Humeur Tique: 2001-2011: Euro, Grèce, accusés politiques, levez-vous!

Ou la responsabilité politique de nos gouvernants

Pourquoi ne pas interroger Chirac ( ?), Villepin, Jospin, Védrine et Moscovici ?

            Etrangement, les médias évoquent très souvent des faits, des événements, ou des affaires qui mettent en cause la responsabilité pénale de citoyens en chair et en os, ou de sociétés également bien « en chair et en os », mais jamais, ou presque, la responsabilité politique de nos gouvernants, sauf à l’occasion d’élections.

Alors que les décisions qu’ils ont prises sont à l’origine de crises, ou du chaos européen, forme de « crime » politique, comme c’est le cas aujourd’hui avec les péripéties de la crise de l’euro et de sa gouvernance.

A l’intention des citoyens qui ont la mémoire politique courte, la Grèce est entrée, en 2001, dans la zone euro, alors que la France bénéficiait d’un merveilleux régime de cohabitation, avec un président qui s’appelait Chirac, et un premier ministre qui s’appelait Jospin.

Précisons que M. Védrine était le ministre des affaires étrangères de la France et que M. Moscovici, directeur de la campagne de M.Hollande, était ministre des affaires européennes auprès du ministre des affaires étrangères.

Pourquoi ne pas les interroger sur les raisons qui les ont conduits à approuver cette décision calamiteuse ?

Et donc leur demander de rendre des comptes ? Alors me direz-vous et en ce qui concerne le camarade Chirac, mission impossible ! Mais en ce qui concerne les autres, pourquoi pas ?

Et de proposer à nos médias nationaux de « sacrifier » à ce bel exercice d’explication citoyenne !

Niches fiscales et niches sociales: le cas d’EDF, depuis 1946?

Niches fiscales et niches sociales ?

Le cas d’EDF dans une France immobile depuis 1946 ?

            Le statut d’EDF, qui date de la Libération (1946) a, au travers de sa Caisse centrale des activités sociales (CCAS), accordé au personnel de cette entreprise des avantages sociaux d’un caractère tout à fait exceptionnel, grâce à sa source de financement, c’est à dire le 1% de son chiffre d’affaires.

            Par ailleurs, il bénéficie de la mise à disposition de personnels dont l’effectif et le coût ne sont pas rendus publics.

            Avec 700 millions d’euros (plus les personnels mis à disposition),  la CCAS est le Comité d’entreprise le plus riche de France, ce qui ne l’empêche pas d’avoir une gestion calamiteuse.

            Ajoutez à cela le tarif préférentiel d’électricité accordé aux agents actifs et retraités de cette entreprise, soit de l’ordre de 10% du tarif normal, dont le coût n’est pas non plus révélé.

Vous comprendrez donc que le personnel de cette grande entreprise bénéficie d’une véritable niche sociale, un privilège, dont il conviendrait sans doute de remettre à plat les fondations, en toute justice sociale à l’égard de l’ensemble des Français.

            Rien n’aurait véritablement changé dans notre pays depuis de plus de 60 ans ?

            Jean Pierre Renaud

COM’COM’ Présidentielles des médias. Jusqu’à plus soif! Le ras le bol!

 Chaque jour, vous avez beau faire, vous avez beau zapper d’une chaine de télévision à une autre, vous n’échappez pas à tel ou tel commentaire savant d’un ou d’une journaliste qui vous explique comment fonctionne «  le fil à couper le beurre » des présidentielles 2012.

Et cela dure déjà depuis des mois, et des mois, de trop longs mois ! Et cela va continuer et empirer pendant encore sept mois !

Comme s’il n’y avait pas d’autres sujets qui pourraient intéresser les Français !

La compétitivité française dans tous les états de ses savoirs, savoir-faire, et terroirs, et de ses multiples réussites ; le mille feuilles de nos collectivités locales ; la République dans nos quartiers dits sensibles ; l’Europe que nous voulons ; nos relations avec les autres pays du monde, l’Africafrance…

Et pourquoi ne pas proposer aux éminentes écoles d’économie de Paris et de Toulouse de proposer à leurs doctorants de nous dire combien coûte à la collectivité nationale toutes ces interventions des médias sur le même sujet, des interventions qui font double, triple, quadruple, sous-multiples et multiples emplois… ?

