Humeur Tique du Jour : La souveraineté de la France en Europe?

 La souveraineté de la France ? Quel beau sujet d’hypocrisie !

         Hollande vient de se faire morigéner par Barroso, président « ultra-libéral » de la Commission européenne.

       Le Figaro du 30 mai titrait en première page : «  Les 10 commandements de Bruxelles à Hollande »… « François Hollande a réagi en déclarant : « la Commission n’a pas à nous dicter ce que nous avons à faire ».

          Comment voulez-vous que les citoyens et même les responsables s’y retrouvent dans le charabia des pseudo-décisions qui constituent les « recommandations »  de la Commission européenne du 29 mai 2013. (http : europe.eu/rapid/press-release MEMO-13458-fr.htm)

         Dans cette affaire, quel est le média, quel est l’homme ou la femme politique, qui aura le courage de se prêter à un exercice critique institutionnel qui nous fera connaître, ministère par ministère, ce qui reste du pouvoir souverain de la France dans leurs attributions ?

       Ceci dit, les belles résolutions qui viennent d’être adoptées par le duo franco-allemand sur la gouvernance de la zone euro vont dans le bon sens, et l’observateur pourrait s’exclamer, enfin !

Bartolone, après les emprunts toxiques, la parole toxique d’un Président?

Hollande, Ayrault, Bartolone, un arrière-goût de 3ème République débutante, vous ne trouvez pas ?

Ou encore, après les emprunts toxiques d’un Président, la parole toxique du même Président ?

            Hollande est parti au Mali comme Jules Ferry au Tonkin, sans expérience internationale, et encore moins sans expérience gouvernementale.

           La France ne se gouverne pas comme le parti socialiste, et encore moins comme le Conseil Général de la Corrèze.

          Ayrault, notre Premier Ministre peut se targuer des mêmes titres de gloire, ou à peu près, ni expérience internationale, ni expérience gouvernementale, alors qu’il est évident qu’on ne dirige pas le pays comme la bonne ville de Nantes.

      Bartolone, le troisième larron, pas plus que les deux autres, n’a d’expérience gouvernementale ou internationale, et on ne peut pas dire qu’au cours de ses longs mandats en Seine Saint Denis, il se soit illustré par une action politique efficace en faveur des nombreux quartiers sensibles de son département.

           Les emprunts toxiques qu’il a souscrits au cours de son mandat de Président du Conseil Général de la Seine Saint-Denis ne laissaient cependant pas présager son dernier coup d’éclat, sa déclaration « toxique » dans Le Monde du 22 avril :

        «  Ce que Hollande appelle la « tension amicale «  avec l’Allemagne, pour moi c’est la tension tout court, et, s’il le faut, la confrontation. »

      Avec ces Messieurs, la France est donc revenue aux tout débuts de la Troisième République, alors que rares étaient les ministres qui avaient une expérience de voyage à l’étranger, Clemenceau était à cet égard une exception, et que presque tous avaient les yeux rivés sur la ligne bleue des Vosges.

         Peut-être ont-ils en tête de nous refaire le coup de la dépêche d’Ems, s’ils connaissent cet épisode de la guerre de 1870 !

Jean Pierre Renaud

Humeur Tique : L’Invitation, Le 6 mai 2013 : « Nous irons (tous) à Tombouctou » ou au « Paradis »

Invitation aux députés et sénateurs à la garden-party

de François Hollande en l’honneur de sa première

année de Présidence.

Invitation à l’Elysée

Tombouctou.jpg

        

Le 6 mai 2013, vous êtes invité à la grande garden-party d’anniversaire de l’élection de François Hollande à la Présidence de la République Française.

       A cette occasion et pour fêter l’entrée en guerre des forces armées françaises au Mali, y sera présenté en intermède musical la comédie humoristique jouée en France, pour la première fois en 1934, intitulée « Nous irons à Tombouctou » de René Petit Eddy Max.

