« Cryptos : après l’euphorie, le désenchantement »

Le Figaro économie  du 3 novembre 2023

Première Page et Pages 22 et 23

« Un an après l’effondrement de la plateforme FTX, le secteur peine à se relever »

Page 23 « Malgré le rebond, des épargnants toujours frileux »

Le jour suivant, toujours en première page du même journal, en encadré en haut de page :

« Procès FTX Sam Bankman-Fried le Bernard Madoff des cryptos »

En 2012 (15/O9/12), j’avais appelé l’attention des lecteurs sur le danger des cryptos monnaies.

Tout au long des années 2021, 2022, j’ai continué à appeler l’attention des lecteurs sur le même danger, et mis en cause  la passivité des banques centrales, y compris de la Banque de France.

Son Gouverneur ne s’était-il pas contenté de déclarer « les arbres ne montent pas jusqu’au ciel »

J’ai cité le titre de la chronique de la page 23 :

Est-il possible d’écrire « des épargnants », alors qu’il s’agit tout  simplement de spéculateurs ?

 Le 15 novembre 2022, j’écrivais «  Les crypto monnaies s’écroulent… Comme prévu ! »

C’est à se demander si nos gouvernants ont un brin de culture économique et financière historique !

Ont-ils jamais entendu parler de la loi de Gresham (1519-1579)  :

« Lorsque deux monnaies sont en circulation, l’une considérée comme bonne, l’autre considérée comme mauvaise, la mauvaise monnaie chasse la bonne. »

L’économie mondiale, à l’image de la planète, est en plein désordre, et n’a décidément pas besoin de voir les autorités politiques et monétaires ajouter à la grave crise de confiance qui les agite !

Jean Pierre Renaud

 2 Pièces jointes déjà publiées

1 – Le Bitcoin, la monnaie de toutes les spéculations et de toutes les malversations !

Attention à notre confiance dans nos monnaies !

            Depuis l’éclosion de cette fausse monnaie, la passivité des banques centrales du monde est pour le moins surprenante, et pour tout dire irresponsable.

            Cherchent-elles à nourrir toutes les spéculations malhonnêtes, à prêter la main aux transferts d’argent sale, ou pire encore à arrondir leur tiroir-caisse ? Qui sait ?

            On nous apprenait lors de nos études économiques et financières de licence et de doctorat à tirer les leçons de la loi de Gresham, cette loi  du 16ème siècle, dont la devise était « La mauvaise monnaie chasse la bonne ».

            Cette loi aurait-elle été jetée aux orties ?

            Le 9 mars 2021, Le Figaro Economie a publié une série de chroniques sur le sujet, sous les titres «  Le bitcoin menace-t-il la stabilité financière ? » en première page, et en pages 2 et 3 « La vogue du bitcoin met les autorités financières sur le qui-vive ».

            Le jugement du Gouverneur de la Banque de France – mais à quoi sert-elle avec l’euro ? – est consternant «  Un enseignement de l’histoire des placements depuis des siècles : les arbres ne montent pas jusqu’au ciel ».

La Banque de France est elle-même passée au « Vert » ?

            Qu’attend la Banque Centrale Européenne pour interdire cette fausse monnaie ?

            Jean Pierre Renaud

2 – L’Economie Française en pleine dérive démagogique !

  1. Peut-on faire crédit à la Banque de France et à la BCE ?  Avec un bitcoin en déroute ?

A quoi sert-elle ?

Dans le Figaro Economie du 23 juin 2022, pages 22 et 23 :

« Dette : l’avertissement  de la Banque de France » (page 22)

« Il serait illusoire de penser que notre dette est encore sans coût et sans limites » (page 23)

  1. Est-il possible de rappeler que l’institution, pour ne pas dire, le Gouverneur, fut moins regardante avec les chèques du président ?
  2. Autre question non évoquée, le krach du bitcoin pour lequel le Gouverneur a fait preuve d’une mansuétude toute évangélique…

Autre signal !

