La Folie des Institutions Européennes

La Commission des 27 pays n’est pas issue d’un vote démocratique : qui représente-t-elle ?

Un pays de petite taille comme Malte, un peu plus de 500 000 habitants, entré dans l’Union en 2004, bénéficie d’une égalité de traitement avec les autres partenaires ! La nouvelle loi des minorités ?

Résultat, une Commissaire Européenne à l’Égalité, représentant l’île de Malte,  s’arroge le droit de donner le « La » d’un Nouvel Évangile de la diversité et des minorités de l’Union Européenne.

Selon Le Figaro du 1er décembre 2021, page 10

 « Noël, Marie… Ces mots « tabou » de la Commission européenne « 

« Afin de « refléter la diversité », la commissaire à l’Égalité a proscrit une liste de termes dans un guide interne. Face à l’émotion, remontée jusqu’au Vatican, elle a décidé de retravailler son livret »

A titre personnel, je la renverrais purement et simplement dans ses foyers, car elle symbolise un monde de fous, une folie qui a gagné l’Union Européenne ?

Ça n’est plus le bon sens de Descartes qui est la chose  du monde la mieux partagée mais la connerie européenne.

Il est urgent de redonner des fondements démocratiques à l’Union Européenne, la « vraie Europe !

Jean Pierre Renaud    Tous droits réservés

Elections européennes 2019 pour les Nuls !

Les responsabilités publiques ?

      La responsabilité des pouvoirs publics et des chaines publiques de télévision ne se trouve-t-elle pas engagée dans l’information citoyenne sur les élections européennes?

            Des listes nationales : pourquoi ? Plus de trente listes  de candidats en France : pourquoi ? Les conditions légales de candidature ? Les bulletins de vote avec internet ? Est-ce légal ? Est-ce possible ?

            L’égalité des listes de candidats dans les chaines publiques d’information, alors qu’il est évident que la multiplication des listes « inconnues » affaiblit le poids des listes représentatives identifiables ?

Les propagandes officielles et non officielles ?       

La propagande indirecte –  Pour avoir été sensibilisé depuis de longues années aux méthodes de propagande politique indirecte, il n’est pas superflu de s’interroger sur la façon dont les médias présentent actuellement les enjeux des prochaines élections européennes.

            Je ne suis un accro, ni de la télévision, ni de la radio, et ma fréquentation se borne en gros aux journaux télévisés publics D’après mon constat sur une durée de quelques années, les médias français diffusent une sorte de halo composé de multiculturalisme et d’anti-populisme, avec pour résultat le fait que le Rassemblement National n’a nul besoin de faire sa propagande, puisque les médias la font pour lui.

            Dans la conjoncture actuelle, le Président et sa majorité font également tout ce qu’il faut à ce sujet.

            Dans ce palmarès, ne conviendrait-il pas de proposer quelques exemples de propagande indirecte avec Thomas Sotto interviewant M.Arditi, lequel déclarait sa préférence pour M.Macron, le même journaliste, renouvelant le même exercice, dans le même sens, avec Nana Mouskouri et le « tout dévoué » Cohen Bendit, le 5 mai dernier.

            Pourquoi ne pas proposer comme sujet d’études à l’une de nos bonnes écoles de journalisme la question de savoir si oui ou non, avant l’ouverture de la campagne officielle et pendant, la propagande politique indirecte a bien existé, sous quelles formes et avec quelle importance, et si possible, quels résultats ?     Outre la question de l’efficacité de la mission du CSA ?

    Jean Pierre Renaud

Elections européennes 2019 et la « méthode » Macron ?

   En 1997, j’ai publié un livre qui décrivait la façon dont Chirac, Maire de Paris avait organisé son « système » de pouvoir, et sa « méthode » pour conquérir la Présidence de la République, ce qu’il a réussi à faire.

            Mon analyse était tirée de ma longue, trop longue pratique des affaires parisiennes à la Préfecture de Paris. Le mot de « méthode » a semble-t-il fait florès.