      PS : il est rappelé qu’en application de l’article 35 de la Constitution, le Président était  en effet tenu de solliciter l’autorisation du Parlement pour continuer à faire la guerre au Mali quatre mois après le début de cette intervention.

Humeur Tique: Bayrou et la « vérité » politique de l’OVNI MODEM!

  L’homme est sympathique, mais il n’est pas sûr que de prêcher dans le désert, sans disposer d’aucune force politique, sauf la parole, suffise à renverser des montagnes, même avant la Pentecôte.

            Bayrou a manqué la chance historique que la dernière élection présidentielle lui donnait, en réservant la position  du MODEM pour le troisième tour des élections législatives, c’est-à-dire le vote blanc.

            Bayrou a en effet déclaré qu’il voterait Hollande, mais sans que le MODEM ne fasse connaître officiellement et publiquement le choix qu’avaient fait ses instances dirigeantes, donc un MODEM aux abonnés absents.

            Moralité : Bayrou a beau publier un nouveau livre intitulé « De la vérité en politique », son message sonne creux, car le MODEM n’a pas eu le courage de dire sa « vérité » politique.

                         Donc un MODEM transformé en OVNI politique !

Humeur Tique du Jour : A quand Innocent III ?


            François Hollande, Innocent Ier (Cahuzac) ou Innocent II (Augier), à quand le III ?

            Ou le salut vint d’ Ayrault à l’Armée du Salut ?

            Le 4 avril, et non pas le 1er avril, le Premier Ministre était en visite

                à l’Armée  du  Salut !

                                                    Bon ou mauvais présage ?

Droit de vote des étrangers? Pour ou Contre ?

Droit de vote des étrangers ? Pour ou Contre ?

Suffrage universel ou communautaire ?

Comment éclairer notre route ?

            Dans son programme, le candidat Hollande a inscrit l’attribution du droit de vote aux étrangers (hors Union Européenne) résidant en France depuis plus de cinq ans, pour les élections municipales. Le Parti Socialiste vient de relancer le débat.

            Il n’est pas interdit d’examiner les arguments qui sont le plus souvent avancés sur un sujet aussi sensible.

            Les socialistes répètent à l’envi que Mitterrand avait déjà inscrit cette proposition dans ses engagements de campagne pour l’élection présidentielle de 1981, une promesse qu’il n’a pas tenue.

            Il est possible de remarquer qu’entre 1981 et 2013, la situation démographique de la France a beaucoup changé du fait de l’immigration, et que certains départements ou communes comptent un nombre important, soit de citoyens français d’origine étrangère, soit d’étrangers en séjour régulier et résidant en France depuis plus de cinq ans.

            Il est évident que ce dossier ne peut être examiné sans transparence et sans affichage des statistiques du corps électoral nécessaires pour mesurer les effets éventuels d’une telle mesure.

Quid des conséquences de cet élargissement du corps électoral sur le résultat des élections ?

Autre argument, les socialistes répètent que ce type de mesure permettra un mieux vivre ensemble,  donc de lutter contre le communautarisme,mais comment la République fera en sorte que, dans telle ou telle commune, où le nombre des étrangers est important, par exemple en banlieue parisienne, ou dans des départements comme Mayotte ou la Guyane, les membres de cette ou de ces communautés ne proposent pas de voter pour une liste de candidats appartenant à une communauté, avec une possibilité de sièges, et de toute façon, d’arbitrage des élections municipales ?

La restriction légale, proposée, qui les priverait du droit de pouvoir accéder aux fonctions de maire ou d’adjoint, ne parait pas suffisante pour éviter une dérive communautaire de ces élections.

Cette proposition fait d’ailleurs l’impasse sur les statistiques encore tabou des citoyens qui ont la double nationalité, alors que la connaissance de ce type de données serait utile également pour pouvoir apprécier les tenants et aboutissants d’un tel élargissement des droits politiques.

