Chevènement ne plie jamais bagage …

            Il se trouve que ma famille paternelle est originaire du Russey, sur le Plateau de Maiche, dans le Doubs, proche des Montagnes du Jura Suisse, terre d’origine des Chevènement.

            C’est une des raisons, entre autres, pour laquelle j’ai suivi avec attention le parcours politique de Chevènement dont les parents furent instituteurs dans la proximité géographique de mes grands-parents paternels, éleveurs de vaches et de chevaux.

            Le parcours politique de Chevènement fut époustouflant. Il fut l’un des fondateurs du Cérès dont l’ambition était de faire de la France une nation socialiste. Il adhéra avec son ami Motchane au Parti Socialiste, et rejoignit rapidement le Bureau  Exécutif de ce parti.

            Il  insuffla à ce parti un courant de type révolutionnaire, milita pour un Programme commun de gauche avec le Parti Communiste, qui était alors aux ordres de Moscou, alors aussi que les chars russes étaient à quelques centaines de kilomètres de Belfort, terre d’élection du personnage.

            Le Programme Commun était une folie coûteuse que Mitterrand, élu en 1981, commença à mettre en musique, une sorte de bureaucratie étatique sans lendemain, avant d’y renoncer. Ce n’était pas la première fois que Mitterrand pratiquait le renoncement politique..

            Aux yeux d’un vieil observateur de la vie politique française, l’alliance PS PC mettait en danger l’indépendance de notre pays.

La même gauche a réussi à tirer un cordon sanitaire de protection contre le Rassemblement National, un parti qui, sauf erreur, n’est pas affilié à un parti étranger. 

            Sur un sujet sensible comme celui-là,  Chevènement pourrait être un bon conseiller du monde politique.

            Revenons à Chevènement, et à nos moutons, ou plutôt à nos vaches, compte tenu de nos origines géographiques communes.

Il est difficile de dire que sa longue présence à Belfort a laissé un héritage positif à la ville dont il occupa longtemps (ses quartiers sensibles), et sauf erreur,  un logement HLM, tout en bénéficiant d’un « confortable duplex en plein cœur du Quartier Latin, loué à un prix très social par la Régie Immobilière de la Ville de Paris ».

Le Canard Enchainé vient de publier un petit écho dans son numéro du 15/03/2023 : « La capitulation de Chevènement »

« Il aura tenu près de quarante ans avant de plier bagage… »

            C’est quand même beau le socialisme incarné par un de ses modèles !

            Dans les hautes terres du Jura Suisse ou Français, on témoignait historiquement d’un tout autre sens de l’honneur !

            Macron a honoré un tel  sacrifice pour le bien de la patrie en lui décernant l’insigne de Commandeur de la Légion d’Honneur fêté à l’Elysée par le puissant establishment parisien, toujours aux commandes, et quoiqu’on en dise, de notre vieille République.

Jean Pierre Renaud

Sus aux féminicides quotidiens !

La mesure « résiliente » des « Cent Jours » d’un Président !

Gratuité d’un pique-couille pour les femmes âgées de plus de quatorze ans !

Les siècles passés avaient quelquefois du bon ! Sans Sécurité Sociale !

Jean Pierre et Marie Christine Renaud

 Source : un médecin privé, chevronné, cultivé, toujours en alerte sur l’actualité

Vive les vaches Montbéliardes !

« Climat »

« la Cour des Comptes veut réduire le nombre de vaches »

« Pour une fois qu’elle a une idée de génisse »

Le Canard enchaîné du 24 mai 2023 en première page !

Moscovici, le Président actuel de la Cour des Comptes aurait-il oublié les vaches « Montbéliardes » qu’il a « administrées » pendant une vingtaine d’années comme député du Doubs ?

Il est vrai que ce député technocrate parisien n’a pas beaucoup été au cul des vaches, mais gare à lui, gare à la Cour des Comptes !

Gare aux meuh meuh qui viendraient brouter et ruminer à sa porte !