            Je reviens donc brièvement sur le même sujet pour caractériser la « méthode » du pouvoir du Président actuel avec son catalogue d’annonces tirées d’un « Grand Débat », qui a « détourné » les Français de la « voie » et de la « voix » des institutions de notre démocratie représentative républicaine.

            Au rythme actuel de la débauche d’annonces « non soldées », la France court tout simplement le risque de voir ce scrutin européen capital pour nous tous, et avant tout pour notre jeunesse, réduit à un « Pour » ou « Contre » Macron.

       Jean Pierre Renaud

Elections européennes 2019 – 1951-2018: d’Eisenhower à Trump, l’Europe existe-t-elle ? Elle ?

Elections européennes 2019

1951 – 2018 ?

D’Eisenhower à Trump, l’Europe existe-t-elle ?

  Très récemment, Trump, le Président volcanique, a reproché à l’Union Européenne, et à juste titre à mes yeux,  son manque de volonté à assumer sa propre défense, s’en remettant comme dans un long passé aux bons soins du peuple américain : une sorte de protectorat qui ne dit pas son nom !

            Dans le perspective des élections européennes, il est intéressant de rappeler les constats que l’ancien Président des Etats Unis Eisenhower effectuait lors de sa prise de fonctions à la tête de l’OTAN en 1951, et après qu’il fut élu à la Présidence, en 1952.

            Rappelons qu’après avoir fait l’Ecole militaire de West Point, Eisenhower fit une longue carrière militaire qui, pendant la Deuxième Guerre mondiale,  le conduisit à prendre le Commandement des deux débarquements alliés d’Italie et de France, en Normandie, dont les succès aboutirent, en 1945, à la défaite allemande.

            Après sa retraite, de 1948 à 1951, il présida aux destinées de l’Université de Columbia, date à laquelle il fut rappelé en service pour exercer les responsabilités de Commandant en Chef de l’OTAN, l’alliance de défense occidentale  qu’imposa la guerre froide, face à l’URSS.

            En 1952, il fut sollicité pour être candidat à la Présidence et fut élu Président.

        Rappelons qu’en juin 1950, la guerre de Corée avait éclaté, une nouvelle guerre qui changeait complètement la donne entre le monde communiste et l’Occident.

            Les quelques extraits de textes rédigés par Eisenhower sont tirés du livre de Kervin McCann intitulé « Un Général sans képi » (Robert Laffont 1952).

            En janvier 1951, il débarquait en Europe pour prendre un commandement suprême sans armée.

            Il entreprit un long et très minutieux voyage d’inspection qui lui permit de constater que tout était à faire :

            « Notre espoir, continua-t-il, repose toujours sur la construction d’un édifice pacifique, lui-même fondé sur la compréhension et la tolérance, seules bases solides de la paix. Nous en devons jamais désespérer de parvenir à bâtir cet édifice… De toutes nos forces, nous nous appliquons à ériger un mur de sécurité pour le monde libre, derrière lequel puissent vivre et se développer de libres institutions. Ce mur, nous devrons le maintenir en place, en attendant que l’impérialisme communiste meure des maux inhérents à sa nature. »

            Après avoir passé en revue l’incapacité et la répugnance de l’Europe à lutter contre une guerre d’agression, il résuma sa position personnelle en trois points :

            « A vous, peuple d’Amérique, je répète, comme je l’ai fait devant le Congrès et le Président, ma conviction que : primo, la sauvegarde d’une libre Amérique exige notre participation à la défense de l’Europe Occidentale. Secundo, la réussite est possible moyennant l’unité d’esprit et d’action, la tâche est réalisable. Tertio, si le transfert en Europe d’unités de notre armée est essentiel, notre contribution particulière la plus importante devrait être dans le domaine des munitions et de l’équipement… » (p,219)

            Il écrivait à un ami : « … Vu sous l’angle purement militaire, la chute, par force ou subversion, aux mains des communistes, du formidable système industriel de l’Europe Occidentale, y compris la masse énorme d’ouvriers spécialisés, serait pour nous une effroyable catastrophe. Si le continent eurasien devenait un bloc compact de peuples et d’industries communiste, aucune mesure militaire de notre part ne pourrait plus protéger l’Afrique…(p,223).

