Le virus prostatique de la parole politique avec M.Grégoire à Paris

A Paris, dans la capitale, Monsieur Grégoire, le Premier Adjoint de Madame Hidalgo lance l’idée d’un confinement généralisé de la capitale pendant trois semaines !

La question ne va-t-elle pas se poser de proposer des opérations prostatiques de la parole ?

Pourquoi ne pas, de préférence, confiner pendant au moins trois semaines leur parole politique, pour enfin respirer ?

Jean Pierre Renaud

Les « Paris » d’Hidalgo – L’engouement ? « A la lumière du jour politique et médiatique » !

Les « Paris » d’Hidalgo

L’engouement ?

« A la lumière du jour politique et médiatique » !

 Le Figaro du 15 janvier en Première Page Colonne de gauche : «Gauche Hidalgo construit ses équipes pour 2022 »

En page 8 : « La maire de Paris hésite pour la présidentielle, elle n’a pris encore aucune décision, mais la pression devient très forte »

              Une héroïne du monde moderne ?

Née de parents espagnols et naturalisée française en 1973, française redevenue aussi espagnole par choix en 2003, et donc binationale, il est vrai qu’elle incarne une histoire tout à fait à la française de réussite de l’intégration républicaine.

            Revers politique possible de la médaille, l’hésitation d’une partie du corps électoral à confier les clés de la maison à une binationale !

L’exemple récent de Valls à cheval sur Barcelone et Paris donne à réfléchir.       

La Militante Socialiste ?

Hidalgo est un des fruits de la renaissance du Parti Socialiste engagée dans les années 70, avec l’élection de Mitterrand en 1981, celle de Delanoë, à la Mairie de Paris en 2001, avec lequel elle fit équipe.

Seul petit problème, le PS n’était pas alors le parti laissé dans les décombres par Hollande, et dans le contexte politique actuel, la Maire de Paris ne trouvera plus dans la gauche socialiste la force qui permit à Delanoë de se faire élire, face à une chiraquie en fin de course.

            Les dernières élections municipales ont démontré la capacité d’Hidalgo à fabriquer un cocktail politique pluriel, dont certains de ses collègues rêvent aussi peut-être, entre les socialistes, les communistes, les écolos, la gauche de la diversité…, mais ce type de combinaison politique, jouable dans un Paris Bobo, sera difficile à mettre en œuvre au niveau national.

            A Paris, le socialisme mis en pratique laisse à désirer étant donné l’orientation très Bobo de sa majorité, sa conception d’un aménagement urbain renfermé sur ses anciennes frontières et de plus en plus fermé en direction de la banlieue, sorte de discrimination géographique et sociale qui ne dit pas son nom.

            La marche forcée que l’équipe actuelle inflige à ses habitants pour « verdir » à tout prix la capitale, ne devrait pas laisser indifférents les électeurs de notre pays. Afin d’en juger, à quand le bilan complet de cette politique « verte » coûteuse ?

Face publique et face privée ?

            Les principes et la philosophie de cette combinaison politique soulèvent de nombreuses questions sur deux plans essentiels :

  • Les relations nouées avec le grand capitalisme français, la présence de l’adjoint à la culture, Christophe Girard, en était un des symboles,
  • Les relations nouées avec le grand capitalisme étranger, le Quatar en étant un autre symbole.

Une des caractéristiques du « système » parisien, une de ses caractéristiques  historiques est constituée par le réseau entremêlé des puissants du jour, ce qu’on désigne de nos jours par le mot anglais « establishment » dont beaucoup de membres se tiennent par la barbichette et donnent le branle à nombre d’initiatives de pouvoir sur tout le territoire.

Au cœur du pouvoir et de tous les pouvoirs !

            Il n’est pas possible d’examiner les facteurs positifs et négatifs de cette candidature sans mettre en pleine lumière un des facteurs essentiels de toute candidature parisienne aux élections présidentielles, le facteur stratégique de la position, – la POSITION -, un facteur clé dans toute stratégie.

            En dépit de tous les changements importants qui ont affecté la capitale entre 1980 et 2020, sur le plan démographique, économique ou culturel, Paris reste au cœur du pouvoir, de tous les pouvoirs, y compris des médias et des réseaux sociaux.

