« L’Hyperactivité » des Marcheurs

            Pour qui suit l’actualité politique de la France, la question se pose de savoir si les Marcheurs de Macron ne souffrent pas d’une forme de maladie nerveuse que les chercheurs ont analysée chez les adolescents, « l’hyperactivité » ?

            Illusion des sens explicable par le nombre des éminences ministérielles, 41, qui pour la plupart s’agitent, cherchent à faire un coup auprès des médias, épater la galerie, montrer leur binette, le tournis des ambitions et des images…

            Le gouvernement Borne compte au moins un ministre qui bat tous les records de gesticulation médiatique, un ministre qui porte bien son titre, Beaune, le ministre des « Transports ».

            Pour leur défense, reconnaissons que Macron leur a donné un exemple vibrionnant au fur et à mesure de ses deux mandats.

            Je me demande si nos ministres et  leur entourage politique ou médiatique vivent dans le même monde que les Français.

             Le pays a viré à droite toute et attend que la droite incarne et mette en œuvre tout simplement un programme concret de rétablissement de l’ordre public et de l’autorité tous azimuts.

                     Jean Pierre Renaud

« AVENT » 2023

LA BONNE NOUVELLE !

AVANT NOËL !

Dans le chahut des mouvements écolos-bricolos- casseurs, retournons en enfance !

Avec l’initiative de grands chercheurs et leur projet Manhattan !

Il ne  s’agit plus d’énergie  ou de bombe atomique mais de réchauffement climatique !

Le Figaro économie des 25 et 26 novembre 2023, page 28

 LE GRAND TÉMOIN Yves Laszlo Mathématicien à l’Université Paris-Saclay

« Climat : « La menace justifie une économie de guerre »

Propos recueillis par Bertille Bayart

« Ce sont des scientifiques de renom et d’horizons divers qui lancent un appel aux pouvoirs publics et au secteur privé pour un « projet Manhattan » de la Transition écologique. Ce qu’une mobilisation dédiée avait fait pour créer la bombe atomique pendant la Seconde Guerre Mondiale, ils veulent le reproduire pour trouver  des solutions au défi climatique, dans le délai contraint décrit par le GIEC. A l’Assemblée, Philippe Juvin et quatorze députés LR viennent de déposer une résolution en ce sens. Le projet originel est notamment porté par Yves Laszlo, mathématicien à l’Université Paris-Saclay.

Le Figaro – Pourquoi faut-il une mobilisation scientifique particulière pour la transition écologique ?

Yves Laszlo – Au rythme où les choses avancent, nous ne sommes pas du tout sur la bonne trajectoire pour atteindre la neutralité carbone en 2050 et  donc pour contenir le réchauffement climatique. Nous sommes plutôt sur une trajectoire de réchauffement de 2° C à 4°C. Ce qui se traduira par des millions de morts, des centaines de millions de déplacés. Or, que faut-il faire pour atteindre l’objectif ? Eliminer  60 milliards de tonnes d’émissions en équivalent CO2 au niveau mondial… »

            Nous appelons les grandes fortunes de notre pays et les fondations d’entreprises à se mobiliser sur ce projet »

            Yves Laszlo »

&

Comparées à une telle initiative les agitations violentes des écolos et tout autant celles, anodines, pour ne pas dire démagogiques des ministres de la Transition Ecologique s’inscrivent dans un monde irréel !

Jean Pierre et Marie Christine Renaud

JO 2024

Ouverture sur la Seine

Une Folie de plus !

Une audition publique des responsables publics et  privés : ont-ils confiance ?

Le déplacement des bouquinistes sonne, comme un symbole, le tocsin des événements  susceptibles de se produire sur la Seine en juillet 2024 !

Leur déplacement soi-disant provisoire serait nécessaire pour assurer la sécurité, quelques heures durant, de la Grande Fiesta fluviale que ses organisateurs promettent d’offrir aux spectateurs.

Est-ce que ces gens-là connaissent les innombrables risques d’attentat qu’offrent les rives de la Seine ?