La Cour aura sans doute de la peine –mais rien ne semble la rebuter- à contrôler les comptes d’émission de C02 de chacune des dizaines de races de vaches, Limousine, Blonde d’Aquitaine, Rouge des Prés, Salers ou Aubrac… vaches à viande, laitières, ou mixtes telle la montbéliarde…

La France est entrée décidément dans un monde de fous !

Jean Pierre Renaud

Les confessions d’un officier des troupes coloniales

Marie Etienne Péroz

1857-1910

Livre en 3 parties, tous les dimanches la suite vous attend 

Niger (Samory) Guyane (Dreyfus) Tonkin (Dé tham)

Illustration et témoignage d’un acteur des conquêtes coloniales de la Troisième République.

Ce livre a la force du témoignage d’un officier au coeur des conquêtes coloniales en Afrique et en Asie , face à des adversaires réputés.

Ce livre a la force d’une personnalité franc-comtoise exceptionnelle.

Ce livre est un formidable échantillon des acteurs de ces conquêtes, très loin des reconstitutions anachroniques ou des clichés qui font fureur dans notre pays, fondés sur l’idéologie ou l’argent.

Très larges extraits du témoignage avec mes commentaires

La France des « Cent Jours »

« Sans Confiance » !

            La France n’a plus confiance !

Avant le 14 juillet une pétarade de milliards tous azimuts !

Une politique sans aucun cap, au coup  par coup !

Un petit milliard d’euros par ci, un milliard ou plus, par-là, avec une France qui vit aux crochets de l’euro, avec une dette colossale de plus de 3.000 milliards d’euros, un vrai cadeau pour nos enfants et petits-enfants.

            La Com en continu, Macron par-ci Macron par-là, en France et à l’étranger, avec un égo surdimensionné doté d’un pouvoir de séduction inégalé !

Aucune doctrine, aucune colonne vertébrale politique, ses courtisans commencent à quitter le bateau…

La France n’a plus confiance !

Jean Pierre Renaud

Publicité ou Propagande sur France 2, chaine publique ?

Téléspectateur des chaines de télévision publique depuis de nombreuses années, principalement de France 2, je suis de plus en plus frappé par les matraquages publicitaires qui ressemblent purement et simplement à de la propagande telle qu’elle était décrite et fonctionnait dans les pays totalitaires, fascistes, communistes ou nazis,  répétition, manipulation des images et des sons, jusqu’à plus soif et saturation, afin de vendre son produit ou ses prestations de service…

            La plupart de ces pubs à répétition utilisent les mêmes procédés à déclic automatique  grâce à leur musique de fond, leur slogan, la voix de leurs acteurs, les images pièges…

            En tête, le matraquage du site « Comme j’aime » sous toutes ses formes, c’est gratuit … le matraquage de la chaine LIDL avec sa mise en scène artistique, plus qu’étrange  « je ne bouge pas… », le café des Petits Producteurs avec une voix caverneuse destinée à s’ancrer dans votre mémoire, évoluant récemment avec la vente d’une machine à café, la pub très récente de la Mutuelle Aesio ! Une imitation d’un ancien Romain couché sur un lit antique à son réveil et découvrant une pub Aesio…

 Les cascades de voitures toutes marques proposées à un prix mensuel de centaines d’euros, comme s’il s’agissait de cadeaux, etc, etc… AD c’est sûr, « Carglass »

On vous explique que cette submersion des chaines publiques par la pub allège la facture du contribuable, alors que le gouvernement vient de supprimer de façon démagogique la taxe dédiée, pour privatiser les chaines ?

Ne conviendrait-il pas de soumettre ces pubs à un régime minceur du type « comme j’aime », ce qui veut dire une régulation calendaire et un terme court fixé par le contrat de pub ?

Jean Pierre Renaud            Tous droits réservés

Publicité ou Propagande sur France 2, chaine publique ?