            L’effort matériel de l’Amérique, devrait à mon avis, être limité dans le temps ; je tiens pour une erreur de pouvoir prédire et fixer cette limite, pour l’instant, quant à son exact degré. Si j’ignore pour combien de temps encore les forces d’occupation devront rester en Allemagne, je dirais cependant ceci : si dans dix ans, toutes les troupes américaines stationnées en Europe ne sont pas rentrées dans leurs foyers, alors, c’est que le projet actuel a échoué…(p,225)

Eisenhower ne sous-estimait pas toutes les difficultés qu’il fallait surmonter pour arriver à un système de défense européenne commun, et en juin 1951, il déclara :

            « C’est un lieu commun que, entre associés, chaque fois qu’il faut donner toute la mesure de sa force, l’unité est la première nécessité. Sans elle, les efforts perdent de leur puissance pratique, et finalement de leur caractère décisif. Ce fait est particulièrement vrai pour l’Europe. On ne saurait trop insister sur les bienfaits qu’apporterait, en ces années de crise et de tension, aux nations du Pacte Atlantique, l’existence d’une unité profonde entre elles.

            Mais dans cette partie du monde, l’Histoire, les coutumes, la langue et les préjugés se liguent pour empêcher les peuples de se fondre. Le progrès en ce sens a été, et reste, entravé par tout un entrelacs de barrières douanières, compliquées d’accords bilatéraux, de cartels multilatéraux, de pénuries locales et de monstruosités économiques. Et c’est tragique ! Des hommes libres menacés par le spectre de l’esclavage politique, se débattent, paralysés par des chaines artificiellement forgées par eux-mêmes et qu’eux seuls pourraient faire tomber ! C’est là une tâche qui met au défi les efforts des hommes d’Etat les plus sages, des meilleurs économistes, des plus brillants diplomates… L’Europe ne pourra atteindre le sommet de sa puissance matérielle à laquelle elle aurait droit grâce aux talents et au courage de ses peuples, tant qu’elle restera démembrée par des frontières territoriales….

            Son unité réalisée, poursuivit-il, l’Europe pourrait édifier une sécurité suffisante et, en même temps, continuer à pousser en avant ce progrès qui  est la marque distinctive de la civilisation occidentale… Et cela signifierait très vite qu’elle ne dépendrait plus de l’aide américaine…(p,242) »

            Entre 1951 et 2018, la situation de l’Europe occidentale a-t-elle véritablement changé par rapport aux Etats Unis ?

            L’Europe s’est dotée d’une panoplie d’instruments politiques, financiers, et économiques, qui lui donnent de nouveaux moyens de puissance, mais elle n’a pas réussi encore à se doter d’un véritable gouvernement européen groupant les pays décidés à partager les mêmes ambitions, pour ne pas dire le même idéal.

            Toutes choses étant égales par ailleurs, et à situations historiques différentes, les prédictions et souhaits d’Eisenhower n’ont pas encore été  complètement réalisées presque 70 ans plus tard, notamment en ce qui concerne notre défense européenne.

            Il faut toutefois rappeler que c’est grâce à des chefs d’Etat comme Eisenhower que la menace communiste a pu être non seulement contenue, mais s’est écroulée en 1989, alors que de belles âmes intellectuelles ou politiques communistes ou marxistes continuaient à se faire les thuriféraires du paradis de l’homme nouveau !

            Jean Pierre Renaud

Europe, Europe, Europe ! Barrot, Barrot, Barrot ! Le Monde, Le Monde, Le Monde !

Europe, Europe, Europe !

            Les élections européennes du 25 mai 2014 : les électeurs et électrices sont invités à voter dans huit circonscriptions politiques qui ne correspondent à rien dans notre tissu politique national.