« A la lumière du jour politique et médiatique » !

La configuration politique dont bénéficie aujourd’hui la maire de Paris est donc loin d’être le fait du hasard : à chaque occasion, l’équipe est sur le podium.

            Tous les organisateurs de manifestations le savent samedis et dimanches compris, pour toutes les raisons imaginables, y compris en période de confinement, ce qui est tout de même curieux, pour ne pas dire tout à fait anormal.

Une lutte de pouvoir

Les relations entre la Ville et l’Etat ont toujours été complexes et ambigües, le pouvoir local ayant toujours beaucoup de peine à résister à la tentation historique d’agir comme un Etat dans l’Etat, pour ne pas dire, en investissant l’Etat.

            La gestion Hidalgo soulève cette question de dérive institutionnelle.

            Les décisions qui ont été prises sur la sorte de « privatisation » des voies sur berge, des grands axes parisiens, la politique d’accueil des étrangers, le jeu des pouvoirs entre la Ville et la Préfecture de Police sur le qui fait quoi dans   domaine de l’ordre public, et donc sur les responsabilités, soulèvent donc la question de savoir si l’Etat dans sa capitale est encore le maître du jeu.

            Les méthodes de gestion de la maire actuelle posent ce type de question « capitale » dans toute son acception !

            Entre les années 1980 et les années 2000, les relations institutionnelles ont beaucoup changé et le rôle de la capitale est de plus en plus contesté par les provinces, pour des raisons qui ne sont pas toujours liées aux initiatives de la Ville de Paris, mais aussi à l’immobilisme d’un Etat central qui n’a pas eu le courage de faire une mue institutionnelle nécessaire, en ouvrant une nouvelle page de décentralisation au profit des régions et des départements

Finances parisiennes : cartes sur table !

            Les finances parisiennes sont restées saines pendant des années, mais une telle évolution tenait au moins autant à une sagesse de gestion qu’au potentiel financier de la capitale.

     De nos jours, avec la gestion des dernières années, les crises sanitaires et économiques, la situation financière de l’ensemble ville département et sociétés associées mériterait un audit complet.

   Les élections municipales ont eu lieu sans que ni la majorité, ni les oppositions n’aient cru bon de procéder à cet exercice démocratique, une lacune tout à fait irresponsable.

        Qui connait le coût total de tous les travaux « verts » qui ont été lancés dans la capitale ? Et leurs résultats sur le CO 2 ? Ou le coût des multiples interventions que la Ville, directement ou indirectement, en faveur du logement social ?

     Il y a tout lieu de croire en effet que la situation financière de l’ensemble collectivités parisiennes et sociétés associées ne soit pas rose !

            Jean Pierre Renaud –  Tous droits réservés

PS : Les paris ne seront ouverts qu’après le confinement !

Avec Hidalgo, la vaccination à pédalo !

Avec Hidalgo, la vaccination des plus de 75 ans à pédalo !

            Brillante réussite que celle d’une Ville dotée d’élus de premier plan, de hauts fonctionnaires en grand nombre, incapables d’avoir mis en place une organisation capable d’assumer cette mission sanitaire annoncée depuis plusieurs semaines !

            Sans contestation possible, le Parisien peut être assuré que l’équipe Hidalgo est meilleure pour le vélo, les micros, et la Com’ !

            Jean Pierre Renaud

Le Paris Bobo des trottinettes ?

Au fur et à mesure des mois, n’importe quel parisien ou parisienne de bonne foi a pu constater les dégâts en tout genre que causait l’invasion de trottinettes de tous modèles sur les trottoirs et dans les rues.

        Des trottinettes garées ou abandonnées n’importe où, le long des murs ou des caniveaux, propres ou sales, interdisant souvent le passage normal des piétons, et encore plus des poussettes ou des fauteuils roulants…

        Des trottinettes manipulées par des adultes ou des enfants, souvent par deux jeunes adultes ou un adulte plus un enfant, mais aussi des moins jeunes roulant le plus souvent sur les trottoirs…

          Des trottinettes électriques fonçant dans les rues et sur les trottoirs, se faufilant entre les voitures, faisant la course avec les engins motorisés…

        Cette invasion constitue une nouvelle « pollution » qui n’a pas l’air de beaucoup inquiéter les responsables municipaux, alors qu’elle est la cause de nombreux et graves accidents : les autorités municipales ne disposeraient-elles pas de pouvoirs pour réglementer ces nouveaux usages dans l’espace public des trottoirs et de la voirie ?