            Téléspectateur des chaines de télévision publique depuis de nombreuses années, principalement de France 2, je suis de plus en plus frappé par les matraquages publicitaires qui ressemblent purement et simplement à de la propagande telle qu’elle était décrite et fonctionnait dans les pays totalitaires, fascistes, communistes ou nazis,  répétition, manipulation des images et des sons, jusqu’à plus soif et saturation, afin de vendre son produit ou ses prestations de service…

            La plupart de ces pubs à répétition utilisent les mêmes procédés à déclic automatique  grâce à leur musique de fond, leur slogan, la voix de leurs acteurs, les images pièges…

            En tête, le matraquage du site « Comme j’aime » sous toutes ses formes, c’est gratuit … le matraquage de la chaine LIDL avec sa mise en scène artistique, plus qu’étrange  « je ne bouge pas… », le café des Petits Producteurs avec une voix caverneuse destinée à s’ancrer dans votre mémoire, évoluant récemment avec la vente d’une machine à café, la pub très récente de la Mutuelle Aesio ! Une imitation d’un ancien Romain couché sur un lit antique à son réveil et découvrant une pub Aesio…

 Les cascades de voitures toutes marques proposées à un prix mensuel de centaines d’euros, comme s’il s’agissait de cadeaux, etc, etc… AD c’est sûr, « Carglass »

On vous explique que cette submersion des chaines publiques par la pub allège la facture du contribuable, alors que le gouvernement vient de supprimer de façon démagogique la taxe dédiée, pour privatiser les chaines ?

Ne conviendrait-il pas de soumettre ces pubs à un régime minceur du type « comme j’aime », ce qui veut dire une régulation calendaire et un terme court fixé par le contrat de pub ?

Jean Pierre Renaud            Tous droits réservés

Lettre à l’ancienne Inspectrice du Travail Maire de Paris

Nombreux sont vos administrés qui s’interrogent sur la légalité de votre mandat compte tenu

1 – de vos aventures politiques – les Présidentielles avec un score de Moins 2% -, alors que vous aviez déclaré lors des municipales que vous ne vous y présenteriez pas.

2-  des décisions que vous avez prises à l’occasion du vote de la loi sur les retraites à 64 ans, des décisions qui ont encouragé des troubles graves à l’ordre public, alors que votre mandat de maire vous impose des responsabilités publiques, qui, en cas de violation, devraient faire l’objet d’un retrait de fonctions.

C’est sans doute à juste titre que certains de vos administrés vous ont affublé du titre de Reine des Poubelles et des Rats, compte tenu des risques que vous avez fait courir à l’hygiène publique.

Plus largement,  les violations du Code des Collectivités Locales affectent la plupart des responsabilités que la loi vous confie au nom de l’Etat :  ordre public local, sûreté, sécurité et salubrité publique, répression  des atteintes à la tranquillité publique, maintien du bon ordre dans les endroits où il se fait de grands rassemblements d’hommes…

Les citoyens ont le droit de s’interroger sur la conduite et la responsabilité des Préfets de Paris et de la Région d’Île de France qui ont laissé faire, n’ont pas mis en cause devant les juridictions compétentes ces violations répétées de la loi, violations dans une ville qui abrite les pouvoirs publics et un grand nombre de représentations diplomatiques.

Quel spectacle donné en France et à l’étranger !

Quelle belle annonce pour une ville qui manifeste des prétentions mondiales à l’occasion des JO de 2024 ! Il y a de quoi frémir !

Enfin, trois remarques, la première relative à un pays qui ne craint pas, sans s’en préoccuper, de confier des responsabilités publiques nationales (ministres, députés, sénateurs, préfets) à des citoyens et citoyennes qui ont une double nationalité, la deuxième plus terre à terre qui inviterait les contribuables parisiens à ne pas payer leur taxe d’ordures ménagères pour le mois d’avril 2023, la troisième symbolique du grand désordre des esprits qui règne dans l’équipe municipale parisienne qui demande une indemnisation pour des dommages dont elle a été partie prenante.

Marie Christine et Jean Pierre Renaud     Tous droits réservés

1er mai 2023     Fête du Travail

Lettre à l’ancienne Inspectrice du Travail Maire de Paris

Nombreux sont vos administrés qui s’interrogent sur la légalité de votre mandat compte tenu

1 – de vos aventures politiques – les Présidentielles avec un score de Moins 2% -, alors que vous aviez déclaré lors des municipales que vous ne vous y présenteriez pas.