Tous frais et dépenses comprises, avant même que ne démarre la campagne officielle que nous subventionnons en tant que contribuables !

Il y a là incontestablement un vrai budget national de pédagogie politique, sociale et économique.

Jean Pierre Renaud

Printemps arabes et automne européen!

 A lire la plupart des commentaires européens sur les printemps arabes, on se félicite de voir ces pays, gouvernés jusque-là par des dictateurs, aborder enfin les rivages de la démocratie et des libertés, en tout cas, telles que nous les concevons et aimons.

            Très bien ! Mais comment ne pas souligner le grave « déficit démocratique », une expression dont certains commentateurs raffolent, je répète, le grave déficit démocratique du fonctionnement des institutions européennes de la zone euro.

A-t-on vu, avant et pendant l’été, les parlements des 17 pays membres de la zone euro se saisir du sujet, prendre des initiatives, proposer des solutions à cette crise institutionnelle ? Et avec une assemblée européenne inaudible !

Et en France ? A-t-on vu nos partis politiques se saisir du sujet et faire des propositions de réforme institutionnelle, et donc constitutionnelle, étant donné que les traités actuels n’ont curieusement pas pris en compte la gouvernance de la zone euro?

A croire que tous les membres de ces parlements étaient partis passer leur été dans les îles grecques de la mer Egée aux eaux violettes !

Jean Pierre Renaud

Primaires socialistes et démocratie virtuelle

    Mon interrogation personnelle porte sur un des aspects les plus étranges de ce type de consultation, dite citoyenne : est-ce qu’elle n’exalte pas une démocratie virtuelle ? Comme si nous y étions ?

A voir la débauche de com. qui a entouré cette consultation, des bureaux de vote publics, comme à une élection « légale », une campagne longue, active, et coûteuse, des candidats, et cerise sur le gâteau, une Haute Autorité !

Dans quel type de démocratie politique nous trouvions-nous ?

Et comment ne pas faire le rapprochement avec ce monde virtuel dans lequel les médias modernes nous plongent en permanence ?

 Il est loin d’être assuré que ce type de démocratie « adolescente » ne court pas les mêmes dangers de confusion psychologique que les jeux numériques de nos enfants «adolescents »

Alors donc, notre beau pays, la France, revenue dans une démocratie « adolescente » ?

Jean Pierre Renaud

Présidentielles 2012 : le grand remue-ménage des Français

            Après les bons scores du Front National dans les sondages, et avec le succès réel, mais relatif, de Montebourg, les primaires socialistes ont fait apparaître, une fois de plus, les signes d’un grand remue-ménage politique, social, économique, et culturel, chez les Français.

            En 2012, tout est incertain, et tout est possible !

            Montebourg  a eu le mérite de mettre le doigt où cela fait mal, la mondialisation, l’Europe, et le rôle des banques,

            Il est vrai qu’on peut se poser beaucoup de questions sur la mondialisation, et un protectionnisme étranger qui serait, a priori, de bon aloi, et un autre, l’européen et le français, qui serait, a priori, de très mauvais aloi, des exportations qui vont mal et des importations qui vont également mal, à la fois parce qu’elles sont mal régulées par l’Europe, et parce que la compétitivité française est défaillante.

            Et que dire des délocalisations, en Europe même, où l’on assiste en permanence à des déménagements de machines et d’usines de France vers l’Europe de l’est !

            Les institutions européennes ne garantissent  absolument pas le bien commun de l’Europe. Elles se mêlent de tout, et pas assez de l’essentiel, du vital.

            Une zone euro en pleine déconfiture avec des institutions et des gouvernements incapables d’apporter la réponse d’une autre gouvernance, une gouvernance effective.