      Au cours des dernières semaines, un accident de trottinette a fait la une des journaux : une jeune femme et son bébé de 7 mois ont été percutés et blessés par un adepte de la trottinette électrique.

        Les autorités municipales ont tendance à se gausser des initiatives qu’elles prennent pour dorer ou redorer l’image de notre capitale, mais à voir le bordel des trottinettes, le compte n’y est pas encore, d’autant plus que la ville, et donc le contribuable, mettront la main à la poche pour indemniser les victimes de ce laisser-aller, la ville de Paris étant son propre assureur.

     Question : est-ce que Mme Hidalgo va faire la campagne municipale à trottinette ?

        Jean Pierre Renaud

L’équipe Hidalgo démarre l’année 2018 sur les « chapeaux de roue » ! Sa neige éternelle, ses affiches, et ses rats !

Paris Plage et Paris Neige : le feuilleton continue !

Attendons les JO de 2024 !

            Le 10 février 2010, j’ai fustigé une première fois l’incapacité des autorités municipales à prendre les mesures nécessaires, afin de limiter les conséquences des chutes de neige pour les piétons, les cyclistes, et les automobilistes.

            J’ai récidivé le 1er février 2012, puis le 20 janvier 2013, mais rien n’a bien sûr changé, alors que la Maire de Paris se rengorge en permanence de ses bons résultats en matière de circulation des véhicules dans la capitale.

            Ces jours derniers, grâce à la neige, la Maire a effectivement gagné son pari, de même que pour la circulation des piétons sur des trottoirs non dégagés, au risque de faire glisser et tomber beaucoup de piétons : combien de victimes dans les hôpitaux ?

            Dans les villes de l’est que j’ai connues, les maires prenaient des arrêtés imposant aux propriétaires riverains la charge du nettoiement, sauf à payer une amende.

            Dans la capitale, rien de tel ! Les commerçants riverains laissent les trottoirs enneigés ou verglacés ! Les pharmaciens ne donnent pas l’exemple ! Quant aux propriétaires riverains, souvent des syndicats de copropriétaires, ils n’en font pas plus.

            Ajoutons qu’en dépit des prévisions de chutes de neige, la Mairie de Paris n’a pas pris les mesures nécessaires pour dégager les voies de la circulation urbaine !

       L’affichage à Paris ? Plus les berges de la Seine ? Les nouvelles incuries de la Maire, de son équipe  et de ses services !

            Dans un lointain passé, la Mairie de Paris nous avait habitué à mieux, beaucoup mieux !

            Hier le fiasco du nouveau Vélib, aujourd’hui le fiasco de l’affichage sur les 1630 panneaux d’affichage de la société JCDecaux : perte de recettes égale à 40 millions d’euros ! Excusez du peu !

        Les services de la ville et leur municipalité ont décidément perdu leur savoir-faire juridique pour lancer leurs appels d’offre !

         Et à nouveau hier encore, l’’information d’après laquelle la piétonisation des berges de la Seine serait illégale ! L’arrêté n’est pas conforme à la loi.

        Sur le fond, et à mes yeux, cette « privatisation » parisienne des berges de la Seine s’inscrit en violation de l’intérêt général et historique d’une voie régionale et nationale le long de la Seine !

           A quand, la « privatisation » parisienne des eaux de la Seine ?

         La Mairie de Paris Est devenue beaucoup plus compétente pour la gestion de sa com’ que pour la gestion des affaires municipales.

Les rats de Paris, petits ou gros, de toutes espèces !

            La capitale fait face à une invasion  de rats qu’elle n’avait pas connue depuis longtemps, et les inondations n’en sont pas la cause principale.

            Le  facétieux diront peut-être qu’après les dernières élections présidentielles, les rats politiques qui ont quitté leur bateau en perdition, plus à gauche qu’à droite, ont préparé le terrain, et c’est peut-être vrai.