2-  des décisions que vous avez prises à l’occasion du vote de la loi sur les retraites à 64 ans, des décisions qui ont encouragé des troubles graves à l’ordre public, alors que votre mandat de maire vous impose des responsabilités publiques, qui, en cas de violation, devraient faire l’objet d’un retrait de fonctions.

C’est sans doute à juste titre que certains de vos administrés vous ont affublé du titre de Reine des Poubelles et des Rats, compte tenu des risques que vous avez fait courir à l’hygiène publique.

Plus largement,  les violations du Code des Collectivités Locales affectent la plupart des responsabilités que la loi vous confie au nom de l’Etat :  ordre public local, sûreté, sécurité et salubrité publique, répression  des atteintes à la tranquillité publique, maintien du bon ordre dans les endroits où il se fait de grands rassemblements d’hommes…

Les citoyens ont le droit de s’interroger sur la conduite et la responsabilité des Préfets de Paris et de la Région d’Île de France qui ont laissé faire, n’ont pas mis en cause devant les juridictions compétentes ces violations répétées de la loi, violations dans une ville qui abrite les pouvoirs publics et un grand nombre de représentations diplomatiques.

Quel spectacle donné en France et à l’étranger !

Quelle belle annonce pour une ville qui manifeste des prétentions mondiales à l’occasion des JO de 2024 ! Il y a de quoi frémir !

Enfin, trois remarques, la première relative à un pays qui ne craint pas, sans s’en préoccuper, de confier des responsabilités publiques nationales (ministres, députés, sénateurs, préfets) à des citoyens et citoyennes qui ont une double nationalité, la deuxième plus terre à terre qui inviterait les contribuables parisiens à ne pas payer leur taxe d’ordures ménagères pour le mois d’avril 2023, la troisième symbolique du grand désordre des esprits qui règne dans l’équipe municipale parisienne qui demande une indemnisation pour des dommages dont elle a été partie prenante.

Marie Christine et Jean Pierre Renaud     Tous droits réservés

1er mai 2023     Fête du Travail

Un Ministre de l’Education « visible » ? Trop « visible » ?

Minorités, discrimination,  racisme, laïcité, le nouveau panier à salade sociétale de Monsieur Pap Ndiaye

            Comme il aime le faire dans la plupart des secteurs des institutions de la République Française, le Président actuel a fait le choix d’un ministre au style disruptif, un ministre qui vient de faire irruption dans le domaine très sensible de la laïcité républicaine.

            Il s’agit d’un sujet qui m’a toujours concerné à la fois sur le plan familial, professionnel, et politique, un sujet que j’ai abordé et traité sur ce blog à de multiples reprises, peu de temps après sa création, le 6 mars 2011, à l’occasion de l’interview du ministre actuel par M.Joignot dans le Monde Magazine.

            Afin de bien comprendre la ou les thèses historiques et politiques défendues par l’intéressé, j’avais complété mon information en lisant le livre « La Condition Noire » édité en 2008, et en publiant une petite chronique de lecture le 16 mai 2011.

            Vous trouverez le texte des deux chroniques en annexes 1 et 2.

            Ces jours derniers, Monsieur Pap Ndiaye a défrayé la chronique politique de notre pays en signant l’arrêté du 13 avril 2023 qui élargit le champ de compétence du Conseil des Sages de la Laïcité à « la lutte contre le racisme et l’antisémitisme et toutes les formes de haine et de discriminations ».

            Il s’agit bien d’un virage institutionnel, idéologique, et politique que ce nouveau ministre vient de faire prendre à la République, pour combien de temps (?), en signant  cet arrêté du 13 avril modifiant 1) les compétences du Conseil des Sages de la laïcité , 2) sa composition, 3) le rôle nouveau du ministre dans une nouvelle composition du Conseil des Sages de la laïcité, chargé cette fois d’assurer la police de sa communication et de sa saisine.

            Il est évident que ces modifications de composition et de compétence mettent en cause le contenu et la mise en application de la loi de 1905 sur la laïcité, alors qu’elle fait l’objet déjà de multiples attaques liées à la mondialisation, au multiculturalisme, et à la poussée islamique dans notre pays. En 2020, la décapitation du professeur Paty en fut le malheureux symbole.