Motif supplémentaire pour mettre sur la table, commune par commune, toutes statistiques utiles à une meilleure connaissance du sujet et des effets d’une telle proposition.

Avant toute décision, les Préfets devraient être invités à réunir ces éléments statistiques dans les communes importantes où l’effectif des habitants et des résidents d’origine étrangère est important, et les publier.

Les services préfectoraux ont une longue expérience de la prévision plus ou moins fiable des scrutins électoraux, mais ici leur travail sera plus facile puisqu’il ne  s’agit pas de prévision, mais de récolte des chiffres commune par commune, avec l’affichage des résultats.

Sans disposer de tous ces éléments de connaissance et d’appréciation du dossier, dont disposent peut-être déjà le gouvernement ou le Parlement, une telle mesure parait encore prématurée.

L’idée de faire participer les résidents étrangers de plus de cinq ans payant leurs impôts aux élections municipales est sans doute une idée novatrice et intéressante, mais encore faut-il avoir toutes les informations  utiles avant d’élargir le corps électoral.

Pourquoi ne pas expérimenter une solution intermédiaire qui donnerait à ces nouveaux électeurs la possibilité d’élire un conseil des résidents étrangers, avec avis de consultation obligatoire sur les ordres du jour du conseil municipal, avis obligatoirement communiqué à ce conseil municipal avant de passer à l’ordre du jour ?

Sur des sujets institutionnels aussi complexes, pourquoi ne pas expérimenter avant d’aller plus loin ? Et avant toute chose, connaître les enjeux statistiques du choix qui pourrait être fait.

Jean Pierre Renaud

Humeur Tique : une gouvernance Hollande un peu trop glissante !

 Les observateurs du monde politique se sont sans doute interrogés sur deux phases de sa vie politique, la première quant à son long maintien dans son mandat de secrétaire général du parti Socialiste, alors qu’il aurait pu devenir  ministre de Jospin, une expérience gouvernementale qui lui manque aujourd’hui, la deuxième quant à la candidature de Ségolène Royal, son épouse à la ville, aux élections présidentielles de 2007, alors qu’il était le candidat naturel du Parti Socialiste.

            Peur d’une prise de risque ? Goût prononcé pour les compromis et les arrangements qui faisaient sa force au sein de son parti ?

            Sa manière de gouverner, sans cap clair, ses allers et retours dans les annonces politiques, un flottement incontestable, toujours la recherche du compromis, s’inscrivent dans la continuité du personnage, mais les Français ont de plus en plus de mal à comprendre sa politique.

Dans le journal Les Echos du 25 février 2013, page3, et à propos  du président, le directeur du centre de recherches politiques de Sciences Po caractérisait bien sa situation :

«  Le chef de l’Etat va devoir se résoudre à choisir entre deux gauches et à sortir d’ « un instinct des combinaisons » qui le prive de toute la lisibilité nécessaire aux temps de crise. »

Et sortir d’un personnage un peu trop glissant ! Il est vrai que la saison n’y est pas vraiment favorable!

Les mots de la guerre du Mali

  Depuis le début de l’entrée en guerre de la France au Mali, nos dirigeants n’ont pas été avares de grands mots de la guerre, et tout autant, la plupart des journalistes.

            Hollande aurait gagné une « bataille » à Bamako ? Une guerre commentée quotidiennement par le nouveau correspondant de guerre Le Drian ? Et quelle chance pour quelques professionnels privilégiés d’avoir pu accéder au PC secret de cette nouvelle guerre !

            Les troupes françaises ont gagné des « batailles », effectué des « percées », ont déplacé leur « front », comme s’il s’agissait d’une vraie guerre, au Sahara, dans cet immense désert.

            Aujourd’hui, une nouvelle expression fait florès, comme on dit encore en français, la France mène une « guerre asymétrique », ce qui rend évidemment  la chose plus sérieuse.