Un fleuve jalonné par des lieux de pouvoir ?

Le cas des bouquinistes parait à cet égard anodin.

De nombreuses voix, autorisées, se sont déjà élevées contre cette folie dont la sécurité ne peut être assurée.

Que le Comité d’organisation soumette ce projet aux compagnies d’assurance compétentes, et qu’elles assument le risque !

Que les responsables publics- le ou les ministres, le Général commandant la Zone de Défense, les Préfets (Région, Police, Paris) et les élus concernés affirment leur confiance à l’occasion d’une audition publique !

Que le même projet fasse l’objet d’une délibération du Conseil de Paris, la Ville étant  son propre assureur, prenant en charge tous les dommages qui pourraient résulter de cette grande manifestation publique fluviale.

Jean Pierre et Marie Christine Renaud

Paris, la Pieuvre…

« Municipales : à Paris, Lyon et Marseille, le changement des règles du jeu fait débat »

« Loris Boichot »

Le Figaro du 14 novembre 2023, page 5

(J’ai souligné quelques mots clés)

Paris, Lyon, Marseille : un problème sans solution est un problème mal posé 

            Aux yeux d’un assez bon connaisseur du dossier des institutions parisiennes, la lecture de cette chronique soulève une série de questions.

            Avant toute chose, et  dans le contexte actuel, il ne faut jamais oublier le contexte historique de la Ville de Paris, pas moins que celui d’aujourd’hui avec la puissance du « système parisien » : un conglomérat d’intérêts de toute nature bénéficiant d’une position stratégique inégalable, c’est dire la grande difficulté qu’il y a à manier le concept du « droit commun ».

Ne serait-ce que parce que Paris est resté le siège des institutions nationales, assemblées, gouvernement, représentations diplomatiques, un facteur qui est trop souvent oublié !

L’une des solutions d’un cadrage institutionnel efficace  de la Ville de Paris consiste à faire jouer pleinement le jeu des contrepoids institutionnels qui existent (Etat, Région, départements, communes limitrophes…), mais dont la compétence est détournée pour toutes sortes de raisons, sans oublier le rôle et la responsabilité d’un Etat défaillant.

La question clé ! Le Conseil de Paris et la Maire actuelle ne se trouvent-ils pas dans des situations d’excès de pouvoir, ne serait-ce que sur le plan d’une communication politique qui s’est  développée de façon exponentielle ?

Revenons au texte du Figaro !

            « Pour la première fois depuis la polémique sur sa visite à Nouméa et à Papeete, Anne Hidalgo retrouve ce mardi les élus de son Conseil de Paris. Mais si elle décide de briguer sa succession, elle devra peut-être se soumettre à de nouvelles règles du jeu, tout comme les candidats de Marseille et de Lyon. »

Première observation « capitale » avec un qualificatif tout à fait approprié, il est exclu de mettre sur le même plan Paris, capitale de la France et les deux autres villes de Lyon et Marseille.

Les institutions parisiennes sont  le fruit d’une très longue histoire qui n’a pas toujours été celle d’un long fleuve tranquille, avec des crises de pouvoir entre le local et le national, le pouvoir local s’érigeant en contre-pouvoir national. 

Avant les réformes institutionnelles des années 1970-1981, la Ville de Paris constituait un Etat dans l’Etat, administrée par des Préfets, souvent tentés par des excès de pouvoir d’Etat. (1)

« Plus de quarante années après la loi  Paris-Lyon-Marseille (PLM), les députés macronistes veulent revenir dès l’année prochaine sur l’«anomalie du mode de scrutin dans ces trois villes… première conséquence jugée illisible : les personnalités élues à la tête des mairies « centrales »… ne sont formellement candidates que dans une petite partie de leur ville…

Deuxième effet potentiel, considéré comme antidémocratique : puisque la priorité est de conquérir des secteurs, il est possible de conquérir la mairie…

« Il faut régler ce déficit démocratique pour redonner aux électeurs l’intérêt d’aller voter » estime le chef de file des Députés Renaissance Sylvain Maillard… »

Benoit Payan, le maire de Marseille « Cela ne devrait même pas faire débat… Il est tout à fait légitime que les trois plus grandes villes de France entrent dans le droit commun »

Rachida Dati évoque un « enjeu démocratique ».

