ATOS, l’une des perles industrielles du numérique national fait la une de la presse spécialisée : en quelques années, le capital de cette belle société a fondu comme neige au soleil, alors qu’elle semblait avoir tous les atouts pour prospérer et jouer un rôle stratégique majeur dans la panoplie de nos entreprises informatiques numériques, celles que chérit précisément Macron.
Les Start Up chères à Macron !
Breton, aujourd’hui Commissaire Européen en fut son Président il y a quelques années.
Grâce à cette société, la France disposait d’un cœur de réacteur numérique à nul autre pareil, sans avoir besoin de dépenser des milliards pour lancer des start-up nouvelles.
L’ancien Premier Ministre de Macron Philippe y fit un tour et disparut de la circulation.
L’attitude des gouvernements Macron, depuis 2017, est sujette à soupçons, alors que les autorités publiques disposent d’une palette de moyens juridiques ou financiers pour conserver cette société dans le giron de la France, jusqu’à une nationalisation partielle.
Au fil des années, le capital d’ATOS a fondu, a nourri la spéculation, sans réaction gouvernementale : une passivité coupable de la Star-Up Macron !
Jean Pierre Renaud