Alors, nous dit-on, le temps politique est un temps court, celui de l’émotion, alors que le temps économique est un temps long, celui de l’action, sauf qu’en 2008, avec la crise, la France était déjà sérieusement endettée, et que le Premier Ministre  avait déjà confié, l’année précédente, que la France était « en faillite ».

Cela fait plus de trois ans déjà ! Et la France paie à crédit son dernier trimestre de l’année, et la dette dépasse les 1 700 milliards, sans parler des autres déficits sociaux.

Et quant aux banques, il est tout de même curieux de constater que de grandes banques françaises se sont engagées en Grèce, fort imprudemment pour des banques, alors qu’elles devaient savoir, j’imagine, que les comptes grecs étaient truqués lors de son entrée dans la zone euro. La Société Générale a repris Geniki en 2004, et le Crédit Agricole, Emporiki, en 2006. Rappelons que la Grèce est entrée dans la zone euro en 2001.

Et qu’en amont, les institutions françaises de contrôle des banques, La Banque de France, au premier chef, n’y aient vu que du feu !

Alors, c’est vrai, les Français ont beaucoup de raisons de critiquer des gouvernements qui ne leur disent jamais la vérité, c’est-à-dire faire une politique de rigueur au moment où il fallait de toute façon la faire, qui continuent à pratiquer une politique extérieure de grandeur que le pays n’a plus les moyens de soutenir, et enfin de réaliser des arbitrages politiques qui ne tiennent pas assez compte d’une solidarité nationale, en faveur des moins bien lotis, encore plus nécessaire en temps de crise.

Que de défis à relever ! Les éléments de la problématique posée par Montebourg sont pertinents, avec la question de l’immigration toutefois escamotée, mais pour agir efficacement, il ne faut jamais oublier la distinction que proposait Epictète :

« Parmi les choses, les unes dépendent de nous, les autres n’en dépendent pas. »

C’est donc là que la difficulté commence, car il n’est plus beaucoup d’affaire nationale qui ne dépende que de nous.

Et pour finir, deux notes plus optimistes :

Une proposition : réunir dans toute la France, des Etats Généraux des Terroirs et des Savoirs, en partant de la base, c’est-à-dire, nos communes.

On peut sûrement faire beaucoup mieux pour valoriser le potentiel et les atouts de la France au niveau local, national et international !

Et une note de satisfaction, un triple AAA : l’Assemblée Nationale aurait voté une proposition de loi tendant à obliger les restaurants français à afficher la couleur de leur cuisine, du Brake ou du « cuisiné maison ».

Sans doute la piste à suivre pour réveiller le bon sens et la créativité des Français !

Jean Pierre Renaud

Election présidentielle 2012: une chance pour le centre grâce à la congruence

L’élection présidentielle 2012

Une chance historique pour le Centre !

A situation politique de congruence, des solutions politiques congruentes !

Expliquons-nous, car le concept de congruence n’est pas le monopole des mathématiciens !

            Le concept de congruence peut être défini de façon simple, à savoir une solution qui convient exactement à une situation donnée.

            Le philosophe sinologue Julien a longuement commenté ce concept dans la philosophie chinoise, notamment dans le livre « Un sage est sans idées ».

            Je cite :

« Non pas un milieu qui serait à équidistance des opposés, car ce serait encore une position particulière, et comme telle aussi limitée que les autres, mais comme on l‘a vu, un milieu qui permette de correspondre également à l’un ou l’autre de ces opposés (et c’est dans cette égale possibilité qu’est le juste milieu). »…

« Le milieu véritable, celui de la sagesse, est le milieu variable qui, en pouvant osciller de l’un à l’autre opposé, ne cesse de coïncider avec le cas rencontré (selon que la « balance » penche de l’un ou l’autre côté) : juste milieu de la congruence qui, comme tel, n’est jamais arrêté, stabilisé, défini (pas plus que le réel n’est arrêté), et qui, d’une certaine façon, est toujours inédit : il ne peut être la vérité. »… (p112,113)

«Ce qui fait la « voie », aux yeux de la sagesse, est son caractère viable ; »  …(p,115)

Elle est la voie par où « ça va », par où c’est « possible » – par où c’est viable. »…(p,119)

Le centrisme est congruence :

Il est évident que beaucoup de centristes militants sont en congruence avec une telle analyse conceptuelle et stratégique, mais le plus souvent, sans le savoir.

