Brèves

Ukraine…Ukraine…Corse…Corse… Sondages…  Sondages…Pratiques politiques suspectes…

       Ukraine, le génocide… 

 Un seul espoir si les Etats-Unis ne se mettent pas de la partie, la médiation de l’Eglise Orthodoxe Russe qui ne va tout de même pas laisser son grand soutien devant l’Eternel continuer l’extermination du peuple Ukrainien, une nation « sœur »

Comme en 1932-1933, avec Staline, et la passivité de l’Europe !

Avec le « Frère Musulman ( ?) » Erdogan à l’affût !

La Corse s’embrase … à nouveau…

Il est évident, sauf pour nos responsables politiques, que cela devait arriver, car la République mélangeait les catégories de criminels, en mettant sur le même plan, les criminels de droit commun, politiques ou non, avec les ennemis de la République, tous ceux ou celles du Djihad, auteurs ou complices de terrorisme, qui avaient porté les armes contre la France.

Il y a des années, j’avais soulevé sur le blog cette question du djihad  dans nos prisons, en suggérant qu’on les accueille, comme ils auraient dû l’être, dans un cadre juridique différent, sur une île ou dans un fort.

Sondages d’opinion ?

Avec Frédéric Dabi, le Figaro du 11mars 2022, page 5 : « Pour les jeunes, le politique n’est plus le lieu des solutions »

Est-ce qu’il l’a jamais été ? Rien n’est moins sûr !

Encore moins si l’on se base sur les références données dans cet article, en comparant les années 1957, 1968, et 2021 ? Avec les mêmes bases nationales pour la même génération étudiée de 18 à 30 ans ?

ll est permis d’en douter.

Pratiques politiques suspectes : des ministres en campagne, un Président en campagne tout en étant Président de la République, « en même temps » que Président temporaire du Conseil Européen, le corps préfectoral en uniforme avec cape et casquette en supplétifs politiques du moment électoral…. Avec 43 ministres ou secrétaires d’Etat, une petite armée en campagne avec intendance et réseaux sociaux, car « Comme j’aime c’est gratuit », mais pas pour tout le monde…

Le jeune Attal dans l’Isère en compagnie du « sous-préfet du département » (sic) avec le très modeste soutien d’un de nos professeurs de morale publique, « Grand élu » sur Seine de l’UDI : « Il a réussi à négocier avec moi, ce  qui est une marque d’intelligence », mais à quel prix ? (Le Figaro des 12 et 13 mars 2022, page 11)

Jean Pierre Renaud

La République Française et la Corse ? Cartes sur table ! Un nouvel Etat ?

   Le 10 décembre 2017, les nationalistes et indépendantistes de Corse ont remporté les élections de la nouvelle assemblée régionale.

            Leur discours actuel ? Aller vers l’indépendance de l’île dans une dizaine d’années.

            Ce processus suscite de multiples questions :

            La première, la République Française indivisible existe-t-elle encore, étant donné que son assiette constitutionnelle échappe ou semble échapper à ses pouvoirs constitués, le Parlement et le gouvernement, donc aux citoyens français ?

            Ne serait-il pas constitutionnel et démocratique de soumettre  ce choix à un  référendum national, Corse comprise, plutôt que de se laisser entraîner dans un processus constitutionnel détourné. Monsieur Siméoni a reconnu d’ailleurs qu’il conviendra de modifier la Constitution.

            En troisième lieu, et avant toute chose et toute décision, il est capital que le processus engagé le soit « cartes sur tables », du « doit » et de l’« avoir », ce qui veut dire avec un bilan des relations de toute nature existant entre les deux collectivités.

       Il faut qu’il soit bien clair, que dans une situation d’indépendance de la nouvelle Corse, le nouvel État ne bénéficiera pas, sous couvert d’une appellation flatteuse d’une autonomie-indépendance qui ne dit pas son nom, d’une sorte d’assistance respiratoire ad vitam æternam, en conservant tous les avantages existant aujourd’hui avec sa métropole, continuité territoriale, relations extérieures, monnaie, défense, sécurité, aide sanitaire et sociale, lutte contre les incendies, etc…

            Est-ce que dans la balance, les beautés de la Corse suffiront à faire le poids ?

            Quatrièmement, la République française a tout intérêt à quitter ces chemins de traverse qui, sous couleur de grandeur nationale et d’autonomie, depuis des dizaines d’années, laissent s’établir dans ces territoires le laissez aller des affaires publiques.

