Après le Bataclan, Toulouse, Nice, Marseille, l’assassinat du père Hamel et celui du colonel Beltrame, pourquoi ne pas comprendre que le radicalisme islamiste, la terreur qu’il tente de propager, prospère chez nous grâce à notre sacro-saint état de droit qui protège les terroristes, leur donne une tribune médiatique de propagande, nous coûte cher, et oublie toutes les victimes ?
Il y a le terreau de la subversion postcoloniale qu’il convient de dénoncer, celui des adeptes d’un communautarisme officiel ou masqué, associé à une détestation affichée ou cachée de l’ordre républicain et de son passé, un terreau qui favorise le développement des plantes vénéneuses, les terroristes islamistes ou leurs alliés, et il convient donc d’éradiquer ces plantes vénéneuses.
Deux questions doivent être posées : est-ce que la justice militaire ne serait pas la mieux placée pour étouffer cette propagande gratuite que nous offrons aux terroristes théocratiques, archaïques et barbares, et à leurs soutiens ?
Les terroristes encore vivants devraient d’ailleurs avoir le courage de revendiquer la compétence de la justice militaire puisqu’ils ont choisi d’être les ennemis de la France.
Est-ce qu’il ne serait pas urgent de revoir les conditions d’attribution et de fonctionnement du droit de la bi-nationalité, un droit qui favorise à l’évidence la radicalisation islamique, avec son double ou triple-jeu ?
Sur fond de laxisme, d’aveuglement ou de connivence des autorités publiques !
Jean Pierre et Marie Christine Renaud
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