4 – « La dette s’envole et approche les 3 000 milliards »

« Au premier trimestre, elle  a progressé de 90 milliards et représente 114,5% du PIB »

Le Figaro Economie des 25 et 26 juin 2022

Jean Pierre Renaud

« Le PIEGE AFRICAIN DE MACRON »

Antoine Glaser Pascal Airault

2021

Quelques notes de lecture avant la fin

Il y bien longtemps que j’ai quitté les rivages de l’Afrique, alors que la politique française africaine me paraissait de plus en plus incompréhensible.

La lecture de ce livre très bien documenté explique de façon très détaillée la « machinerie » africaine de Macron, une tentative de mettre en place une « business Africa France ».

Les initiatives de ce Président enlèvent tout crédit à notre Ministère des Affaires  Etrangères en le doublant par une agence publique, l’AFD dirigée par un homme choisi par Macron disposant d’un joli budget en milliards.

Out le Quai d’Orsay !

Pour recourir à la langue anglaise des business men et women !

Macron tente de rééditer ce qui a fait, il y a longtemps, la réussite de l’impérialisme britannique : ce n’est sans doute pas le fait du hasard s’il a effectué son  stage de l’ENA à Lagos, en Nigéria, qui fut un des terrains de jeu  de l’impérialisme anglais, lequel veillait à faire avant toute chose, de la « Money ».

Le livre montre bien les réalités du monde africain du jour, à la fois une dynamique démographique extraordinaire et le rôle des nouveaux propagandistes antifrançais, celui des « rappeurs », descendants des légendaires « griots » de l’ancienne Afrique, alors que l’immense majorité de la population ne connaissait pas l’écriture.

Une des raisons de nos échecs dans cette Afrique nouvelle  est notre incapacité à développer une contre-propagande française adaptée, du fait notamment de la puissance de groupes de pression qui développent chez nous une histoire « repentante » et bien sûr « coupable ».

Débarquant en Afrique noire dans les années 1960-1970, un jeune Français découvrait le rôle de la parole, du verbe africain « à nul autre pareil ».

A la Maison de la France d’Outre-Mer, les étudiants africains aimaient discourir pendant des heures et des heures en développant une argumentation très largement imprégnée de marxisme.

Un des problèmes de Macron, c’est qu’il se prend  pour un grand Manitou Dakota ou Sioux !

                      Jean Pierre Renaud

La Cinquième République de Macron !

On parle, on parle, on fait  du cinéma, mais on ne prend pas de décisions !

A la mi-journée, on voyait Darmanin sur les écrans « jouer » une conférence de presse sur le l’assassinat d’Arras : question ?

Un ministre de l’Intérieur doit-il occuper chaque jour les écrans au lieu de prendre toutes les décisions de sécurité qu’attendent les Français, le maintien de l’ordre de la République ?

Et de s’assurer que les forces de l’ordre sont en bonne santé !

Les Français qui connaissent  encore notre histoire savent que la République est en danger, ça n’est pas la maison qui flambe (Chirac en 2002), mais la France qui flambe.

Année après année, pour  toutes sortes de raisons, bonnes ou mauvaises, les flux d’immigration continuent et même augmentent : 500 000 à 1.000. 000 de personnes avec les autorisés et les centaines de milliers de clandestins « appâtés » par ce pays des droits de l’homme et du business caritatif animé par les organisations humanitaires et le lobby des avocats. On en a besoin partout pour toutes les procédures qui  protègent les étrangers et non les Français : le scandale des droits d’asile, des mineurs étrangers que l’Afrique, prodigue en enfants, nous envoie gentiment.

Et les gangs de passeurs !

Au cours de mes études, la Suède avait bonne réputation de mère protectrice des étrangers.

La Suède a bien changé et lutte aujourd’hui contre des gangs de jeunes issus de l’immigration.