Toute la difficulté d’un mouvement centriste consiste à convaincre les électeurs, plus familiers des discours tranchés de gauche ou de droite, et souvent en quête de bons affrontements, que leur combat est celui de la voie de la sagesse par où c’est possible.

D’où les qualificatifs fréquents de « marais », de « ni-ni », de « girouettes » dont on affuble fréquemment un mouvement centriste, très souvent du reste, et à juste titre, car nombreux sont les hommes ou les femmes politiques  qui n’ont épousé que l’étiquette du centrisme.

C’est l’une des conséquences du processus simplificateur de l’élection présidentielle instituée par la Cinquième République, un centrisme plastron d’un autre grand parti politique.

Comment en effet mobiliser un électeur sur la durée, en lui expliquant qu’en fonction de telle ou telle situation de la France, il convient d’apporter telle ou telle solution, qui peut être de gauche ou de droite, c’est selon ?

Une situation politique française de congruence :

La mondialisation et l’élargissement trop rapide de l’Europe bousculent les frontières idéologiques, économiques et culturelles. La tout puissance des médias et la mondialisation de l’information et de la culture font que les opinions publiques perdent leurs repères traditionnels et provoquent des réactions d’incompréhension et de peur.

La France est une sorte de bateau qui affronte la haute mer, alors qu’elle ne s’est pas dotée des outils et de la méthode nécessaires pour le faire dans de bonnes conditions.

La France est un pays flottant, dans une Europe flottante et dans un monde flottant, mais cela n’a rien à voir avec la tradition japonaise du monde flottant.

Gauche, droite, que penser de ce clivage ? Alors qu’on voit bien que leur signification n’a pas le même sens en Europe, et que la crise actuelle impose d’ouvrir des voies nouvelles de consensus, de congruence, pour ne pas dire d’union nationale, sur les grands sujets du moment et de l’avenir.

La France est en crise, et dans la situation actuelle, avec les enjeux et les problèmes liés à la sécurité, aux déficits et à la dette, à la compétitivité de ses forces productives, au retour des quartiers sensibles dans la République, à la refondation des institutions européennes de la zone euro et des 27, à la régulation mondiale, à la poussée démographique des pays du sud… il n’est d’autre solution politique sérieuse que congruente.

Les caractères gras sont de ma responsabilité.

Jean Pierre Renaud

Procès Chirac: le Parquet requiert la relaxe : Pauvre Parquet de Paris, et peut-être pauvre Justice!

            Au titre d’une trop longue fréquentation des institutions parisiennes, notamment pendant la période de la Chiraquie, il n’y a pas lieu d’être véritablement surpris par la position du Parquet de Paris, dont le responsable a été, le plus souvent, et quoiqu’on en dise, aux ordres, soit de la majorité actuelle, soit de l’opposition.

            Ce qui est le plus frappant dans l’évolution de la pratique et le fonctionnement du Parquet de Paris, c’est une sorte de « décalque » d’une autre administration hiérarchiquement très « disciplinée », la Préfectorale.

Mais je serais tenté de dire que, très souvent, un procureur est encore plus discipliné qu’un Préfet : il rend compte à tous les échelons, il écoute, il précède les instructions, et perd assez souvent les finalités de la mission que lui a confiée la République.

Et pour revenir au fond du procès lui-même, il y avait bien un « système » à la mairie de Paris, à l’époque Chirac, et les quelques cas épinglés, une « misère » financière par rapport à l’osmose qui était réalisée entre RPR et Mairie de Paris, auraient quand même mérité de recevoir une meilleure réponse du droit de la part du Parquet de Paris.