       Ils ajouteront sans doute que les premiers rats ont déjà quitté la barque Hidalgo, mais il ne s’agit sûrement pas de celle du blason de la capitale « Fluctuat nec mergitur » !

             Faute d’avoir fait le nécessaire pour éradiquer cette nouvelle plaie, absorbée comme elle l’était par son déploiement  d’activités sur tous les  fronts internationaux, la Maire  de Paris sera sans doute dans l’obligation de faire appel à un « joueur de flute », « l’attrapeur de rats de Hamelin »  pour entrainer le peuple des rats en dehors de la ceinture du périphérique, comme ce fut le cas dans la cité d’Hamelin, en Allemagne, au 13ème siècle.

            Mais alors gare aux promesses non tenues et au retour du « joueur de flute » attirant les enfants parisiens, sous le charme  de sa musique, en  dehors de la capitale !  (voir les Contes de Grimm)

Une gestion municipale bobo à la fois électoraliste, multiculturaliste, et dispendieuse !

       1 milliard de dette en 2001 et de l’ordre de 6 milliards aujourd’hui, soit une dette multipliée par 6, plus de 3 000 euros par habitant.

      Gare au coup de tampon en cas de crise sur les marchés internationaux des capitaux, d’autant plus qu’avec la suppression de la taxe d’habitation, la ville se trouvera complètement, comme toutes les autres collectivités locales, entre les mains d’un Etat, très, très endetté !

          Qui payera en définitive ?

              Jean Pierre Renaud

Le nouveau Vélib à Paris, cru 2018 – Le duo Smovengo -Hidalgo ouvre la saison chorégraphique avec son ballet des deux roues !

Pas de deux ou faux pas !

            Premier faux-pas social ! Le commanditaire du ballet ignorait l’existence du personnel, des salariés ? La Ville de Paris changeait de concessionnaire sans se préoccuper aucunement de son aspect social, c’est-à-dire de la reprise du personnel de l’ancien « concessionnaire » JCDecaux.

            Deuxième faux-pas technique ! Pas de professeur de danse ? En cas de changement de concessionnaire, les ingénieurs de la Ville et ses multiples services n’ont pas prévu la pérennité des infrastructures, ce qui fait que l’on creuse à nouveau et partout trous et tranchées, sans avoir la possibilité d’installer des vélos.

             Troisième faux-pas managérial, donc politique ! Pas de maître de ballet ? Compte tenu du cahier des charges du nouveau spectacle, de ses caractéristiques techniques, des chantiers à ouvrir, de leurs délais d’exécution, le maître de ballet a fait preuve d’un grand amateurisme dont les services de la Ville de Paris n’ont jamais eu l’habitude.

         Pas de deux et faux pas, le ballet des deux roues du duo Smovengo- Hidalgo est très loin d’avoir séduit les Parisiens et les Parisiennes.

Jean Pierre Renaud

Situations d’une gauche incongrue avec Chevènement, Moscovici, Hidalgo

Gauche caviar ou gauche sociale ? Gauche bobo ou gauche populaire ?

Alstom et Chevènement ?

            Plus de 40 années de pouvoir politique à Belfort, avec une présence active dans le premier cercle du pouvoir de la gauche parisienne, avec pour résultat la vente d’Alstom par morceaux aux Américains et aux Allemands !

     Beau résultat du socialisme souverainiste et de la compétence ou de l’incompétence politique ?!

      Peugeot et Moscovici ? Moscovici élu à Montbéliard dans le fief de Peugeot, terrain électoral favorable à la gauche, membre du premier cercle de la gauche parisienne, ancien ministre des affaires européennes, avec la cession soldée de Peugeot aux Chinois !

       Beau résultat du socialisme européaniste et de la compétence ou de l’incompétence politique ?

       A Paris, l’air pur d’Hidalgo ?

       A lire les derniers résultats des enquêtes d’AIPARIF sur l’état de l’air dans la capitale, l’air pur aurait fait des progrès le long de la Seine, autour de l’Hôtel de Ville, de l’Assemblée Nationale, et de l’Elysée ! Et ailleurs ?

     Beau résultat d’un socialisme solidaire de sa banlieue populaire ? Le socialisme des bobos ?

