Bayrou, candidat en 2027 ou Non ? ils ne pensent tous qu’à ça !
On se demande bien pourquoi.
Bayrou, Politicien madré ? Oracle des Pyrénées ?
« On ne sait pas ce qu’il peut se passer » aurait-il dit !
A titre personnel, je pense qu’avec le ras-le bol des Français, la chienlit dans tout le pays, ce gouvernement ne fera pas long feu.
Gare à la dernière goutte de carburant qui risque de faire déborder le vase !
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Macron et Bayrou auraient mangé des palombes à Pau… Qui a mangé l’autre ?
Sous la Quatrième République, et dans un régime parlementaire, le centrisme était à la fête. Les différents courants du centre faisaient et défaisaient les gouvernements à un rythme rapide, moins rapide toutefois que sous la Troisième République.
Le Parti Radical, sous toutes ses « incarnations », y jouait un rôle clé de faiseur de rois.
Avec de Gaulle et l’élection d’un Président de la République au suffrage universel, tout a changé, et les formations centristes n’ont pu mieux faire que de peser à la marge, de servir d’appoint, d’endosser une fonction supplétive des gauches ou droites de gouvernement.
En dépit de ses déclarations, et tout au long de sa longue carrière, Bayrou, n’a joué effectivement qu’un rôle « supplétif ».
Quel est son bilan politique ? Il serait blanc comme neige dans la chienlit du pays ? Agressions, meurtres, coups de couteau, violences, appels au meurtre… dans beaucoup de nos villes et villages : l’insécurité presque partout !
Peut-il être fier de son ralliement de supplétif à Macron en 2017 et en 2022 ? Rien n’est moins sûr !
Avec la Cinquième, le centrisme n’a jamais joué qu’un rôle secondaire.
C’est grâce au Modem que Macron a pu être élu en 2017, grâce à un réseau d’élus locaux utile pour lui donner un crédit démocratique.
Au fur et à mesure des années de mondialisation, et d’immigration non contrôlée, le corps électoral a changé de nature, s’est radicalisé vers la droite, d’autant plus que les relations avec l’Union Européenne sont devenues de plus en plus compliquées, confuses, au point qu’il est quasiment impossible de savoir qui prend une décision.
Cette évolution a entrainé une sorte de vide politique favorable aux courants politiques qui militent pour un retour aux racines.
Dans l’état actuel de nos institutions, c’est un rôle « supplétif » qui est assigné au centrisme.
Jean Pierre Renaud Tous droits réservés