Parmi les nombreuses maladies qui affectent la santé de notre pays, la France, trois au moins, vont tuer la République Française, l’humanitarisme, le juridisme, l’inversion de  notre état de droit au profit des criminels et des salauds !

Jean Pierre et Marie Christine Renaud

Alain Juppé  ou les confessions d’un enfant du (XXème) siècle

Le Figaro des  23 et 24 septembre- Anne Fulda

« A 78 ans, et après quelque cinquante ans de vie politique, l’ancien premier ministre, aujourd’hui membre du Conseil Constitutionnel, publie ses Mémoires. Il revient sur ses joies et ses peines, la droite, Dieu, Péguy et Chirac. Et désormais libre, il prône plus que jamais les vertus de l’espérance. Et de la modération »

Un portrait tout à fait intéressant, qui suscite toutefois quelques réflexions

            Le titre accrocheur, fait référence à Alfred de Musset et à ses confessions romantiques et libertines, mais les annonces faites dans ce portrait sont évidemment et heureusement loin des amours entre Georges Sand et Alfred de Musset.

            A la Mairie de Paris et au RPR de l’époque Juppé, la corruption foisonnante de la Chiraquie sous le contrôle du « Meilleur d’Entre Nous » a fait l’objet de multiples confessions, ou de procès qui l’on conduit à son exil au Canada, très différent de celui de Victor Hugo à Jersey. (1)

            Comment ne pas continuer à s’interroger sur le type de poison de la vie publique que la période en question a introduit dans notre vie politique ?

            Dernière réflexion relative à l’ambition :

            « Lorsqu’on a de l’ambition, quand on est enfant de chœur, on veut être pape ; et quand on est député, on veut être président de la République ! J’ai essayé de l’être, je n’ai pas réussi. Je m’en suis remis. Je ne cultive pas l’amertume ni la nostalgie »

            J’ai également été un enfant de chœur, mais à la différence de l’auteur, et comme  l’immense majorité de mes camarades, mon ambition était celle de servir l’Eglise et la France.

            Les énarques étaient nombreux au ministère de l’Intérieur, les uns issus du concoure interne, les autres du concours externe. Une partie d’entre eux, était animée par une ambition féroce pour le pouvoir et l’argent, ce qui n’était pas le cas de la majorité des autres dont la vocation était celle du service public.

  1. La Méthode Chirac (1997)

            Jean Pierre Renaud              Tous droits réservés

« L’inflation met en péril les associations »

La flambée des coûts remet en cause le fonctionnement  et la pérennité des associations caritatives, qui voient le nombre de leurs bénéficiaires exploser et la générosité s’éroder »

En première page

Le Figaro, pages 10 et 11 des 9 et 10 septembre 2023

« Collectes alimentaires : l’élan du cœur demeure mais les donateurs regardent de près à la dépense »

Patrice Douret président des Restos du cœur « Il faut ouvrir très vite un débat  national et lancer  un plan d’urgence »

Le Figaro, pages 10 et 11 

&

Vaste sujet, et très sensible sujet pour qui a connu ou connait encore le monde des associations au carrefour de  très nombreuses questions caritatives, administratives, sociales, politiques, ou tout simplement du fonctionnement des associations et de leur contrôle sous l’angle de l’intérêt général.

          Le Président des Restos du cœur veut un « débat national » et un « plan d’urgence », une initiative intéressante et utile compte tenu des enjeux caritatifs et politiques, mais sans tabous, et dieu sait s’il y en a.

            Rappelons tout d’abord que l’enjeu financier du problème portait en 2021 sur 2, 84 milliards d’euros (rapport Sénat), ce qui n’est pas négligeable.

Première question, le régime juridique des associations fixé par une loi libérale de 1901, dans une France très différente de la nôtre, est-il adapté à la société d’aujourd’hui ?

Rien de plus facile que de créer une association, de la déclarer en Préfecture et de faire à peu près n’importe quoi, sauf dénonciation un jour d’activités suspectes. Les Préfectures n’exercent quasiment aucun contrôle.

