Petit rappel de mémoire :
Le 3 mai 2017, j’ai publié un billet d’ambiance politique intitulé : « L’économie électorale pour les nuls ! La Start-up Macron du nouveau marché ! Un vrai conte pour enfants ! »
Je concluais mon billet en écrivant :
« Tout le problème pour cette start-up, cette fusée électorale, va être celui de son retour dans l’atmosphère sur ce nouveau marché politique, à voir le nombre des start-ups de toutes catégories qui jonchent les marchés. »
Le 22 août 2017, nouveau billet intitulé :
« La start-up Macron : nouvelles du jour »
J’écrivais :
« La start-up Macron a pu réaliser sa percée grâce au poids des abstentions et du vide politique alors créé.
Il s’agit à présent d’investir ce nouveau marché politique… »
Il est évident que le retour de la fusée dans l’atmosphère du pays n’est pas encore assuré : le « produit Macron » lui-même, explose dans tous les sens. En parallèle, les réseaux sociaux de « vendeurs », de « relais » du produit Macron, ne paraissent pas stabilisés, à partir du moment où le nouveau Président a donné la préférence au soutien de ces réseaux mobiles plutôt que de négocier un accord de gouvernement avec les partis traditionnels reconnus par notre Constitution et dotés d’une bonne armée de militants sur le terrain.
Je ne suis pas convaincu que les Marcheurs puissent se transformer en grognards de la République, même si le Président aime à cultiver une image à la Bonaparte.
Jean Pierre Renaud