour être plus efficaces, alors qu’elle ne se rend pas compte qu’elle campe déjà, et depuis longtemps, sur les surplombs !

C’est à n’y rien comprendre !

Un Mot Clé que les entourages, autant que les médias, citent depuis quelques années pour caler la position de leur héros, non pas celle physique, architecturale, géographique, montagnarde, mais quasi-liturgique, en oubliant ou en feignant d’ignorer que le mot « complémentaire » est tout simplement le « vide » réel ou supposé.

La France ne serait-elle qu’une figure de style politique ?

Avec des gens de pouvoir qui laissent à penser qu’ils connaissent le terrain.

Le premier quinquennat laisse à penser le contraire.

Dernier exemple d’un Président « en surplomb » de l’Europe de l’Est !

Jean Pierre Renaud    Tous droits réservés

« Mais où va-t-il ? »

« Retraites, Dépense Publique, Insécurité, Immigration : Sortir du Grand Flou »

 En couverture une photo Macron

Le Figaro Magazine des 10 et 11 juin 2022

            Depuis son élection, dont le maître-mot est la transgression, quitte à ce que personne ne comprenne  ses objectifs prioritaires, s’il en a sauf, à mettre la pagaye partout.

            J’ai publié sur ce blog, tout au long des années 2018, 2021, 2022, des chroniques qui tentaient de cerner le personnage : à titre d’exemple, « La Méthode Macron » en 2018, ou  « Où va la France ? » le 31/12/21 ?

            La clé du tirage au sort ne serait elle n’est pas la bonne, la Française des jeux, une clé qui plait aux Français ?

      Jean Pierre Renaud

Le Périphérique

Avec Hidalgo et  son équipe de Touche à Tout

Re Belotte des Perdants

Une équipe politique représentative de quelques pour cents…

Abus de pouvoir de la Ville avec « Silence On Tourne » des Préfets !!!

&

« A Paris, le « périph » de la discorde »

Le Figaro du 10/11/2021 (page 12)

Une polémique Hidalgo, une de plus !

            L’équipe politique d’Hidalgo vient de lancer une nouvelle polémique en « privatisant » d’une certaine façon le boulevard périphérique, avec le projet de neutralisation d’une des voies de circulation, toujours dans l’esprit des ayatollahs verts qui gouvernent certaines de nos cités.

Il y a un problème juridique de compétence, car le périphérique fait partie du domaine public de la capitale, depuis les années 1960, à la suite des grandes réformes du général de Gaulle, avec la création du District de Paris, puis de la Région qui lui a succédé, et la création des nouveaux départements de banlieue, Val de Marne, Hauts de Seine, Seine Saint Denis, Essonne et Val d’Oise. Le District est à l’origine du périphérique, en exécution d’un plan de voies rapides desservant la capitale et sa banlieue. La Ville de Paris fut appelée à financer les travaux aux côtés du District et de l’Etat.

Le périphérique est frappé depuis l’origine d’une servitude d’ « intérêt collectif » au service de tous les usagers  qui l’utilisent, notamment ceux de la banlieue.

Il s’agit donc une fois de plus, comme pour la voie sur berge, d’un abus de pouvoir de la part de la municipalité actuelle qui mérite donc d’être sanctionné par le juge administratif, avec des représentants de l’État qui laissent faire de peur d’être accusés de porter atteinte aux libertés locales.

Jean Pierre Renaud         Tous droits réservés