      Jean Pierre Renaud

Neymar à la Tour Eiffel, avec le PSG et le Qatar !

 Il y a quelque temps, j’ai condamné le fol engouement qui avait saisi notre  bel establishment, y compris politique, à propos de l’« acquisition » par le PSG d’un footballeur à 220 millions d’euros.

        Mme Hidalgo avait fait en sorte que la photo en couleurs du joueur apparaisse sur la Tour Eiffel illuminée.

        Quelques jours plus tard, le 10 août 2017, j’ai adressé un message à Mme Hidalgo, en lui demandant si elle avait la même intention de le faire pour notre champion du monde du 800 mètres, M.Bosse.

         Mon message est resté sans réponse.

       Curieuse conception du mélange des genres entre Mairie de Paris, PSG, et Qatar !

        Mme Hidalgo mérite en tout cas de se voir accorder la nationalité Qatarie !

        Jean Pierre Renaud

Chronique de la « France d’en bas » N°3 Hidalgo et les bobos de Paris

Chronique de la « France d’en bas »

N°3

Suivant la mode des «  histoires postcoloniales d’en bas »

Voir le cas échéant mon explication dans le N°1

Hidalgo et les bobos de Paris

            La maire de Paris a fait voter un texte de propositions de réforme des institutions parisiennes, comme si la capitale de la France n’appartenait qu’aux Parisiens, et avant tout à ses bobos, plus soucieux de leur tranquillité et de leur confort de vie, que de ceux des citoyens de la banlieue.

            Comment accepter que la police des grands axes de circulation de la capitale, notamment ceux parallèles à la Seine, puisse passer sous le contrôle de la maire de Paris, au mépris et au détriment des intérêts et des nécessités de transport de nos concitoyens de la banlieue ?

            Paris, capitale de la France deviendrait donc la propriété des bobos parisiens ? Une conception républicaine inconcevable et  inacceptable, d’autant moins encore qu’une nouvelle métropole vient de naître !

            Paris appartient autant aux Français et aux Françaises qu’aux Parisiens, et bien sûr autant aux habitants de la banlieue parisienne.

Jean Pierre Renaud

A Paris, l’équipe Hidalgo met en pièces le droit à construire!

A Paris, l’équipe Hidalgo met en pièces le droit de construire : plus de parkings ! Le Parisien du 6 décembre 2016, Paris page III

« La mini-révolution des immeubles sans parking »

Ou la violation du Plan Local d’Urbanisme !

            Hier, Madame Hidalgo loue les catacombes à la société Airbnb qui taille des croupières dans le droit et la fiscalité des locations, y compris dans l’hôtellerie parisienne, en favorisant toutes les opérations de locations au noir.

             Aujourd’hui, la maire délivre des permis de construire qui ne sont plus astreints à l’obligation ancienne de construction de parkings, une règle tout à fait sage du Plan Local d’Urbanisme, donc en violant une disposition protectrice du bien vivre parisien.

          Le but était évidemment d’éviter que les habitants des immeubles nouvellement construits, fassent stationner leurs véhicules n’importe où, ce qui est déjà, et bien souvent le cas, avec à l’évidence une aggravation de cette pollution et de cette inégalité entre contribuables, si la Ville persévère dans cette mauvaise « voie ».

         Je cite :

          « Normalement » le PLU contraint les promoteurs à créer une place de stationnement par tranche de 100 m2 . « On sait, précise jan Brossat, que cette disposition est un frein à la construction…

       Reste que la Ville n’entend pas en rester là. »Nous allons modifier le PLU en début d’année au Conseil de Paris », prévient Jan Brossat, histoire d’officialiser la tendance. »

    Moralité : la Ville viole une bonne disposition de l’urbanisme parisien, avec une conception tout à fait curieuse de la vie démocratique, puisque d’après l’Adjoint Brossat, elle serait assurée de voir cette violation entérinée par le  Conseil de Paris.

    Vraiment, une bien curieuse conception à la fois du bien vivre à Paris et du bon droit qui y est applicable !

     Les élus parisiens donnent l’exemple de l’irresponsabilité publique, tout à la fois juridique et morale.           

   Jean Pierre Renaud