Mais ce projet est contesté par sa rivale Anne Hidalgo. « Ce n’est pas un problème démocratique, avance l’entourage de la socialiste. Chaque Parisien qui vote sait parfaitement pour quel maire il met son bulletin dans l’urne….

Derrière la bataille des nouvelles règles du jeu, la campagne a déjà commencé. »

 Le Faux Débat engagé : deuxième observation sur ce débat qui à mes yeux est un faux débat en ce qui concerne les institutions parisiennes, comme je l’ai déjà expliqué à plusieurs reprises sur ce blog.

Depuis les années 1980, le contexte institutionnel a beaucoup changé, avec une disparition quasi complète de l’Etat dans notre capitale.

Ministres et préfets laissent la bride sur le cou à la Maire de Paris, de peur de se voir accusés de violation des libertés communales.

Au printemps 2023 et à l’occasion de la grève relative à la loi concernant les retraites, la Maire de Paris n’a pas respecté ses obligations de Maire représentant de l’Etat, sans que le Préfet de Paris ou le Ministre de l’Intérieur n’interviennent.

Le voyage récent de la Maire dans les îles du Pacifique soulève le même type de problème, alors que l’attaque du Hamas en Israël, le 7 octobre 2023,  avait évidemment une incidence sur l’état  de la sécurité parisienne, donc sur les responsabilités de la Maire  dans sa qualité de représentant de l’Etat.

Il serait sans doute démocratiquement intéressant d’avoir la liste des actes de contrôle de légalité exercés par les Préfets de Paris au cours des mandatures Hidalgo, notamment en matière de personnels communaux.

Pourquoi ce Faux Débat démocratique dans le cas de Paris ?

Paris, la Pieuvre !

L’Etat a disparu et laissé l’Exécutif parisien à la manœuvre « tentaculaire » dans le millefeuille administratif régional des collectivités géographiquement voisines : ces dernières sont prises dans un maillage de pouvoir concurrent de celui de la Métropole du Grand Paris, comme à certains égards de la Région d’Ile de France.

Un rapport récent de la Chambre Régionale des Comptes en a analysé  toutes les facettes.

Le problème de la démocratie locale dans la capitale est avant tout celui d’une réforme complète des compétences entre la Région Ile de France, la Métropole, les départements, les communes, avec notamment la mise en application de l’égalité communale entre Paris et les communes d’Ile de France : il faut tout changer !

Dans le contexte historique actuel, avec l’explosion de la communication, des réseaux sociaux, l’affaiblissement des partis nationaux, Paris est devenu une plateforme exceptionnelle de pouvoir de communication, sinon de propagande nationale : la fausse réforme démocratique proposée par des élus macronistes ou non ne contribuera donc pas à réveiller la démocratie locale.

Dans ce but, la France devra procéder au transfert des pouvoirs non régaliens aux régions :  la Région d’Ile de France détiendra le pouvoir de répondre aux aspirations démocratiques de ses habitants, la Métropole du Grand Paris  étant représentée par une section du Conseil Régional..

Jean Pierre et Marie Christine Renaud          Tous droits réservés

  1.  Voir le livre « Paris un Etat dans l’Etat »

A Nantes, sur la Nef des Fous ! (1)

Avec la « créativité » des socialistes sociétaux faute de créativité politique !

A lire un article comme celui du Figaro des  samedi 18 et dimanche 19 novembre 2023, je me demande si  notre pays n’a pas confié les rênes de certaines de nos grandes villes à des cinglés, des cinglés qui cassent tout en annonçant vouloir « déconstruire »…

« Nantes et le « multiculturalisme » de Noël »

« Visée par les critiques, la municipalité PS assume « déconstruire » la fête chrétienne pour célébrer la « créativité »

Pourquoi ne pas demander à Mme Johanna Rolland , héritière d’un Premier Ministre socialiste de faire preuve de « créativité » politique en s’attaquant à l’insécurité croissante de sa ville et de sa métropole ?

