La France paie le Prix
d’une Histoire Postcoloniale « Pénitente » !
Quand les Présidents, Hollande et Macron, engagent nos troupes au Mali, au Burkina Fasso, ou au Niger, sans veiller à développer une stratégie de guerre informationnelle, de contre-propagande, de « guerre mémorielle » (lire François Heisbourg) adaptée à la psychologie collective africaine…
Quand la France préfère le cocorico, au lieu de mettre en œuvre une stratégie indirecte de soutien à des partenaires de confiance, s’il y en a encore…
Quand, faute d’avoir la chance d’avoir un minimum de connaissances sur les cultures et les religions de l’Afrique de l’Ouest, mais surtout sur l’histoire coloniale de ces régions, on accorde sa confiance aux historiens postcoloniaux « pénitents »…
La France aurait eu « une culture coloniale » dans les années 1871- 1939 ?
C’est faux, sans fondement scientifique, pas plus notre peuple que la plus grande partie de notre élite politique.
Notre peuple laissait faire, comme aujourd’hui.
Aux dires d’un brillant historien de l’Algérie, né dans une famille atteinte du syndrome des « raisins verts », la France devrait emprunter un chemin de réconciliation, non pas avec l’Algérie, mais avec la dictature du FLN qui règne dans ce pays depuis les accords d’Evian de 1962 ?
La France n’a pas besoin d’entrer dans le jeu mortifère des historiens « repentants » !
A lire, à voir, ou à entendre tout ce que l’on raconte sur ces guerres du Sahel, nos adversaires n’ont qu’à piocher dans le magot des historiens « pénitents » pour nourrir leur propagande, ou encore dans certaines déclarations d’un Président candidat, qui, en 2016, débarqua à Alger en déclarant que « la colonisation était un crime contre l’humanité. »
Enfin et pour en consoler quelques-uns, vous avez sans doute remarqué que dans les grands rassemblements manipulés de Niamey, et dans ce Niger musulman, on n’y voyait aucune femme…
Jean Pierre Renaud Tous droits réservés