Aux yeux d’un connaisseur de ce milieu, la forme juridique en question couvre toutes sortes de « marchandises », et dans le cas considéré, favorise les dérives mercantiles du système caritatif, faute de contrôle suffisant.

Au-delà d’un seuil de perception de dons de 153 000 euros,  les associations peuvent faire l’objet d’un contrôle de la Cour des Comptes, mais ce type de contrôle, sauf erreur, ne fait pas l’objet de rapports annuels, de statistiques, d’avis sur un sujet aussi sensible.

Existe-t-il vraiment ?

De son côté, le Parlement semble étrangement absent d’un domaine public où prospère un business caritatif qui alimente les flux d’immigration  illégale, tout autant que le détournement des aides au profit de publics qui ne devraient pas y avoir droit.

Je pense qu’il existe toujours telle ou telle société qui vendait ses services à des milliers d’associations, avec impression de prospectus et marketing.

Dans la situation actuelle de la France et de l’inflation, le moment ne serait-il pas venu de procéder à un audit généralisé de notre système de dons défiscalisés, et d’avoir le courage civique d’exercer un véritable contrôle des bénéficiaires du système.

Nous recevons des appels aux dons qui défient à la fois le bon sens, et notre conception du bon usage de l’argent public : je serais tenté de dire quel gaspillage ! Quand il ne s’agit pas d’actions humanitaires qui défient l’entendement et la bonne santé de notre pays.

Jean Pierre Renaud                    Tous   droits  réservés

Humeur Tique en « Live »  sur France 2 ou

«  Story », « Décryptage », « Evénement » …selon les modes de la Com du jour…

La chaine publique France 2 annonce une nouvelle émission politique :

Avec Le Maire, le Ministre de la Dépense et de la Dette Publique de la France.

« 28/9/2023 Après le journal de 20 heures, Bruno Le Maire sera le premier invité de

« L’événement, l’entretien »

Presque chaque jour, les téléspectateurs avaient la chance de voir la binette de ce ministre et de l’entendre raconter que tout allait bien ou presque, avec un gouvernement aux commandes…

Seul problème et de taille, depuis l’élection de Macron en 2017, la dette publique est passée de 2 005,5 milliards d’euros à plus de

 3 000 milliards d’euros, le 19 juillet 2023…

« … Merci patron, merci patron

Quel plaisir de travailler pour vous

On est heureux comme des fous

Merci patron merci patron

Ce que vous faites ici bas

Un jour Dieu vous le rendra … »

Ou Macron ?

France 2 a très bien choisi le thème de sa première émission, bravo ! Merci patron pour la France !

Jean Pierre Renaud

Le Pape François à Marseille le 23 septembre 2023

Réflexions d’un citoyen français, républicain et chrétien

A l’occasion de la session conclusive des Rencontres méditerranéennes

Trop, c’est trop ! Macron en « capture d’image » du pape et de la chrétienté !

A quatre reprises !

Le Président actuel va rencontrer le pape François à quatre reprises : accueil et présence à la session conclusive, entretien en tête à tête en mi-journée, assistance à la messe dans l’après-midi, enfin rencontre à l’aéroport au départ du pape François, second échange programmé…

Il est vrai que le Président actuel a besoin d’un vrai renfort de « l’esprit saint » !

Jean Pierre Renaud

Les ventes à perte des carburants, une foutaise budgétaire de plus de l’équipe Macron !

Pour qui a pratiqué les règles de la comptabilité publique, et les avoir même fait appliquer, le projet de vente à perte des carburants s’inscrit dans cette folie politique actuelle qui, presque chaque jour, sort une surprise budgétaire de son chapeau.