            Il n’y a pas si longtemps on parlait de guérilla, de guerre subversive, révolutionnaire ou contre-révolutionnaire, mais il est vrai qu’avec l’évolution technologique des outils de la guerre, les satellites, les drones, les avions…, avec les nouvelles formes de la guerre électronique, certains pourraient croire qu’on fait aujourd’hui la guerre sans mort.

Jean Pierre Renaud 

La « guerre » du Mali, avec Hollande ou Jules Ferry!

La « Guerre » du Mali avec Hollande !

Mesdames et Messieurs, cessons de jouer avec les mots !

Entre Jules Ferry et François Hollande, quelle différence entre « fait accompli » colonial et « fait accompli » néocolonial ?

Le nouvel article 35 de la Constitution de 1958, une régression de la démocratie républicaine !

     1883 : Jules Ferry, Président du Conseil, fait la guerre au Tonkin, sans demander l’accord préalable du Parlement, alors que la Constitution de 1875 disposait dans son article 9: « Le Président de la République ne peut déclarer la guerre sans l’assentiment préalable du Parlement. »

            La Constitution du 27 octobre 1946 disposait dans son article 7 :

            « La guerre ne peut être déclarée sans un vote de l’Assemblée Nationale et l’avis préalable du Conseil de la République »

            2013, le vendredi 11 janvier, François Hollande, après avoir engagé les forces armées de la France au Mali, déclare quelques jours après : « cette décision que j’ai prise vendredi dernier. 

Intervention ou guerre ? Il est évident qu’un Président de la République qui fait intervenir nos avions de chasse dans un pays étranger, fut-il réputé ami, accomplit un acte de guerre, avec un risque d’engrenage, engrenage qui a eu lieu, jusqu’à quand ?

            La France est donc en guerre au Mali, et il n’est pas interdit de se poser de vraies et bonnes questions sur l’interprétation de l’article 35 de la Constitution, d’un article modifié par le Congrès du Parlement le 23 juillet 2008, et adopté par 539 voix, en grande majorité de la droite, contre 357 voix, en grande majorité de la gauche, mais à la majorité d’une voix seulement pour une majorité constitutionnelle des trois cinquièmes fixée à 538 voix.

Ironie de l’histoire, c’est aussi grâce à une voix, et le vote de l’amendement Wallon, que la Troisième République a atteint, en 1875, sa forme républicaine !

L’article 35 de la Constitution de 1958, celle du général de Gaulle, disposait :

« La déclaration de guerre est autorisée par le Parlement »

Le Parlement, réuni en Congrès, le 23 juillet 2008 a modifié cet article de telle sorte que le Président de la République dispose à présent d’un droit de faire la guerre sans la faire, et sans le dire.

La Côte d’Ivoire, la Lybie, et aujourd’hui, le Mali, sont l’illustration de ce nouvel état d’un nouveau droit constitutionnel qui ne dit pas son nom, car le nouveau texte dispose après l’aliéna 1, cité ci-dessus :

« Le Gouvernement informe le Parlement de sa décision de faire intervenir les forces armées à l’étranger, au plus tard trois jours après le début de l’intervention. Il précise les objectifs poursuivis. Cette information peut donner lieu à un débat qui n’est suivi d’aucun vote. Lorsque la durée de l’intervention excède quatre mois, le Gouvernement soumet sa prolongation à l’autorisation du Parlement. Il peut demander à l’Assemblée nationale de décider en dernier ressort.

 Si le Parlement n’est pas en session à l’expiration du délai de quatre mois, il se prononce à l’ouverture de la session suivante. »

Très étrange rédaction et rédaction inacceptable !

Dans le cas du Mali, le Président de la République engage la France dans ce qu’il faut bien appeler une « guerre »  qui ne dit pas son nom. Le Parlement n’a rien à dire pendant quatre mois, et en dehors d’une session, le même gouvernement peut continuer à faire la guerre en attendant l’ouverture de la session  suivante.