            A lire l’Editorial du Figaro du 3 décembre : « Corse : le pari du réalisme » et le Contre-Point de la page 3 : « Outremer : l’autonomie, antidote de l’indépendance », on voit bien se perpétuer ce type de dérive « nationale » quasi-historique qui continue à prospérer chez nous les yeux fermés, dans l’outre-mer en général.

             Avec une fois de plus, une illustration de l’adage « le beurre, et l’argent du beurre ».  

    Jean Pierre Renaud

        Dernière heure ! Le Miracle ! Le Parisien du 5 janvier 2017, page 15 :

          » Au Cap Corse, on marche sur l’eau »

L’indépendance de la Corse et de la Martinique, pourquoi pas? Par réferendum!


            Depuis des dizaines et des dizaines d’années, la France entretient un dossier politique, économique et financier pourri, faute pour les gouvernements successifs de la République d’avoir eu le courage de poser clairement la question :

            Etes-vous pour l’indépendance de la Corse ?

            Etes-vous pour l’indépendance de la Martinique ?

            Qu’on en  finisse une bonne fois pour toutes de ces débats interminables qui frisent le plus souvent le chantage !

            L’indépendance de la Corse et de la Martinique, pourquoi pas ?

          Mais en toute clarté sur le plan des relations politiques, économiques et financières à établir avec ces nouvelles entités étrangères, afin de mettre un point final à une discussion de marchands de tapis au cours de laquelle nos nouveaux partenaires n’assumeraient pas la totalité des charges que leur imposerait cette nouvelle forme de leur Etat.

           Il serait dommage de ne pas rappeler l’épisode de la décolonisation des années 1958-1960, sous l’autorité du général de Gaulle, lequel disant à Sékou Touré, l’homme fort de la Guinée, « A prendre ou à laisser »

          Le 9 août 1958, sur Radio Dakar, Sékou Touré avait alors déclaré que « son amour propre pour la dignité de l’Afrique a été choquée ».

           Pour ceux ou celles qui ont la mémoire courte, rappelons  que Sékou Touré fut un des dictateurs sanguinaires de l’histoire africaine.

Jean Pierre Renaud

Crimes en Corse à la Une! Pourquoi pas une enquête des deux détectives infatigables du Monde, D et D?

Humeur Tique : Crimes et Mystères en Corse ? Pourquoi pas une enquête nouvelle des deux détectives infatigables D et D du Monde ?

En suivant le fil d’Ariane !

            Ici, il ne s’agirait pas d’une enquête qui consisterait à fouiner dans les procès- verbaux d’instruction de la police ou des juges d’instruction, et de violer le fameux secret d’instruction avec la complicité des parties intéressées, sans trop bouger de son fauteuil, mais d’aller au cœur des processus de corruption et de mélange des genres entre mafias corses, entreprises, et élus de Corse ou de métropole.

            A lire les multiples avis de la gent en « logue », anthropologues, politologues, criminologues,… ou de la gent en « tant », les nombreux consultants de tout poil, on n’est guère plus avancé sur les causes de la criminalité exceptionnelle de l’île.

Ne serait-il pas plus efficace d’oser mettre au jour les complicités passives ou actives qui contribuent à entretenir un climat de violence qui ne date pas d’aujourd’hui ?

N’a-t-on pas vu dans les années 1995-1997 (gouvernement Juppé) un ministre de l’Intérieur complice d’une conférence de presse de nationalistes en cagoules et en armes ?

Cela n’a pas empêché ce ministre d’accéder à une des plus hautes fonctions juridictionnelles de la République, c’est-à-dire le Conseil Constitutionnel !

Les deux détectives infatigables du Monde continuent imperturbablement à noircir des pages sur des affaires qu’ils estiment capitales (Bettencourt), aux confins de la grande notoriété, alors que la mise au jour d’autres trafics contribuerait sans doute à améliorer, de façon beaucoup plus efficace, l’état de notre belle France.

A titre d’exemple, citons les filières de corruption corse, comme déjà indiqué, mais tout autant celles du cannabis et de la drogue, des flux d’immigration clandestine, des combines de l’outre-mer, ou de Bruxelles… ou encore les affinités électives, dans la coulisse, entre milieux d’affaires et milieux politiques, par exemple dans le cas du plan social de Sanofi, sans doute celles de son président non exécutif et des autorités politiques.