A redonner du sens au bien commun !

Les responsabilités qu’elle a exercées comme directrice de campagne de la candidate présidentielle Hidalgo, n’ont pas eu un grand succès, avec ses 1,75%, mais il n’empêche que ces gens-là foutent la France en l’air !

Jean Pierre Renaud

  1.  (1) Jérôme Bosch

12 novembre 2023

« Antisémitisme : la France qui dit non »

Le Figaro du 13 novembre 2023

« Une France rassemblée »

Le Président du Sénat Gérard Larcher et la Présidente de l’Assemblée Nationale Yaël Braun-Pivet

Un Grand Absent, Emmanuel Macron, Président de la République Française

Deux questions :    

1  – L’Elysée : « Faire séparatisme » ?

  En « démarque » d’une expression étrange du  Président « Faire Nation » alors qu’il invoque à tout bout de champ notre nation !

2 –  L’illusion d’un homme politique qui se prend pour l’arbitre européen d’une Europe inexistante !

La politique étrangère de Macron en Zigs-Zags » !

Va comprendre !

Il manque à ce nouveau roi un «  Fou du Roi » qui oserait dire : « Emmanuel, Emmanuel, n’oublies pas ce que tu as dit, et réfléchis à ce que tu vas dire !

 Jean Pierre Renaud

Une immigration sans contrôle !

Les verrous à faire sauter en France et en Europe !

Les  « faux droits » des individus mettent en péril la France du « bien commun » !

            Presque chaque jour, en ville et à la campagne, les Français et  les Françaises sont confrontés aux problèmes résultant d’une immigration non contrôlée.

            Le Figaro du 10 novembre 2023 (pages 6 et 7) a décrit les multiples formes de cette faillite de l’ordre public presque continue depuis les années 80-90.

            Le projet de loi actuel de Darmanin ne réglera pas les problèmes, car il faut du courage et de la lucidité pour faire sauter tous les faux verrous qui empêchent d’avancer : les interférences politiques et judiciaires de l’Union Européenne, un aveuglement humanitaire au détriment du bien commun de notre pays et de la sécurité de nos concitoyens, notre goût pour  la bureaucratie, le lobbying des avocats de plus en plus nombreux à intervenir, l’incapacité de notre service public à faire face à la complexité d’une réglementation toujours en mouvement…

            Dans la masse de sujets abordés, nous en avons  retenu deux :

            1 – « Violeurs, escrocs… ces délinquants que la France ne peut pas expulser »… 4 000 délinquants »

            De deux choses l’une, ou bien les pays d’origine reprennent leurs ressortissants délinquants  (Algérie, Chine, Mali ), ou bien la France suspend ses relations diplomatiques avec ces pays.

            Les délinquants en question seront placés dans des enceintes soumises à la discipline militaire.

            2- La bureaucratie préfectorale, une bureaucratie avec laquelle nous avons vécu pendant  des années.

            Comment voulez-vous que les Préfectures soient capables de gérer 187 types de titres de séjour différents, je lis bien, 187, et début 2022, 1,7 million de titres de séjour pour motif familial ? Pour ne pas parler des dizaines de milliers de mineurs étrangers, vrais ou faux que la générosité d’un Sarkozy a incité à venir chez nous sous notre protection et à nos frais, de l’ordre de 15 000 euros par personne !

            Il va falloir embaucher des énarques, ou des polytechniciens, et des avocats, dans nos préfectures pour se dépatouiller dans cette bouillie réglementaire.

            Plutôt que d’avoir un secrétaire d’Etat de plus, ou continuer à donner cette responsabilité à un ministre de l’Intérieur déjà bien encombré, nommer un ministre à temps complet issu de nos forces armées.

Jean Pierre et Marie Christine Renaud

ATOS, LE TROU NOIR de la Stratégie des Start-UP macroniennes ? Pourquoi ?

