Janvier 2015, Barbarie à Paris, novembre 20015, Barbarie à Paris, juillet 2016 Barbarie à Nice :
La cohérence intellectuelle et politique d’un Président ?
J’invite tout simplement lecteurs ou lectrices à lire le billet que j’ai publié le 13 janvier 2015, sous le titre
« Janvier 2015 Barbarie à Paris Réflexions citoyennes »
J’écrivais qu’il ne suffisait pas de décider de porter la guerre à l’étranger sans se protéger sur le plan national.
N’était-il pas plus facile d’envoyer nos soldats se faire tuer au Sahel que d’affronter intelligemment et efficacement notre nouvel ennemi intérieur ? Toujours la gloire ! La promotion de la France comme justicier international !
Pour ne pas évoquer les coups de menton avec le Charles de Gaulle ou les Rafales dans le Golfe !
Je donnais comme exemple de l’absurdité de la politique gouvernementale, le budget de la DGSI, notre sécurité intérieure, qui « rivalise » avec celui d’une institution récente qui ne sert à rien la « Cité nationale de l’histoire de l’immigration », moins de 50 millions d’euros.
Il convient d’ajouter que le débat actuel sur les droits de l’homme, le sort qu’il convient de réserver aux français djihadistes ennemis de notre pays nous parait relever d’un débat sur le sexe des anges.
La situation est suffisamment grave pour appeler un chat un chat, c’est-à-dire un ennemi un ennemi, c’est-à-dire un ressortissant français, binational ou non, qui relève, non plus d’une justice civile, mais d’une justice militaire.
Ajouterais-je qu’il serait possible aussi de questionner la cohérence « morale » ?
Jean Pierre Renaud