Procès Chirac: Inhibitions, Désinhibitions, et Pulsions de la langue française?

    Un député, membre éminent de la chiraquie, et aussi médecin, vient de déclarer que l’ancien président était « désinhibé », raison pour laquelle il était probable qu’il ne puisse assister à son procès !

          Le même s’était manifesté verbalement au sujet de DSK, avec la même ingénuité.

            Comme si les gogos ont pu croire qu’il y assisterait !

            Pourquoi ne pas inviter tous les amateurs de notre belle langue française à visiter tous les sens des mots « inhibé » et « désinhibé » pour comprendre toutes les subtilités de ce mot appliqué au procès en cause ?

Dans  le premier sens du terme, et dans le sens le plus fort : blocage, paralysie,  empêchement de tout procès … de la part  d’un grand homme politique qui n’a jamais eu peur de lever toutes ses inhibitions, entre autres, dans le « système » mis en place entre  RPR et Mairie de Paris, et qui, aujourd’hui, trouve un médecin compatissant  pour plaider un état de « désinhibé » !

Alors qu’enfin, on aurait pu connaître sa « pulsion » irrépressible de  vérité ?

JPR

Note de la rédaction : questionner le médecin sur la nature de ces pulsions.