            Folie ou foutaise au choix, scandale politique tout autant, car l’Etat prélève plus de 50% de taxes sur les carburants et est en train de monter une nouvelle usine à gaz bureaucratique, pour laisser croire qu’il est à l’écoute des électeurs…

Afin d’éviter de toucher à des recettes qui lui tombent du « ciel inflation », des recettes dont personne ne parle, alors que la TVA à 20% donne le moyen à l’Etat d’amortir le choc : n’aurait-il pas été plus simple et moins coûteux d’alléger ces taxes pendant les 6 mois prévus, jusqu’aux Jeux Olympiques, comme par hasard…

Macron continue à amuser la galerie avec toute son équipe !

Un exemple de plus de cette démagogie politique qui met en péril les 5 à 6 000 petits distributeurs indépendants de notre pays !

Jean Pierre Renaud

Les Tours de Passe-Passe d’un Président

            Dans une de ses nombreuses apparitions médiatiques, Macron avait annoncé une grande initiative politique pour la rentrée de septembre 2023 .

            Fidèle à lui-même, à son talent  de grand prestidigitateur politique, Macron a sorti  de sa pochette surprise cette rencontre politique de Seine Saint Denis avec les chefs des partis siégeant au Parlement, y compris le Rassemblement National et la Nupes, alors qu’il les avait  fait annoncer, à gros sons de trompes, comme des adversaires non fréquentables…

            Qu’a-t-on vu ou plutôt entendu après cette longue réunion ?

 Ses participants se sont naturellement livrés à de multiples confidences, avec l’aide des communicants professionnels de l’Elysée et de ses soutiens politiques…les « histoires secrètes » de la télévision ou de certains salons parisiens…

            Il est possible de raconter  politiquement n’importe quoi, comme dans les « réseaux sociaux » …

            Le Tour était une fois de plus joué … Macron avait rejoué un one man show politique qui lui réussit bien et lui avait permis de clore les grands débats politiques antérieurs ouverts aux médias.

            Une fois de plus, Macron aura-t-il fait gagner à la France quelques mois de tranquillité sociale et politique, apparente,  en restant maître du jeu de la parole, rien n’est moins sûr !

            Jean Pierre Renaud

Une bi-nationalité comme les autres ?

La bi-nationalité franco-malgache du Président ?

            Ces derniers mois, la bi-nationalité du Président actuel de la République Malgache a fait débat dans la Grande Ile, et mis  en cause l’indépendance de cette ancienne colonie française.

             Si mes souvenirs sont bons, l’Algérie interdit la bi-nationalité franco-algérienne pour des ressortissants susceptibles d’occuper  certaines fonctions régaliennes.

            En France et à l’occasion des dernières élections présidentielles, la bi-nationalité franco-espagnole de  Madame Hidalgo n’a, à notre connaissance pas fait débat, alors que naturalisée française dans son enfance, elle a cru bon politiquement de se faire  reconnaître une deuxième nationalité, celle de sa naissance.

La France a oublié un des  grands constats de Pascal, celui  de la relativité des vérités, avec l’exemple d’une vérité différente en deçà ou au-delà des Pyrénées.

Elle s’accommode de nombreuses doubles nationalités, au péril de sa souveraineté et  même de son existence nationale.

La bi-nationalité franco-algérienne  a été accordée à guichets ouverts, sans que l’on sache quel est le poids démographique et politique de cette catégorie de population qui dispose d’un réel pouvoir politique dans notre pays, alors que l’Etat FLN entretient avec nous des relations d’ennemi héréditaire.

A quand la crise ? Alors que depuis des dizaines d’années gauche et droite ferment les yeux sur une situation nationale potentiellement  explosive : lors des émeutes de juillet 2023, des jeunes ont brandi ce drapeau, encouragés d’ailleurs par  le gouvernement FLN, j’ai envie de dire « leur » gouvernement FLN.

En 2027, la « funeste connerie » de l’interdiction d’un troisième mandat  peut, grâce au mystère des algorithmes,  donner l’occasion à un membre de la famille FLN au pouvoir, d’être candidat aux présidentielles …

On ne sait jamais ! A voir l’aveuglement de mon pays depuis 1962 et 1968 ! 

       Jean Pierre et Marie Christine Renaud