En France, et à Paris, d’abord, tout serait donc possible, et sans sanction judiciaire ? Alors, oui, il faut changer le système de la magistrature dite « debout » !

Alors « debout » ou « garde-à-vous » ?

Jean Pierre Renaud

Haro sur le cannabis? Ou vive le cannabis? Information ou désinformation du Monde Magazine du 3 septembre 2011?

     Le Monde Magazine du 3 septembre 2011 a ouvert un dossier sur la légalisation ou non du cannabis, en sept pages.

Je ne suis pas sûr que ce dossier, tel qu’il est présenté, permette à un citoyen de se faire une opinion sur la question de savoir s’il convient ou non de dépénaliser le cannabis, car, incontestablement, le dossier est construit comme un argumentaire en faveur de la dépénalisation.

Après avoir lu ce dossier, j’ai adressé au site de la rédaction du magazine, le 7 septembre, le message suivant :

« Bonjour, intéressant, votre dossier cannabis, mais est-il véritablement objectif, en dépit des multiples références de rapports ou autres que vous citez ?

Les auteurs de ce texte sont incontestablement favorables à la légalisation, et c’est leur droit, mais le pour et le contre sont-ils bien dans le champ d’une information objective des citoyens ?

Dans le Figaro du 5 septembre, le professeur Costentin écrit : « Aligner la législation du cannabis sur celle du tabac multiplierait par dix le nombre d’usagers » : le professeur en question dit-il donc des bêtises ?

Par ailleurs, ne conviendrait-il pas d’interpréter le phénomène à la lumière d’une certaine influence, pour ne pas utiliser un mot plus fort, des moeurs et traditions du Maghreb, et du Maroc en particulier ?

Quant à la formulation de la page : « Qui osera affronter l’alliance objective des dealers et des agents des stups, victimes désignées d’une réforme qui les privera de leur job et statut ? »

C’est vrai des dealers, mais pas des stups, car il y a bien longtemps que les stups, et la justice, derrière, ne courent plus après la fumette.

Enfin, pourquoi dans votre magazine, ne pas ouvrir un dossier sur les quartiers sensibles en interrogeant les « éléphants » de gauche et de droite qui ont exercé des responsabilités importantes dans les départements et circonscriptions à quartiers sensibles et leur poser la question simple ?

Qu’avez-vous fait pour faire rentrer vos quartiers sensibles dans la République ? Entre autres, pour Vaillant.

Leur réponse éclairerait sans doute les données de l’économie parallèle du cannabis dans ces quartiers, et précisément, avant le rendez-vous de 2012, avec ma considération distinguée,  »

JPRenaud

Le Monde Magazine du 17 septembre a publié mon texte en le modifiant sans mon accord : pas de points de suspension en cas de suppression ou de modification, et suppression pure et simple des lignes de la fin du texte, à partir de « en interrogeant…) 

Procès Chirac: Inhibitions, Désinhibitions, et Pulsions de la langue française?

    Un député, membre éminent de la chiraquie, et aussi médecin, vient de déclarer que l’ancien président était « désinhibé », raison pour laquelle il était probable qu’il ne puisse assister à son procès !

          Le même s’était manifesté verbalement au sujet de DSK, avec la même ingénuité.

            Comme si les gogos ont pu croire qu’il y assisterait !

            Pourquoi ne pas inviter tous les amateurs de notre belle langue française à visiter tous les sens des mots « inhibé » et « désinhibé » pour comprendre toutes les subtilités de ce mot appliqué au procès en cause ?

Dans  le premier sens du terme, et dans le sens le plus fort : blocage, paralysie,  empêchement de tout procès … de la part  d’un grand homme politique qui n’a jamais eu peur de lever toutes ses inhibitions, entre autres, dans le « système » mis en place entre  RPR et Mairie de Paris, et qui, aujourd’hui, trouve un médecin compatissant  pour plaider un état de « désinhibé » !

Alors qu’enfin, on aurait pu connaître sa « pulsion » irrépressible de  vérité ?

JPR

Note de la rédaction : questionner le médecin sur la nature de ces pulsions.