Après l’épisode bien connu de la sécurité d’un Président, ce dernier a engagé un long processus de grand débat national.
Au fur et à mesure des semaines, il est évident qu’une partie des gilets jaunes « professionnalise » les revendications, sinon une agitation de type anarchique ou révolutionnaire, dans un mouvement difficile à identifier, avec le risque de mettre le feu aux poudres.
Il n’est pas certain que notre pays puisse souscrire une assurance tous risques contre un tel danger, même avec le secours d’une mutualisation européenne et confraternelle des risques de cette assurance.
Les mauvais esprits ne manqueront pas de se demander s’il ne s’agit pas d’un nouvel épisode des aventures « Gauloises » d’Astérix et Assurancetourix.
Jean Pierre Renaud