La Machine infernale du Parti Socialiste, une machine à perdre, pour le choix d’un candidat aux présidentielles!
A peine la dernière élection présidentielle passée, les socialistes se sont mis au travail, non pas pour mettre au point un programme à proposer aux Français, mais une machine électorale compliquée de désignation électorale de leur futur candidat aux présidentielles.
Curieuse démarche politique de la part d’un parti qui nous avait habitué, traditionnellement, et conformément à sa vocation, à mettre la priorité sur les idées, et non sur les hommes, ou les femmes !
On ne parlait que de ça, et on ne parle plus que de cela ! Qui va l’emporter, non pas du projet socialiste, ou des projets concurrents, mais de x, y, ou z, et de tous ceux à venir qui solliciteront les suffrages des militants ainsi que ceux de tous les français qui sont vivement encouragés à y associer leur vote.
Cela devient fatigant, très fatigant, et les médias associés aux candidats les font passer en boucle sur leurs canaux, ardents à gonfler cette bulle politico-mediatique artificielle, et peut être parisienne.
Les socialistes ont donc mis au point une belle machine infernale, toute neuve, qui va permettre aux différents candidats, il y en a bien eu un d’annoncé chaque mois de s’entretuer et d’affaiblir les chances de leur formation politique, au point d’oublier qu’ils en défendent le même programme.
Le Parti Socialiste a donc perdu sa vocation d’apporteur d’idées, de justice sociale et de progrès, et comme la droite, il s’est mis en quête d’un homme ou d’une femme qui se propose d’être le sauveur de la patrie!
Ce grand parti n’a, en plus, pas le courage politique de désigner lui-même son champion !
Ce texte a été rédigé avant l’épisode Valls et 35 heures de Madame Aubry