Comment la représentation nationale a pu accepter ce déni de démocratie, d’une France en guerre par la décision de son Exécutif, sans qu’elle ait son mot à dire pendant quatre mois. ?

Après un débat sans vote, le gouvernement peut donc continuer son « intervention » militaire pendant quatre mois, sans demander l’autorisation du Parlement ?

En quatre mois, il peut s’en passer des choses, quand on fait la guerre !

Pourquoi ne pas se demander aussi à quoi peut bien servir la représentation nationale si elle est incapable de se réunir dans l’urgence et donner, ou non, son feu vert, sur un sujet aussi capital pour la vie de la nation qu’une entrée en guerre de la France dans un pays étranger.

Alors, guerre ou pas guerre ? Intervention de nos forces militaires ou guerre ? L’hypocrisie politique des mots !

Autorisation de l’ONU ou non, la France a engagé une nouvelle guerre en respectant la Constitution dans sa forme nouvelle, qui est en soi, une violation de la démocratie républicaine.

Etrangement les mêmes responsables politiques socialistes qui, en leur qualité de députés et sénateurs, les Hollande, Ayrault, Fabius, Bartolone, Bel, etc… avaient voté contre la réforme de 2008, ont endossé très facilement les nouveaux habits d’une République en guerre qui ne dit pas son nom.

En conclusion, pour avoir fait de nombreuses recherches historiques afin de déterminer où se situait le « fait accompli » colonial dans les institutions de la Troisième République, notamment à l’époque des conquêtes coloniales de Jules Ferry et de la Troisième République, soit du fait des exécutants, soit du fait des ministres eux-mêmes, et en avoir tiré la conclusion que le « fait accompli » colonial se situait le plus souvent dans la sphère gouvernementale, je serais tenté de dire que la décision Hollande et tout autant les décisions antérieures de Sarkozy pour la Côte d’Ivoire et la Lybie ressemblent fort à des « faits accomplis » du type néocolonial.

Une véritable révolution dans notre conception et le fonctionnement de la République

Giscard a évoqué un néocolonialisme et il n’avait pas tort.

Et pourquoi ne pas rappeler aussi que dans deux débats célèbres de la Chambre des Députés sur l’affaire du Tonkin, les 24 novembre 1884 et 31 juillet 1885, un homme, Clemenceau, s’était élevé contre les initiatives intempestives de Jules Ferry ?

 Avez-vous entendu un homme ou une femme politique de la même envergure dans notre Parlement sur un sujet aussi grave que le Mali, mettre en demeure les députés de droite ou de gauche de prendre clairement position, c’est à dire leurs responsabilités, sur ce nouveau conflit ?

Au fond, l’article 35 les arrange bien tous, en leur donnant un drôle d’alibi, celui de la Constitution !

Jean Pierre Renaud

Humeur Tique Eté 2012 -Le LOTO, soixante et unième mesure Hollande?

Humeur Tique Eté 2012

Le LOTO, la soixante et unième mesure du programme HOLLANDE ?

            Il est bien dommage que le candidat Hollande n’ait pas proposé aux Français, en plus de ses soixante mesures, une soixante et unième mesure sur le LOTO de la Française des Jeux, c’est-à-dire l’Etat, vous et moi !

            Sur France 2, chaque présentateur du tirage du LOTO trousse son petit argument, plus ou moins bien tourné, et l’un d’entre eux valait son pesant d’or.

            Le 20 août dernier, ce dernier a introduit le tirage en disant aux téléspectateurs qu’ils avaient « une égalité des chances » pour gagner le gros lot. !

            Enfin une vraie mesure touchant à l’égalité des chances des Français, laquelle aurait fait bonne figure dans le programme du candidat socialiste, dans une des quatre parties intitulée «  Je veux rétablir la justice. »

Cela dit, et à nouveau, les gains affichés sont scandaleux, et il apparaitrait de bonne gouvernance sociale de plafonner ces gains, et de reverser le supplément à ce qui pourrait être un Fonds des quartiers sensibles.