            C’est le choix qu’a fait la majorité de l’ancien président Chirac par la loi du 11 avril 2003. Il convient de rappeler que l’ancien président s’était illustré en 1978 par le fameux appel de Cochin, et qu’en 2001, il s’était illustré, presque de façon contraire, en signant le traité de Nice, celui de l’élargissement de l’Union, une des raisons majeures du scepticisme des Français et des Françaises à l’égard de l’Union Européenne.

            Il n’est pas interdit de se poser la question du pourquoi de ce découpage artificiel : ne s’agissait-il pas de limiter l’influence politique des candidats et des listes qui auraient emporté la majorité des sièges au Parlement Européen ?

            Toujours est-il que le spectacle des 25, 26 panneaux électoraux, ou plus, offerts aux listes qui présentent des candidats que l’on peut voir dans nos mairies intrigue plus qu’il n’incite à aller voter !

Barrot, Barrot, Barrot !

            Dans le journal Les Echos des 7 et 8 mai 2014 (page 9), M.Barrot, membre du Conseil Constitutionnel, ancien Commissaire européen, ancien ministre, et ancien centriste, très vaillant supplétif de la chiraquie,  a commis un papier pour condamner la ou les thèses de révolution des institutions européennes (avec une Europe revenue à six) du poulain politique qu’il a mis en selle dans une circonscription acquise à sa famille depuis des lustres.

            La « bulle d’excommunication » Barrot à l’endroit de l’ancien ministre Wauquiez !

            Question simple en dehors de toute analyse sur le fond de son propos : un membre du Conseil Constitutionnel a-t-il le droit de prendre une position politique dans une élection, fusse en signant son papier d’une ancienne fonction européenne, c’est-à-dire en trompant le lecteur?

            Mélange des genres constitutionnel ?

Le Monde, le Monde, le Monde !

            Quel silence ! Le nouveau Monde du Silence !

          Dans le journal Les Echos des 7 et 8 mai 2014, un article intitulé « Crise ouverte au « Monde » après une démission collective » ;

           Pour lire régulièrement notre journal de référence, aucune information à ce sujet depuis le début de la crise !

            Silence sur les ondes du Monde !

           Suggestion : de deux choses l’une,

        –        Ou bien, il faut que Le Monde fasse appel aux écoutes clandestines du réseau NSA !

          –       Ou bien, mais il s’agit d’une solution que je reconnais un peu artisanale, il faut que Le Monde invite ses deux détectives infatigables et favoris, D et D, dotés d’un vrai savoir-faire pour exploiter les procès-verbaux des policiers et des juges, à nous aider à faire la lumière sur ces secrets de l’information.

Jean Pierre Renaud

Humeur politique du jour! Il n’y a vraiment pas de quoi rêver!

Humeur politique du jour

Il n’y a vraiment pas de quoi rêver !

      L’actualité du jour vue par le journal Le Monde des 30 et 31 mars 2014, avec un gros titre en première page, à gauche :

      « Ayrault s’accroche à Matignon »

 A la page 6 du journal :

            « Jean-Marc Ayrault dans la bataille  pour Matignon », avec un commentaire du type « confidentiel » qu’adorent les journalistes, c’est-à-dire la citation de sources « confidentielles », au goût du jour, cinq dans le cas présent : « l’entourage », « un conseiller », « un proche de Benoit Hamon », « un cadre du Palais Bourbon », « un de ses soutiens ».

          Pendant ce temps-là, le monde bouge, et la dette publique de la France approche toujours les 2 000 milliards d’euros !

            L’Europe, elle, ne bouge pas ! Le règlement du dossier ukrainien est entre les mains du couple Obama Poutine, faute pour nos responsables européens d’avoir été capables de donner un corps politique à la zone euro, avec une politique étrangère et une défense commune !

            A l’approche des élections européennes, l’Europe est d’autant plus en danger que nos hommes et femmes politiques continuent à donner la préférence à des mandats locaux ou nationaux franchouillards.

