Au dire de Julien Dray, le cercle des « poètes » disparus ? Jetant, au diable, morale et politique, et oubliant aussi jusqu’à l’heure de leurs « montres » ?
Et donc tout ce beau petit « monde » d’aller à un anniversaire sans savoir qui ils allaient bien pouvoir y rencontrer !
Belles et bonnes gens ! Vous prenez vraiment les Français pour des cons, puisqu’il ne se serait agi après tout que d’un simple « dîner de cons » !