Marx est de retour! Les superstructures étouffent la France!

Marx est de retour !

Les superstructures étouffent la France !

Dans une France qui va mal, l’analyse marxiste n’apporterait-elle pas une partie de la solution ?

Pourquoi ?

            Un tout dernier sondage vient de sonner une fois de plus le tocsin sur l’état de la France, mais avant tout sur l’état d’esprit des Français et des Françaises à l’égard de toutes les superstructures qui étouffent le pays.

            L’enquête Ipsos-Steria (Le Monde du 23 janvier 2014, page 8)  montre l’absence de confiance qu’accordent les citoyens aux syndicats (31%), à l’Union européenne (31%), à la représentation nationale (Sénateurs (27%), Députés (23%), aux médias (23%), aux partis politiques (8%)… c’est-à-dire à nos superstructures !

            Ces chiffres sont évidemment très inquiétants, parce qu’ils démontrent que le pays n’a pas confiance dans des institutions qui ne répondent  plus aux besoins de la France et aux aspirations des citoyens.

            Car à la base, nombreux sont les Françaises et les Français qui ont des talents, des idées, travaillent dur et bien, créent de la richesse ou de la solidarité, mais ne supportent plus le poids psychologique, politique, et fiscal de superstructures obsolètes, vermoulues (avec leur coloration marxiste) qui ne sont plus du tout adaptées au temps présent.

            Le sondage cité plus haut éclaire bien une situation que beaucoup de Français et de Françaises dénoncent, un système politique, médiatique, économique, où l’on se passe le poivre et le sel, avec dans sa forme la plus caricaturale, les jeux mondains du « microcosme » parisien, tel que le dénonçait déjà Raymond Barre. Au XIXème siècle, on aurait peut-être préféré l’expression utilisée par Talleyrand : « les gens du faubourg Saint Germain ».

            Le pays attend donc une révolution, la suppression, ou en tout cas l’allègement, la simplification, la modernisation des superstructures politiques, sociales, et économiques actuelles qui empêchent le pays de s’adapter aux nécessités économiques du monde et aux grandes capacités d’évolution et de créativité de la société française.

            Est-il besoin de préciser qu’il n’est pas interdit de recourir à certains outils d’analyse politique et économique, sans partager, dans le cas d’espèce la thèse générale du marxisme ?

Jean Pierre Renaud

« Bon débarras », Monsieur Rajoelina!

« Bon débarras », Monsieur Rajoelina !

Le titre d’un éditorial de Madagascar Tribune que nous faisons nôtre !

         Je ne sais pas de quoi l’avenir de Madagascar sera fait, mais en tout cas, un pas vient d’être franchi par ce grand pays ami pour se débarrasser d’un apprenti dictateur, un nouveau roi Ubu de l’Océan Indien.

            Reste le plus difficile à faire pour le nouveau Président élu !

            1-    Mettre en œuvre une politique de réconciliation nationale

            2-    Nettoyer les écuries d’Augias, c’est-à-dire sortir tous les corrompus du régime Rajoelina  !

        3-    Rouvrir le chantier du développement économique et social d’un pays aux multiples atouts et ressources qui vient de perdre à nouveau quatre années de sa vie nationale !

         En tout cas, bon vent !

          Sans oublier le vieux proverbe malgache!

      « Le mensonge est comme le riz de la première récolte. Il fait plaisir quelque temps mais il ne permet pas d’attendre jusqu’à la fin de l’année. »

Jean Pierre Renaud