Les verrous à faire sauter en France et en Europe !
Les « faux droits » des individus mettent en péril la France du « bien commun » !
Presque chaque jour, en ville et à la campagne, les Français et les Françaises sont confrontés aux problèmes résultant d’une immigration non contrôlée.
Le Figaro du 10 novembre 2023 (pages 6 et 7) a décrit les multiples formes de cette faillite de l’ordre public presque continue depuis les années 80-90.
Le projet de loi actuel de Darmanin ne réglera pas les problèmes, car il faut du courage et de la lucidité pour faire sauter tous les faux verrous qui empêchent d’avancer : les interférences politiques et judiciaires de l’Union Européenne, un aveuglement humanitaire au détriment du bien commun de notre pays et de la sécurité de nos concitoyens, notre goût pour la bureaucratie, le lobbying des avocats de plus en plus nombreux à intervenir, l’incapacité de notre service public à faire face à la complexité d’une réglementation toujours en mouvement…
Dans la masse de sujets abordés, nous en avons retenu deux :
1 – « Violeurs, escrocs… ces délinquants que la France ne peut pas expulser »… 4 000 délinquants »
De deux choses l’une, ou bien les pays d’origine reprennent leurs ressortissants délinquants (Algérie, Chine, Mali ), ou bien la France suspend ses relations diplomatiques avec ces pays.
Les délinquants en question seront placés dans des enceintes soumises à la discipline militaire.
2- La bureaucratie préfectorale, une bureaucratie avec laquelle nous avons vécu pendant des années.
Comment voulez-vous que les Préfectures soient capables de gérer 187 types de titres de séjour différents, je lis bien, 187, et début 2022, 1,7 million de titres de séjour pour motif familial ? Pour ne pas parler des dizaines de milliers de mineurs étrangers, vrais ou faux que la générosité d’un Sarkozy a incité à venir chez nous sous notre protection et à nos frais, de l’ordre de 15 000 euros par personne !
Il va falloir embaucher des énarques, ou des polytechniciens, et des avocats, dans nos préfectures pour se dépatouiller dans cette bouillie réglementaire.
Plutôt que d’avoir un secrétaire d’Etat de plus, ou continuer à donner cette responsabilité à un ministre de l’Intérieur déjà bien encombré, nommer un ministre à temps complet issu de nos forces armées.
Jean Pierre et Marie Christine Renaud