Les initiatives de ce ministre  ne vont certainement pas servir la laïcité de la République, et méritaient un débat au sein des institutions parlementaires, Assemblée Nationale et Sénat. Ont-elles au moins été débattues au sein du Parti Renaissance ?

Fait du Prince ? Incontestablement !

En 2011, les propos de Monsieur Pap Ndiaye dans une interview du Monde Magazine avaient surpris, la thèse historique  qu’il a développée dans le livre « La Condition Noire » publié en 2008 avaient suscité de la curiosité et de l’intérêt, mais elle souffrait à mes yeux d’une carence  d’analyse des contextes historiques de la France des flux d’immigration, d’un manque de statistiques reconnu par l’intéressé, faute de l’interdiction faite dans notre pays de livrer des statistiques dites ethniques, dont le ministre actuel était partisan…

Au lieu de nous lancer dans une nouvelle polémique sur le qui fait quoi d’un ministre de l’Education Nationale, nous devrions l’inviter à établir la statistique de la population accueillie dans nos établissements scolaires publics selon leurs origines, leurs lieux de naissance, établissement par établissement, et de voir ce qu’il faudrait changer.

Il y a quelques années, le ministre actuel s’est lancé dans une mission de mesure de la diversité dans une de nos institutions artistiques  les plus prestigieuses, l’Opéra de Paris.

 Très curieuse initiative dans un domaine de l’art, qui par définition, en tout cas en France, use de la plus grande liberté de choix.

Le ministre prône la « diversité », s’élève contre les discriminations, le Président l’a nommé à un poste de choix pour en faire la mesure, mais qu’il ne se mêle pas de tout mélanger, laïcité, racisme, ou antisémitisme.

Revenons au pays de Descartes et de la Raison !

Revenons aussi sur les contextes historiques d’une France qui ne commença à faire la connaissance du monde noir qu’à partir des années 1980-1990, avec les flux migratoires venus d’Afrique  noire, causés en partie par l’explosion démographique de ces pays dans l’incapacité d’offre un avenir à leur jeunesse.  Avant les indépendances, la France n’avait, contrairement à ce que raconte Pascal Blanchard et ses amis, qu’une connaissance très livresque des mondes noirs.

L’immigration noire, grâce à une meilleure santé publique locale  a fait un bond à la fin du siècle sans qu’elle soit officiellement mesurée pour des raisons d’hypocrisie politique bien française.
            Dans les années 60, on voyait des noirs dans les grandes villes universitaires, ou dans les grandes métropoles, mais pas dans nos chefs-lieux de département, à Montbéliard, ou au Mans…

Les questions de « diversité » ne se posaient pas.

Dans de telles conditions historiques, le débat ouvert par Monsieur Ndiaye sur la condition des Noirs dans notre pays, confrontés au « paradoxe identitaire » énoncé par l’intéressé ne se posait pas, vouloir être à la fois « visible » politiquement et « invisible « socialement » ne se posait pas.

L’auteur parle de « paradoxe minoritaire »

L’auteur écrit : «  voulant être invisibles du point de vue de notre vie sociale…Mais nous voulons être visibles du point de vue de nos identités culturelles noires, de nos apports précieux à la société et à la culture française. » (page 361) 

Avec les polémiques que ce ministre vient  d’enclencher sur l’ensemble de ces sujets sensibles», il a au moins l’assurance d’être visible, peut-être trop…

Avec les polémiques que ce ministre vient  d’enclencher sur l’ensemble de ces sujets sensibles», il a au moins l’assurance d’être « visible », peut-être trop…

Un mot enfin sur une autre décision de ce ministre, demander à l’enseignement privé de faire de la mixité sociale, vaste et épineux sujet, compte tenu d’au moins deux facteurs, son historique français et la complexité du contenu de l’expression « mixité sociale », dans le cas d’un ministre qui en a l’expérience concrète.

      Jean Pierre  Renaud                                  Tous droits réservés