            A citer l’exemple le plus frappant du président du MODEM, un parti qui s’est suicidé politiquement : le Président en question a préféré opter pour la ville de Pau, plutôt que de faire campagne, dans chacune des capitales européennes, pour un projet novateur d’union politique européenne.

            Comment ne pas évoquer aussi les enjeux des élections municipales, qui faute de courage et de lucidité de la part de nos élites politiques, remettent en selle des équipes dans les plus de 36 000 communes de France, alors que le pays avait besoin d’un vrai regroupement des forces communales ?

          Dans ce décor réjouissant, les chaînes de télévision publique sont heureusement là, grâce aux faits divers, pour détourner l’attention des citoyens sur l’actualité sérieuse du jour :

            Sur France 3, le journal du soir du vendredi 28 mars ouvrait ses pages avec la condamnation d’un vieux pépé criminel.

            Sur France 2, le samedi 29 mars, le journal du soir ouvrait ses pages sur une vieille affaire d’assassinat de deux jeunes enfants, avec le scoop du jour, l’apparition d’un témoin surprise qui serait censé redistribuer les preuves judiciaires.

            Bonne nuit, les petits !

Jean Pierre Renaud

2014: élections municipales et européennes -Appel à un consensus politique!

2014 : élections municipales et européennes

Appel à un consensus politique !

L’aveuglement d’une classe politique sans cap politique dans le monde, en Europe, et en France !

La France est déboussolée et il y a le feu dans la maison !

            C’est à se demander si notre personnel politique, qu’il soit de droite ou de gauche, a encore les pieds sur terre !

         Après le scandale Strauss-Kahn dont la gauche s’était enamourée, puis le scandale Cahuzac, le super-menteur national, on voit des sénateurs inviter en conférence le premier, et des députés écouter le second, en comédien muet !

         Comme si rien ne s’était passé !  Et comme si dans le cas de Cahuzac, la justice n’était pas saisie !

         Sans citer encore le cas de Guéant, ou l’ancienne et nouvelle affaire Tapie.

         On continue à enrôler à tour de bras de nouveaux pays dans l’Union Européenne, alors que dans la zone euro, les pays qui la constituent sont incapables de se doter d’une organisation démocratique, cohérente, et responsable.

         Si vous ajoutez à cela, la folie des grandeurs de la France, toujours prête à intervenir à l’étranger (voir Mali), toujours prête à mettre son grain de sel dans les affaires du monde, sans en avoir les moyens, la crise dans laquelle le pays se débat, le chômage des jeunes, les dettes cumulatives de l’Etat et de la Sécurité sociale, on en conclut, et à juste titre, que notre élite politique est folle.

         Comment s’étonner alors que les Françaises et les Français ne fassent plus confiance aux grands partis de gauche ou de droite, et qu’ils soient prêts à se laisser hypnotiser, l’année prochaine, aux élections municipales et européennes, par les mirages des extrêmes, de gauche ou droite ?

         Est-ce qu’il ne serait pas raisonnable que quelques hommes ou femmes politiques d’expérience, de droite ou de gauche, se réunissent en conclave pour proposer au pays un programme politique de consensus.

         De la nouvelle génération des Maire, Wauquier, NKM, Valls, Touraine, Filipetti … !

        Dans le passé on aurait parlé d’un programme minimum d’union nationale, sur les grands objectifs suivants :

         Une zone euro démocratique, politiquement et économiquement solidaire, la réduction des dettes, publique et sociale, le rétablissement de l’égalité des français devant le service public, qu’il s’agisse de nos campagnes ou de nos quartiers sensibles (emploi, santé, transport…), une réelle transparence sur l’’immigration et la bi-nationalité, un effort sur la sécurité publique, le choix d’une défense européenne…

        Arrêtons de laisser croire aux Français que leur pays dispose encore des moyens d’assurer tout à la fois la défense de la France, de l’Europe, ou de l’Afrique !

            Jean Pierre Renaud