            ATOS, l’une des perles industrielles du numérique national fait la une de la presse spécialisée : en quelques années, le capital de cette belle société a fondu comme neige au soleil, alors qu’elle semblait avoir  tous les atouts pour prospérer et jouer  un rôle stratégique majeur dans la panoplie de nos entreprises informatiques numériques, celles que chérit précisément Macron.

            Les Start Up chères à Macron !

            Breton, aujourd’hui Commissaire Européen en fut son Président il y a quelques années.

            Grâce à cette société, la France disposait d’un cœur de réacteur numérique à nul autre pareil, sans avoir besoin de dépenser  des milliards pour lancer des start-up nouvelles.

            L’ancien Premier Ministre de Macron Philippe y fit un tour et disparut de la circulation.

            L’attitude des gouvernements Macron, depuis 2017, est sujette à soupçons, alors que les  autorités publiques disposent d’une palette de moyens juridiques ou financiers pour conserver cette société dans le giron de la France, jusqu’à une nationalisation partielle.

            Au fil des années, le capital d’ATOS  a fondu, a nourri la spéculation, sans réaction gouvernementale : une passivité coupable de la Star-Up Macron !

                       Jean Pierre Renaud

2017-2023, deux quinquennats au fil de l’eau présidentielle…

Aujourd’hui l’immigration !

La Gouvernance Macron !

Ou je continue à botter en touche !

Je continue à passer à côté : ma méthode de gouvernement (les Gilets jaunes… le Grand Débat National…les émeutes de juillet 2023…je gagne du temps (ou je le crois…) mais pas la France !

Référendum ou pas ? J’amuse la galerie !

En toile de fond, les One Man Show continus, en français ou en anglais…

Une vocation européenne avec rien de concret : un Président amoureux de l’Etranger, mais en oubliant souvent l’Union Européenne.

Pourquoi n’a-t-il pas lancé le projet d’une nouvelle Union à géométrie variable, en allant successivement  dans tous les Etats défendre ce projet de survie et de puissance Européenne ?

Silence assourdissant de l’Union  dans cette nouvelle guerre d’Israël et de Palestine !

La démocratie tirée au sort, la Française des Jeux macroniens !

Macron rejoue le même jeu avec l’immigration !

Avec Macron, la France continue à être la « maison de passe » de l’étranger.

C’est l’Algérie qui bat tous les records des flux enregistrés ou clandestins… depuis 1968 !

Le Président du Jour prend décidément les Français pour des cons !

Jean Pierre et  Marie Christine Renaud

Macron va au Kazakhstan

Une nouvelle page de sa politique économique

En zappant sur les chaines de télévision, je suis tombé sur CNEWS, sur l’extrait d’un discours que prononçait le Président à l’Université d’Astana.

            J’ai cru rêver, pas tellement parce que Macron évoquait la politique intérieure de notre pays à l’étranger – il en a l’habitude- mais par la comparaison qu’il osait faire avec de Gaulle.

            Comme de Gaulle, Macron prétendait faire un « en même temps » et s’efforçait de dépasser le gauche droite qui paralysait la France.

            Il faut tout de même être culotté pour s’attribuer la méthode de gouvernement  gaulliste, au moins pour deux raisons :

La première étant celle de la puissance d’un officier qui avait fait ses preuves, qui avait relevé la France en sachant où il allait, à la différence d’un Président tourbillonnant, vibrionnant.

La deuxième étant celle d’un contexte historique qui n’a rien à voir avec celui des années 1945 ou 1958, sauf à oublier l’invasion allemande, la Résistance, puis la Guerre Froide, l’instabilité politique de la Quatrième République, et bien sûr la Guerre d’Algérie…

L’impression d’entendre un héritier du Grand Mamamouchi de Molière ? Alors que de Gaulle n’a jamais  concentré autant de pouvoirs que son lointain successeur !

Ou avec le propos de Mitterrand dans « Le Coup d’Etat permanent »

 « en remplaçant la représentation nationale par l’infaillibilité du chef… »

Cela ne vous dit rien ?

Jean Pierre Renaud